En Algérie, rares sont les voix qui osent critiquer la position officielle sur la question du Sahara occidental. Si en 2015, Amar Saïdani avait osé exprimer son désaccord, un autre leader politique lui emboîte le pas aujourd'hui.
Six ans après le verdict d’un tribunal civil au Maroc dans le procès de Gdeim Izik, la RTBF exhume ce dossier. Il y a trois semaines, l’ONU a appelé les autorités marocaines à libérer les 13 détenus sahraouis membres de ce groupe.