[Date de publication] 07.02.2012 | 20h08 [Nombre de lécture(s)] Article lu 282 fois Réagissez à cet article (1) Par Hanane Jazouani [www.yabiladi.com] J'aime 0
Comme prévu, samedi dernier 4 février, l’association ACIA a bel et bien rencontré à Paris les responsables du projet immobilier « Les Jardins de la Moulouya » dans la ville de Saïdia, un projet ayant accusé des retards de livraison de plus de 5 ans (cf article). Les deux partis ont signé un protocole d’accord les engageant à respecter mutuellement différents points. Détails de cette rencontre. Une publicité pour la vente d'appartements dans les Jardins de Moulouya à Saïdia
« On est confiant. L’échange a été cordial et s’est fait dans un climat de transparence. La présence de Jaouad Ziat, directeur général d’Urbatlas était déterminante pour les négociations », explique Mohammed El Halfa, porte- parole de l’association ACIA contactée par nos soins. Il précise que les négociations ont été également encadrées par l’avocat français Rémi Barousse, spécialiste en contentieux dans le droit des affaires, immobilier et droit pénal. Ce dernier avait proposé à l’association de lui venir en aide dans cette affaire. C’est lui qui avait encouragé ACIA à entreprendre des démarches judiciaires à l’encontre du promoteur immobilier affirmant que la loi française prévoyait de défendre les citoyens français en litiges avec des sociétés étrangères.
A l’issue de cette rencontre qui a duré 7 heures au total, les deux partis ont signé un protocole d’accord co-écrit par Maître Barousse.
Qui est qui ?
La première chose de positive qu’a apportée cette réunion est que les interlocuteurs chargés du projet immobilier ont été clairement identifiés. Les acheteurs lésés savent désormais à qui ils ont affaire. La société en charge du projet immobilier « Les Jardins Moulouya » est Urbatlas, filiale du groupe GFM, (ex Fadesa Maroc) dont les deux actionnaires sont le groupe Addoha et le groupe espagnol Martinsa Fadesa.
En outre, la société Urbatlas a expliqué à l’association les raisons des retards de livraisons de certains blocs du projet, des retards qui sont dus à la crise financière qui a touché le groupe Martinsa Fadesa depuis le lancement du projet en 2006. La société a également évoqué des erreurs dans sa stratégie de développement privilégiant plutôt certains projets que d’autres à Saïdia.
Promesses d’Urbatlas
L’un des engagements pris par la société Urbatlas concerne les pénalités de retard pour les appartements non-livrés. Le protocole d’accord signé prévoit quatre différentes options qui dépendent de la situation de chaque acheteur. L’une d’entre elles autorise, par exemple, l’acheteur à se désister et l’argent versé lors de l’acompte lui sera ainsi rendu. « Des gestes commerciaux sont prévus en attendant la livraison des biens en fonction de l’option choisie », ajoute Mohammed El Halfa qui conseille aux acheteurs concernés de contacter Acia ou la société Urbatlas à Saïdia.
De plus, Urbatlas s’engage à respecter un calendrier de livraison pour les unités du projet non-livrées. A ce jour, 2000 unités sont actuellement en cours de construction. « Certaines livraisons sont en cours, d’autres sont prévues cet été et puis d’autres sont prévues tout au long de l’année 2012 et en 2013 », précise Mohammed El Halfa. Si ce nouveau délai n’est pas respecté, Urbatlas s’engage à payer des indemnités de retard supplémentaires.
Enfin, les deux partis ont établi un calendrier de visite et de suivi du chantier tous les 2 à 3 mois pour s’enquérir de l’avancement des travaux.
La prochaine rencontre entre les deux parties devrait avoir lieu ce mois de février puisque des membres d’ACIA prévoient de se rendre au Maroc pour visiter les chantiers. Une visite chapeautée par des représentants d’Urbatlas sur place qui permettra également à Acia d’évaluer la bonne volonté du groupe.
