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Much Loved : 2M censure l’émission de débat « Moubacharatan Maâkom »

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Ce soir sur 2M, le nouvel épisode de «Moubacharatan Maâkom» devait être consacré au film de Nabil Ayouch «Much Loved» mais il a finalement été déprogrammé. La direction de la chaîne a préféré censurer l’émission alors que depuis lundi une série de spots annonçait au grand public le rendez-vous.

«La nouvelle de l’annulation est tombée, il y a plus d’une heure», nous confie une source de 2M. «L’équipe avait prèvu un reportage sur le film ponctué de déclarations du réalisateur», ajoute la même source. Une décision qui, apparemment, dépasse la direction de la chaîne toute comme l’interdiction du film au Maroc endossée par le ministre de la Communication, Mustapha El Khalfi, mais qui venait de plus haut.

AGRICULTURE USINES... CONDITIONS DE TRAVAIL EFFROYABLE !!!
Auteur : Sanawildworld
Date : le 08 juin 2015 à 10h26
LES MAROCAINES TRAVAILLENT DANS L’AGRICULTURE, EN USINE EN ENTREPRISE DANS LE TEXTILE….
Les exploitations agricoles emploient plus de la moitié des femmes (59,5 %) travaillant dans le secteur privé. Elles travaillent de 6 heures à 15 heures par jour, voire même au-delà dans les usines au moment des pics de production. Les salaires dans le secteur agricole sont très bas et moins élevés que ceux perçus dans l’industrie. Ils sont soit comptés à l’heure (entre 5 dirhams à 10 dirhams - le salaire peut atteindre 80 dirhams (dh) quand la durée du travail dépasse 10 heures), soit estimés à la journée (entre 40 dh et 50 dh soit l’équivalent de 4 à 5 euros), ou encore à la semaine, à la quinzaine, au mois ou encore à la tâche. En outre, les salaires diffèrent selon les produits agricoles ramassés (fraises, pastèques ou pommes de terre).
Généralement, les ouvrières, surtout celles employées dans les champs et les usines d’emballage, ne sont couvertes par aucun contrat de travail. Plus de 80 % d’entre elles n’ont aucune couverture sociale. Même pour celles qui sont inscrites à la CNSS (Caisse Nationale de Sécurité Sociale marocaine) l’employeur ne paie pas de prestations de sécurité sociale, le tout dans l’impunité totale. Ces travailleuses ne bénéficient pas de congés maternité. À la longueur des journées prestées et à la pénibilité du transport s’ajoute la pénibilité du travail en lui-même. Dans les champs, le ramassage des fraises se fait dans des conditions inimaginables. Les ouvrières avancent courbées le long des rangées de plants, la caisse à remplir juste posée sur leurs dos. Dans le secteur de l’exploitation des tomates, le ramassage se fait sous les serres où la chaleur en fin de saison peut être parfaitement insoutenable. En outre, la collecte des tomates se fait à main nue sans aucune protection contre les pesticides contenus dans les fruits ramassés. De fait, les maladies de peau et les mains crevassées témoignent des dégâts subis par les travailleuses.
Aux yeux des exploitants agricoles, seule compte la production. Les travailleurs/euses eux/elles ne représentent rien et peuvent travailler jusqu’à épuisement.
Dans les stations d’emballage, la durée de la journée de travail est flexible et peut se prolonger au-delà des 12 heures. Le repos hebdomadaire n’est pas respecté. A la pleine saison, les ouvrières peuvent travailler 15 jours d’affilée sans pouvoir avoir le moindre jour de repos. De plus, la menace du licenciement sans préavis est constante. Il faut en effet peu de chose pour perdre sa place.
Ce manque de respect des droits des travailleurs/euses est aussi flagrant en ce qui concerne les repas : il n’y a ni espace aménagé ni endroit propre pour manger et se reposer pendant la pause d’une demi-heure du midi.
Aux conditions de travail épuisantes et pénibles, à l’absence de contrat de travail tout comme de couverture sociale et médicale et à des salaires très faibles et variables vient s’ajouter l’expulsion collective arbitraire des travailleuses et travailleurs. Expulsions et la non-application du droit du travail.
Toutes ces violations aggravées de leurs droits sont « acceptées » par les travailleuses agricoles bien souvent analphabètes…

