Mohamed Larbi Messari, journaliste, écrivain et ancien ministre de la Communication (1998-2000), a, à son tour, réagi à la polémique relative au nouveau cahier des charges de 2M. Pour lui, les citriques adressées ces derniers jours à Mustapha El Khalfi, relèvent d’une campagne ayant pour objectif d’aller à l’encontre du ministère actuel, ajoutant qu’il ne veut pas y participer.
«Le ministre a parfaitement le droit de prendre toutes les mesures qu’il juge appropriées pour une meilleure gestion des médias publics», a déclaré l’ex-ministre, également membre du comité exécutif du Parti de l’Istiqlal, cité par le site d’actualité arabophone Lakome.com. «La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) (…) a dit son mot», a-t-il ajouté, dans un entretien accordé au journal Attajdid, porte-voix du Parti de la justice et du développement.