Contrepartie
De son côté, Acia s’est engagée à respecter plusieurs points, principalement de faire moins de tapage dans les médias créant une mauvaise publicité pour le groupe. « Dans le cadre de ce protocole, on a gelé toutes les manifestations prévues afin de ne pas ternir l’image des actionnaires », explique Mohammed El Halfa faisant référence aux manifestations prévues sur les Salons de l'immobilier marocain en Belgique et à Paris. Il confie également que le quotidien français Le Parisien a approché ACIA pour faire un article sur ce dossier mais que l’interview a été annulée, par respect de l’engagement. « On fait confiance à la direction d’Urbatlas en la personne de M.Ziad, il nous a donné raison. De son côté, l’avocat est très confiant. Néanmoins, on reste tout de même vigilants. Geler ne va pas dire supprimer ! », conclut-il
Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/02/12 21:40 par stylo.
Chers Adhérents J’ai l’honneur de vous inviter à participer à l’Assemblée Générale Extraordinaire de notre association ACIA qui se tiendra
LE SAMEDI 18 FEVRIER 2012 A 15 H
A L’HOTEL DE VILLE, SALLE DES REUNION MAIRIE DE CACHAN, 94230
Sur l’ordre du jour suivant :
Accueil des adhérents à jour de leur cotisation. allocution de bienvenue du président ; Bilan financier et appel à candidatures compte rendu de la réunion avec URBATLAS Explication du protocole d’accord signé avec Urbatlas Actions à venir, Actions de l’avocat Remise d’une copie intégrale du protocole d’accord certifié par notre avocat et d’une attestation d’adhésion à ACIA questions diverses.
Conformément à notre règlement intérieur, pour adhérer à l’association, il faut être concerné directement par le projet « Jardins de Moulouya » et fournir une copie de son compromis de vente, une copie de sa carte d’identité, remplir le formulaire d’adhésion et payer sa cotisation (20 euros en 2012)
Je vous rappelle que l’adhésion peut être faite par courrier postal ou par email: [email protected]
Certain de l’intérêt que vous porterez à ces changements, je vous prie d'agréer, chers Adhérents l'expression de ma considération distinguée.
bonjour : je suis au G6 moi aussi ,dernierement j'ai appelé a saidia dans leur bureau les jardins de moulouya , pour savoir un peu plus, donc ils m'on repondus que les traveaux continues bien sur le G6 est finirons bien vers fin decembre 2012 ,normalement si l' association ne se manifeste pas c'est déja un bon signe .c est que pour l'instant tout va bien, depuis l'accord entre l'association et URBATLAS.
Salam alikoum, je pense pas qu'ils respectent leurs engagements, il y a des personnes qui sont partis dernièrement a Saidia et ont constatés que les travaux étaient arrêtés. Aucun ouvrier sur le chantier et apparemment rien n'a changé. J'ai écrit a l'association ACIA et je n'ai eu aucune réponse. Voilà les nouvelles...
Il me semble que les engagements conclus entre l'association ACIA et le groupe URBATLAS ne sont pas respectés. J'ai pu lire dans le PARISIEN un article qui parle du mécontentement de 2000 ressortissants marocains vis à vis du groupe ADDOHA et ils citaient l'association ACIA.
Pour information, je reviens du Maroc (retour le 01 er juin 2012) et je n'ai pas constaté d'avancé sur les chantiers ou quelque ouvrier que se soit. Mis à part le personnel du service commercial, du service technique, un ouvrier qui refesait un appartement et un gardien (agent de sécurité) j'ai pas vu grand monde.
Je vous conseille de livrer une bataille contre ce groupe ADDOHA qui se moque de sa clientèle sans le moindre scrupule.
Me concernant, j'avais reçu une lettre de résiliation de compromis de vente car je n'avais pas réglé le solde de mon appartement qui se trouve sur la 2ème tranche si je ne me trompe pas. Comme j'avais fait une visite 2 mois auparavant et que j'ai toujours fait constaté mes visites par photos et par écrit et qu'une lettre recommandée se sont croisée lors de la réception de cette résiliation, j'ai pu faire annuler cette décision par le groupe ADDOHA.
