Des Marocaines établies en Syrie, dans un camp pour réfugiés au nord du pays, affirment que le Maroc a refusé de les rapatrier avec leurs enfants au moment où une source proche du dossier parle d’un «vice de procédure».
Le verdict rendu mardi à la septième chambre de la cour d’appel de Casablanca ne passe pas auprès des familles des condamnés. Des associations de défense des droits humains pointent du doigt «un procès politique», avec ses lourdes peines allant jusqu’à 20 ans de prison ferme.
Le Maroc est régulièrement confronté à la nécessité de mesurer avec de nouveaux indicateurs la performance des provinces et communes en matière de développement, l’approche fondée uniquement sur la pauvreté étant aujourd’hui dépassée.