L’enseignant-chercheur Hassan Faouzi s’inquiète de la récolte très intensive pratiquée dans les arganeraies, mettant en péril leur régénération naturelle. Très précaires, les populations locales n’ont pour l’heure pas d’autres options.
Coordonner les efforts des acteurs afin d’aboutir à de meilleurs résultats sur le terrain. Tel est l’objectif du premier congrès international de l’arganier qui se tient du 15 au 18 décembre à Agadir avec la participation de professionnels marocains et étrangers. Face à la dégradation continue de l’arganeraie marocaine, cette démarche s’avère plus que nécessaire.