J'ai donc réglé le solde en fin d'année 2011 et mandaté une personne car je ne pouvais pas me déplacer (problème de santé). Cette personne n'a pas réceptionné les clefs et a fait des réclamations auprès du service technique.
6 mois après j'ai le regret de constater lors de ma visite qu'aucune modification relative aux remarques signées avec la société URBATLAS et la personne mandaté n'ont été apportées. Bien au contraire, l'appartement c'est dégradé. J'ai donc refait des réclamations mais je pense qu'il ne faut rien espérer de plus.
Je vais donc de nouveau envoyer un recommandé au siège de CASABLANCA et prendre contact avec la presse française...
A vous de juger mais en ce qui vous concerne vous avez la possibilité de les attaquer pour retard de livraison et autres....
Bien à vous
Ps : Zohra si tu lis mon message, sache que je t'appelerai bientôt et te ferais part de photos. Comme je te disais la dernière fois au téléphone, attention même si vous avez signé un compromis avec un avocat ; les paroles, les paroles, les paroles.... (Comme dit la chanson)
J'ai essayé à plusieurs reprises de contacter URBATLAS, ils me racontent des salades à chaque fois. J'ai essayé alors de voir directement avec le siége addoha à Casablance (Mon père s'est même déplacé). pour lui faire plaisir la responsable commerciale de casa a pris son téléphone, en sa présence, et a passé un savon au bureau de Saîdia. cela s'est passé il y a qq semaines. tout au début du parcours, j'avais envoyé une copie de CIN ainsi que de la promesse de vente à Mme Zohra, aujourd'hui j'essaye de prendre contact par mail avec l'association (aucune réponse de leur part). si notre cause commune les intéresse, il serait sympathique de nous répondre car je serais intéressé par la récupération de mon avance comme indiqué lors de l'accord entre l'association et le responsable d'URBATLAS. courage à tous.
Saïdia : Des MRE lésés par Urbatlas, filiale d’Addoha, menacent de faire la grève de la faim [Date de publication] 21.06.2012 | 18h00 [Nombre de lécture(s)] Article lu 2403 fois Réagissez à cet article (10) Par Hanane Jazouani J'aime 1
Ras-le-bol et à bout de force. Les 2000 MRE qui ont acheté un bien dans le projet immobilier les Jardins Moulaya à Saïdia, de Urbatlas, filiale d’Addoha, en 2008 en ont assez. Ils accusent le groupe immobilier de ne pas avoir tenu ses promesses de livraison. Certains d’entre eux menacent de faire la grève de la faim cet été pour attirer l’attention des autorités marocaines sur ce dossier. De son côté, le groupe Addoha estime qu'il est dans les délais et qu'il respecte ses engagements. Chantier du projet des Jardins de la Moulaya/D.R. Skyscrapercity Morocco
C’est un cri de révolte que cette lettre ouverte adressée au PDG d’Excelia, (ex-Urbatlas) filiale d’Addoha, responsable du projet immobilier les Jardins Moulouya à Saïdia, par l’Association Citoyens d'Ici et d'Ailleurs (ACIA), le 17 juin. Une lettre envoyée en copie à Yabiladi.
Dans ce courrier, Mohamed El Halfa, porte parole d’ACIA rappelle que plus de 2000 clients ont acheté un appartement dans ce projet immobilier en 2008 et qu’ils n’ont, à ce jour, toujours pas été livrés (cf notre article). « Avec ce manque de clarté, nous sommes privés de nos biens. C’est une injustice et c’est un droit bafoué. Il est clair pour nous, qu’une lutte entre David et Goliath n’a pas de sens, néanmoins se sentir ostracisés par la non reconnaissance de nos droits nous le refusons […]. En tant que MRE, il n’y a pas d’alternatives, notre pays est le Maroc et nous contribuons à son développement social et économique en y investissant toute notre épargne », écrit-t-il.
