A Tetouan, Marrakech, Agadir, Taroudant, ou ailleurs au Royaume, les trafiquants d’animaux sauvages et d’espèces protégées sont désormais dans le viseur. Un mois après l’entrée en vigueur de la loi relative à la protection des espèces de flore et de faune sauvages au Maroc, 2016 a démarré avec une importante mobilisation pour mettre fin au trafic illicite. Depuis, la chasse aux trafiquants bat son
Ce n’est plus un secret pour personne. Bien que classée espèce menacée, le singe magot fait l’objet d’un commerce illicite au Maroc depuis plusieurs années. Le phénomène est quelque peu en recul grâce à la sensibilisation menée par les ONG, mais l’exposition des macaques de Barbarie sur la place Jemaâ el Fna de Marrakech est dénoncée comme un encouragement au trafic. Un tableau jugé
Il y a deux ans, la menace pesant autour du macaque de barbarie au Maroc occupait régulièrement les colonnes de Yabiladi. Aujourd’hui, les faits sont toujours d’actualité. Dans une interview accordée au site d’information écologique Mongabay, le Dr Sian Waters tire une fois de plus la sonnette d’alarme, appelant à la sauvegarde de cette espèce protégée en voie de disparition. Selon elle, la promotion du
Les singes magots, bien connus au Maroc pour faire l'objet d'un trafic international qui visent à faire d'eux des animaux de compagnie, vivent originellement dans la cédraie du Haut Atlas. Aujourd'hui, action humaine et sécheresse combinées, ils meurent de soif aux abords de la ville d'Azrou.