Le salariat féminin au sein du secteur textile marocain occupe près de 42% de l’emploi industriel. Les femmes constituent 63,5% des travailleurs de ce secteur. 70% des employé-e-s dans le textile ne disposent pas d’une couverture médicale. La plupart des employés de ce secteur sont saisonniers, occasionnels ou carrément non-rémunérés. Plus de 3 employé-e-s du textile sur 5 n’ont pas de contrat de travail.
nabil ayouch
Auteur : brouzouf
Date : le 04 juin 2015 à 15h37
Ayouch qui se veut intellectuel alors qu'il ne connait rien du Maroc, de son histoire , de sa langue ( il baragouine deux mots en arabe) a quitté Sarcelle et la France , fauché, démuni d'idées créatrices, couronné d'échecs cinématographiques , frustré, pour atterrir au Maroc , aidé par le pouvoir et sa famille influente . Hautain il prends les marocains pour des ignares incultes et sous développés. Il vient porter la bonne parole, de sexe, de sperme, et de vice. Il fonde une maison de production ou il saigne ses collaborateurs et vends comme un marchand de tapis ses émissions et son matériel. Il veut la lumière, ou du moins s'y approcher, Cannes Cannes Cannes, là ou il n’aurait jamais pu y mettre les pieds avec ses courts métrages ratés faits en France. Le Maroc, lui offre l'opportunité de se racheter. Notoire matérialiste sans foi ni loi sa seule manière d'exister et de provoquer le scandale, autrement ses films ne seraient qu'une succession de séquences sirupeuses sans intérêt. Il vit par et pour la polémique qui fini de lui rapporter gros. Il méprise ses adversaires et les critiques qu'il accuse d'être des bédouins affamés. Manipulateur et sans culture il essaye de se hisser sur les devants par de l’esbroufe. Aujourd'hui les marocains veulent son départ. Aura il suffisamment de dignité pour se retirer d'un pays qui ne veut plus de lui?

Tous les films de Ayouch sont creux. Il aborde des thématiques lourdes et les traites comme un amateur. Il est loin d'être une personne respectable. Corrompu, vicieux, manipulateur, il s'enrichi sur le dos des marocains et de leur misère. Il est notoire que Ayouch a un grand mépris du Maroc, pays qui lui sert de faire valoir pour exporter sa nullité car il est avide de reconnaissance internationale. Il veut se hisser au niveau du cinéma mondial, cherchant la reconnaissance mais n'arrive pas à la cheville du plus ringard des amateurs. Tous ses films sont écrits par ses collaborateurs, qu'il traine derrière lui comme une vielle Diva. Il veut reproduire l'image du metteur en scène, entouré d’assistantes, de techniciens, de secrétaires, de directeur de communication et j'en passe, pour se dire : "oui, je suis comme tous ceux que j’admire, (et dont je n'arriverai pas à la cheville), je suis riche, célèbre et intouchable". Le Maroc et les marocains lui ont offert l'opportunité de réaliser ses rêves mégalomanes, c'est ainsi qu'il les remercie, par ce film qui est probablement le film le plus misérable dans l'histoire du cinéma marocain. Dégage Nabil de ce beau pays et retourne à Paris et à tes soirées orgiaques et scabreuses. le Maroc est bezaaf 3lik.

Nabil Ayouch parle de la prostitution au Maroc pour faire le Buzz. Monsieur Buzz veut qu'on parle de lui, c'est devenu pour lui une obsession. Il est démuni de sensibilité. C'est un « artiste » opportuniste et vulgaire. L'Allemagne parle de prostitution avec subtilité, l'Iran parle de prostitution avec finesse, l'Egypte parle de prostitution avec intelligence.Ayouch parle comme un voyous qui veut exister en tapant vulgairement. Que des scènes longues, sans intérêt, aucune analyse, aucun regard de réalisateur, aucune sensibilité, aucune intelligence. Ayouch film en voyeur des scènes orgiaques et le film est ainsi fait. A se demander si Ayouch n'assouvissait pas un besoin vicieux de voir des prostitués se toucher. Ayouch se focalise sur les clients saoudiens et français tout en passant sous silence la clientèle marocaine de jetsetteurs qui ravage le Maroc. Le recul nécessaire pour comprendre un phénomène social est inexistant dans le film et Ayouch tombe dans le piège de la ringardise et de la vulgarité gratuite.
Ayouch est vénal : Il utilise le Maroc et les marocains pour s'enrichir et remplir les caisses de sa boite de prod. Et dans son sillage d'autres artistes "mouches " tentent aussi de se construire une image de rebelles, ou d'intellectuels avant-gardistes qu'ils ne sont pas. Ce film est putassier. Probablement le plus mauvais film jamais filmé au Maroc. Merci Nabil
Chacun ses valeurs
Auteur : krimau10
Date : le 04 juin 2015 à 10h34
Il y a ceux qui veulent plaire a l occident et tremble a l'idée de déplaire aux gawris et il y a ceux qui veulent plaire a leur créateur et veulent sa bénédiction. Chacun ses objectifs dans la vie.
veridique
Auteur : Laa dzz
Date : le 04 juin 2015 à 09h08
ba sa reflete la veriter en vraie
oui mais!!!
Auteur : hassan0123
Date : le 03 juin 2015 à 23h33
quand tu vois qu'on dépend encore des pays developpé c'est rageant: On importe tout. sans ces pays on est rien! moi je prefere que le Maroc soit dévelppé puisse se suffir à lui même puisse avoir une industrie une vraie industrie civile et miltaire. la religion peut venir après quand tout le monde seront heureux et indépendants.
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