Il rappelle et accuse Addoha que, malgré l’accord qui a été trouvé en février dernier entre ACIA et le groupe, ce dernier n’a pas tenu ses promesses. Cet accord stipulait que le promoteur devait livrer certains appartements en ce mois de juin. De son côté, l’association promettait de ne pas faire de tapage médiatique et de ne prévoir aucune manifestation lors des salons marocains de l’immobilier à l'étranger, pour éviter de faire une mauvaise publicité au promoteur.
« Nous vous confirmons que nous respectons notre protocole d'accord, et nous continuerons à honorer l'ensemble de nos engagements. Nous nous sommes engagés, selon le protocole d'accord signé le 4 février 2012, à livrer 5 groupements d'habitation (GH) au 30 juin. Nous vous confirmons que les travaux s'acheveront fin juillet et que les visites clients débuteront à la mi juillet », assure de son côté le groupe Addoha que nous avons contacté aujourd'hui.
Le groupe tient toutefois à souligner : « nous nous permettons de rappeler que nous avons un délai de grâce de 6 mois. Ce délai s'achevera la 31 décembre 2012. » Addoha assure également qu'il tient « régulièrement informée l'Association ACIA sur l'état d'avancement de chaque GH. Le dernier faisant état des planning de livraison a été transmis le 15 mai à M. Halfa. »
En prenant connaissance du fait que le président de l'association a rendue publique sa lettre, le groupe Addoha, par la voix de sa responsable communication, Fadoua Ghannam, veut « rappeler à l'association ACIA et ses adhérents, qu'ils se sont engagés a renoncer irrévocablement a entreprendre ou faire entreprendre toute action de quelque nature et à quelque époque que ce soit visant directement ou indirectement a porter atteinte a l'image ou aux intérêts du groupe. Nous aimerions fortement que l'association ACIA tienne ses engagements aussi. »
Les ouvriers du chantier ne seraient pas payés
« Le président d’ACIA s’est rendu il y a quelques jours sur place à Saïdia et il n’a trouvé que deux ouvriers en train de travailler sur le chantier. Il a mené une petite enquête et a découvert que même les ouvriers et les artisans du chantier n’ont pas été payés ! », explique Mohamed El Halfa, joint ce matin par nos soins. « On a également appelé les bureaux du promoteur à Saïdia et ils nous ont dit qu’il n’y avait aucune livraison prévue cet été. Pourtant j’ai eu, il y a 3 semaines, le Directeur général du groupe qui m’avait envoyé des délais de livraison pour le mois de juin. On ne fait que se moquer de nous ! Ce qu’on demande c’est la vérité, que le PDG du groupe intervienne et qu’il nous explique ce qui ne va vraiment pas, qu’il nous dise juste que le groupe va faire faillite mais au moins on fera le deuil de cette histoire », lâche-t-il totalement écœuré, confiant qu’il ne viendra pas cet été au Maroc à cause de ce conflit.
Pour sa part, le groupe Addoha dément tout problème de paiement avec les ouvriers du chantier. « Quant aux nombres d'ouvriers sur le chantier, vous conviendrez avec moi qu'il aurait été plus cohérent si ce membre d'ACIA s'était adressé directement à notre directeur technique sur le site pour constater ensemble l'activité réelle sur le chantier. Pour votre information, le nombre d'ouvriers sur le chantier, hier, était de 262 ouvriers », répond Fadoua Ghannam.
