Le Maroc siège depuis hier au Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non permanent. Une entrée qui coïncide avec les risques d’une intervention internationale en Syrie, mais également avec l’arrivée des islamistes au pouvoir dans le royaume. Le Maroc, ne disposant pas du droit de véto «ne pourra rien changer dans la politique onusienne».
Le rapport du Secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU), Ban Ki-moon, est finalement arrivé entre les mains du conseil de sécurité. M. Ban Ki-moon propose une prorogation du mandat de la Minurso de 12 mois. Il ne devrait pas être étendu à la question des droits de l'homme.