Grève de la faim
Ce qui désespère encore plus Mohamed El Halfa, c’est d’avoir accepté l’accord de février dernier avec le groupe Addoha et, qu’au final, le groupe n’ait pas tenu sa promesse. Il se sent coupable et a l’impression d’avoir trahi les autres clients lésés membres de l’association. « Je compte entamer une grève de la faim cet été. Qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse face à cette injustice ? On ne trouve pas de solution ! On a communiqué cordialement. On a communiqué violemment. Mais ça ne sert à rien. Le groupe vous dit des choses et sur le terrain, c’est autre chose. Le pire c’est le silence des autorités marocaines. On est quand même des Marocains et nos droits sont bafoués et personne ne réagit », s'indigne-t-il. Le président de l'association prévoit également de demander à d'autres membres de s'associer à sa grève de la faim pour attirer l'attention sur leur affaire.
Yabiladi a également voulu savoir si l’association comptait reprendre sa procédure judiciaire avec Maître Barousse, spécialiste en contentieux dans le droit des affaires, immobilier et droit pénal. Ce dernier avait proposé à l’association de lui venir en aide dans cette affaire. Cette procédure avait été mise entre parenthèses juste avant l’accord trouvé en février. Mohamed El Halfa répond qu’il faut d’abord qu’ACIA organise une assemblée générale pour décider d’un commun accord des suites de cette affaire. Avec l’été et les départs en vacances, il sera difficile de réunir tous les membres. L’AG est donc prévue à la rentrée prochaine.
salam, comme vous nous sommes des victimes des 2 côtés l'association qui est incapable de vous donner des réponses exactes et précisent puisque ACIA ne répond pas stand bye et de l'autre côté addoha qui vous mixe la salade le chantier avance il manque des portes à poser de la peinture sachant que cela fait 6 ans qui nous rêvons de ces appartements c'est honteux de jouer des sentiments des gens jespère inchallah que dieu leur fera payer ces mensonges et ce manque de respect vers des personnes qui leur on fait confiance. D'après les échos que j'ai eu du maroc par des personnes sur place rien n'avance il y a pas d'ouvriers puisqu'ils ne sont pas payer et je crois que ce n'est pas demain la veille que nous aurons notre bien? C'est qu'un rêve irréalisable moi en tout cas je n'y crois plus cela fait des années que je n'ai pas été au maroc car je l'attendais avec impatience ADDOHA m'a brisé anéantie allah en est témoin et c'est pas fini je pense que la bataille est rude ni ACIA ni personne nous aidera sauf lADDOHA et leur bon sens s'ils en ont et je déconseille a quiconque d'acheter sur plan, si quelq'un à des nouvelles fraiches et récentes et vrais qu'ils nous disent ce qu'il en est MERCI AUX PERSONNES DE PAROLES ET HUMAINES....
Quand le promoteur immobilier participe au couac du plan d’AZUR à Saïdia Auteur : tomayo [Envoyer un MP] Date : le 25 juin 2012 à 15h04 J'aime 2 Les investissements dans le secteur touristique doivent s’inscrire dans le cadre d’une vision globale, sinon, on ne peut pas monter un projet et un business plan. La ville de Saïdia a cette spécificité d’être une ville saisonnière, en temps normal l’effectif de ses habitants ne dépasse pas les 3000. Il est tout à fait normal que la manière dont a été conçu le Plan Azur soit défaillante dans la mesure où elle n’a pas intégré cette composante sociale. Les promoteurs immobiliers qui sont subventionnés par l’état avaient cette responsabilité pour donner une vie sociale et un dynamisme socioéconomique à cette ville desserte. Et ce, en anticipant avant l’ouverture de la station balnéaire « La marina », la livraison des projets immobiliers dont celui des jardins de Moulouya qui représente à lui seul 3000 logements, (c’est l’équivalent d’une ville comme Biarritz).
Aujourd’hui, il ne faut pas demander à l’État de régler les problèmes de financement du Plan Azur à Saïdia, mais une intervention politique voir juridique pour que les programmes sociaux prévus dans cette ville soient achevés dans les temps. C’est la seule équation qui donnera une répercussion claire et directe sur l’activité touristique économique de cette ville. En d’autres mots, c’est la relation démographie sociale qui fait la force d’une station touristique. La ville de Saïdia peut tirer son épingle du jeu compte tenu du contexte de crise à condition que le gouvernement marocain fasse preuve de pragmatisme pour débloquer la situation actuelle.
Salam alikoum, cette fois ci, il faut être prêt a aller très loin. L'association est faite de bénévole, je pense qu'ils ont aussi une vie de famille et surement un travail. Ils faut qu'on s'entraide et faire une bataille intelligente.
- Réunion commune avec tous les adhérents ACIA et tous les acheteurs du projet. - Médiatiser notre action par toute les voix possibles, radio, TV, journaux, blog, facebook, youtube, etc. - Contacter les services publique marocains, le palais, les ambassades du Maroc/consulats. - Sitting et manifestation partout (Paris, Marseille, Lille, Bruxelles, Amsterdam) avec dépôt en préfecture. - Une pétition avec les coordonnées de chacun et la signature a remettre aux services concernés. - Dépot de plainte avec une action en justice, trouver un avocat du barreau spécialisé dans l'immobilier, payé par l'ensemble des acheteurs (participation obligatoire pour la récupération du bien). - Manifestation impératif au SMAP IMMO et a tout les salons de l'immobilier marocain, bloquer les ventes ADDOHA.
Voilà si on arrive a faire tout ça, on va récupérer inchallah nos biens. Ça va être long, mais on a tout à y gagner.
franchement personnellement je suis décu d'ACIA qui m'a renvoyé mon chèque d'adhésion et les documents compromis et carte nationale pour moi je compte plus sur eux c'est peut être méchant mais ils n'ont aucune parole et de plus ils ne répondent pas aux personnes trop de personnes décus de leur part peut être parce qu'ils sont pas payés effectivement cela joue aussi pour moi personnellement ce qui fera bouger les choses c'est les médias, le gouvernement marocain et le blocage du smap immo ou qu'il soit par juste avant ils vont réessayer d'entuber les gens comme d'habitude en passant de la pommade avec des fausses promesses comme ils l'ont faits recemment. Le mieux c'est de monter une action avec de vrais bénévoles qui vont jusqu'au bout de leurs démarches et qui ont leur biens aussi à saidia car c'est la première volonté. Allez sur facebook regardez ou en sont les chantiers rien n'avance de leur côté par contre du notre côté les jours passent le crédit d'échéance court et court encore.....
Nous nous ne trompons pas dans cette affaire, Le seul responsable de notre calvaire est bien le promoteur. Les responsables d’ACIA que j’ai contactée il y a 2 semaines m’ont expliqué leurs difficultés à avoir des informations fiables du promoteur. Cela ne m’étonne pas, ça fait 7 ans qu’on est torturé et détruit par ces manières de faire. Heureusement que ACIA a été fondé pour parler de nous. Jamais un journaliste n’aurait écris le moindre mot si il n y avait pas ACIA. Il faut qu’on mette plus de force et d’implication dans l’association et les laisser travailler comme ils l’ont fait jusqu’à présent. De notre côté, nous ne devons pas croiser les bras et attendre que l’association fasse tout à notre place. Il faut se rendre à Casa et demander des comptes au promoteur. De même, nous demanderont à ACIA d’organiser en septembre un rassemblent avec l’avocat français et engager un vrai procès.
BONJOUR A TOUS SACHEZ QUE NOS PREMIERS LECTEURS SUR CE FORUM SONT LES PROMOTEURS EUX MEMES VOILA EXACTEMENT LE MESSAGE QU'ON VA LEUR ADRESSER L'ANNEE TOURNE TRES VITE ARRIVE DEJA 2013 ET NOUS NE FREINERONS JAMAIS TOUTES NOS FUTURES MANIFESTATIONS MEME SI ON NOUS PROMET LA LUNE , ON VA DEJA VOUS FAIRE PERDRE BEAUCOUP DE VENTE PAR NOS ACTIONS ET C'EST SUR QUE NOUS NE RECEVRONS PERSONNE LES MOIS PRECEDENTS POUR UNE EVENTUELLE NEGOCIATION LA SEULE MANIERES D'ARRETER CETTE VAGUE C'EST DE NOUS LIVRER AVANT FIN 2012, APRES CETTE DATE NOUS METTRONS TOUS EN OEUVRE POUR REGROUPER TOUS LES MEMBRES DE ACIA ET AUSSI DES AUTRES GROUPES DE PERSONNES EUX AUSSI ARNAQUES PAR CE MEME PROMOTEUR, NOUS SERONS DES CENTAINES SUR LES SALONS ET SERONS TRES VISIBLES ET PAR LES FUTURES PROSPECTS ET PAR LES MEDIAS; PLUS DE NEGOCIATION AVANT ACTION PLUS DE NEGOCIATION AVANT ACTION PLUS DE NEGOCIATION AVANT ACTION PLUS DE NEGOCIATION AVANT ACTION
Salam alikoum, on a plus aucune nouvelles, on n'est pas rassuré, les échos de Saidia laisse entendre qu'ils ne font rien. On va mener une grande action de justice et aussi nuire a toutes les ventes Addoha, On va paralyser leurs ventes de biens immobiliers, l'union fait la force, on est un grand groupe. Il faut aller jusqu'au bout. On est gagnant, c'est eux les voleurs.
Saïdia : Les MRE lésés par Urbatlas rencontrent le PDG d’Addoha et le ministre des MRE [Date de publication] 20.07.2012 | 19h20 [Nombre de lécture(s)] Article lu 324 fois Réagissez à cet article (2) Par Hanane Jazouani J'aime 0
Ce n’est pas cet été que des centaines de familles de MRE pourront prendre possession de leur appartement acheté dans les Jardins Moulouya à Saïdia, un projet accusant aujourd’hui un retard de près de 8 ans. Pour tenter de rassurer et calmer la colère de ces MRE, le PDG d’Addoha a accepté de rencontrer la semaine dernière l’Association Citoyens d’Ici et d’Ailleurs à Casablanca représentant les intérêts des MRE lésés . Compte rendu de cette rencontre. Chantier des Jardins Moulouya à Saïdia. Photo prise par ACIA il y a plusieurs mois.
C’est le vendredi 13 juillet dernier que trois membres d’ACIA ont fait le déplacement spécialement au Maroc pour rencontrer le PDG d’Addoha Anas Sefrioui et le reste du management des filiales du groupe à Casablanca. Parmi ces membres, il y avait Mohamed El Halfa, porte parole d’ACIA. L’association ne cache pas sa surprise et confie avoir apprécié que le PDG lui-même accepte de les recevoir. « Pour nous, c’est un symbole d’engagement et M. Sefrioui nous a promis qu’il prenait personnellement en main le dossier et nous espérons qu’il tienne sa promesse », explique Mohamed El Halfa.
Anas Sefrioui promet de gérer personnellement le dossier
Cette rencontre intervient près de 10 jours après l’envoi par l’association d’une lettre adressée directement à Anas Sefrioui pour lui faire part de son ras-le-bol face au retard des travaux des appartements des Jardins Moulouya et des menaces de grèves de la faim par certains membres d’ACIA si aucune solution n’était trouvée. ACIA a également tenu à manifester son mécontentement concernant le manque de communication et transparence entre le groupe et ses clients MRE ces dernières années pour les informer des véritables raisons ayant entraîné ce retard de huit ans.
« Le PDG du groupe Addoha nous a fait part des difficultés financières que rencontre actuellement la société avec ses partenaires, des difficultés qui retardent l’avancée des travaux à Saïdia. » déclare Mohamed El Halfa. De son côté, le groupe Addoha contacté cet après-midi par Yabiladi précise que ces problèmes financiers concernent notamment « Urbatlas, la société initiatrice de ce programme, et de sa maison mère GFM [General Firm of Morocco] (anciennement appelée Fadesa Maroc) ». « On a répondu à M. Sefrioui que ce n’était pas à nous, clients, de payer les pots cassés pour ses problèmes financiers », renchérit Mohamed El Halfa.
70 millions de dirhams débloqués
Le groupe informe également Yabiladi qu’après avoir démarché plusieurs institutions bancaires marocaines, ces dernières ont débloqué début juillet « un prêt de 50 millions DH, pour permettre l’accélération de la cadence de construction des différentes unités de logement du projet concerné. A ceci s’ajoutent 20 millions DH déboursés par le Groupe Addoha. » Soit au total, une somme de 70 millions de dirhams qui sera injectée directement dans le projet pour accélérer les travaux à Saïdia. Néanmoins ACIA ne cache pas son scepticisme. « On leur a demandé combien d’immeubles ou d’appartements cette somme représentait au total mais ils n’ont pas pu nous répondre exactement. On estime qu’une fois après avoir payé les artisans, les ouvriers, les sous-traitants et le matériel, que resterait-il pour nos appartements ? » s’interroge toujours Mohamed El Halfa.
Les travaux n’avancent pas comme Acia le voudrait
Cette rencontre entre les deux partis a permis également à l’association d’avoir une idée plus précise sur le calendrier de livraison des appartements. « Le calendrier du protocole d’accord signé en février dernier a été chamboulé puisque les travaux n’avançaient pas, en plus avec le ramadan, cela ne va pas arranger les choses ! Et lors de cette rencontre on nous a livré un nouveau calendrier de livraison avec différents échelonnements. » poursuit-il. « Comme prévu, les premières livraisons sont prévues pour la fin de ce mois de juillet, mais d’autres appartements devraient être livrés à fin décembre 2012 et le reste est prévu pour le 30 juin 2013, c’est-à-dire que tous les 2100 appartements devraient être livrés d’ici moins d’un an. Pour nous, ça nous parait impossible d’être livrés totalement en si peu de temps ! », lâche-t-il.
Au lendemain de cette rencontre, une visite directement sur le chantier des Jardins Moulouya était prévue en présence du directeur technique du projet. Cependant, une fois à Saïdia, c’est la déception totale pour les membres de l’association. « A peine la visite commencée, j’ai été déçu ! J’ai tout de suite demandé d’arrêter la visite. Il n’y avait aucun intérêt à continuer. On a visité 3-4 immeubles presque achevés mais le reste était encore à l’état brut, il y avait des carcasses d’immeubles ici et là et parfois c’était carrément des terrains vierges avec quelques dalles. Par ailleurs, on n’a pas vu beaucoup d’ouvriers sur le chantier. Il devait y en avoir 2 ou 3 par bâtiments construits alors qu’on nous avait parlé de 240 ouvriers présents sur le chantier», affirme -t-il amer.
Le groupe Addoha nous fait savoir de son côté qu’à l’issue de cette réunion du 13 juillet, les deux partis ont accepté de se réunir une nouvelle fois à la fin du mois de septembre prochain avec au programme une nouvelle visite du chantier. « L’objectif est de permettre aux membres d’ACIA de constater de visu l’avancement des travaux. », insiste à dire le groupe.
Abdellatif Maâzouz suit le dossier
Après une visite décevante sur le chantier, une rencontre de dernière minute leur a remonté le moral : celle avec Abdellatif Maâzouz, le ministre des MRE qui a accepté de s’entretenir avec les membres d’ACIA pour 30 minutes. « Monsieur Maâzouz nous a déclaré qu’il était au courant du retard des travaux de ce projet et qu’il était également préoccupé par la mauvaise image que ce dossier pouvait représenter pour l’immobilier marocain à l’international. Il a ajouté que le développement de la région de l’Oriental dépendait du succès du projet de Saïdia. Lui aussi nous a certifié qu’il suivait ce dossier de près », conclut Mohamed El Halfa
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