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derb Korea...Casablanca
b
17 novembre 2009 21:11
Salam si Massoud,

Je ne peux pas dire si un tel à payer où non, ni une telle est redevable à quiconque

mais,mais un jour viendra qu'on peut se libérer de ce mais et dire: Je n'ai pas eu tord,mais!!!

Alors! ce mai,n'auras plus cette odeur du muguet ...c'est ho


Cordialement
bara



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/11/09 21:40 par BARA222.
b
17 novembre 2009 21:23
Citation
Viet53 a écrit:
salut bara,


bientôt la fête de l'aid incha allah,

j'ai une petite chèvre serghiniya pour toi, je la " 3allafe comme il le faut"

comme tu le sais, débordée depuis août, mais je pense tjs à vous tous.


à bientôt frère.


Salut Viet,

Longue vie à cette chévre Serghiniya encore une sudiste et tu le sais je n'ai jamais...



mes pensées de Derb Sultan.
b
17 novembre 2009 21:59
Salut Viet,

Pour ta chèvre ,je suis triste plus d'espaces verts même pour les gens à Derb Sultan,c'est fini l'hérmitage,'Murdoch',ne t'inquiète pas on va faire un 15OO m à la Casablancaise et puis brouter de la verdure de la ligue Arabe , puis retour chez hajja Hamdaouya,cinéma Mauritania et puis au marché Jemaa.
b
28 novembre 2009 22:17
kada al gharib

3ala 9damihi you9ribo al5ayma

ra2i7ata alkamouni wa za3tari

kada al gharib

yaouma al3idi 3ainahou tas9i albayda2 min tassaout

kada al gharib

3aynahou la toussatirou almadi

toussatirou al3outour

toussatirou

kada algharib

youssatirou alayyam

fala takfa assoutour

fa9at ana algharib
b
29 novembre 2009 00:09
Citation
BARA222 a écrit:
kada al gharib

3ala 9damihi you9ribo al5ayma

ra2i7ata alkamouni wa za3tari

kada al gharib

yaouma al3idi 3ainahou tas9i albayda2 min tassaout

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kada algharib

youssatirou alayyam

fala takfa assoutour

fa9at ana algharib




à Derb Sultan, 3aid Mabrouk....
b
7 décembre 2009 17:57
Les bizarreries d'un marché aux puces
Dans ce souk tout est bon à vendre du moment que cela rapporte de l'argent.




Dimanche matin au boulevard Bouchaïb Doukkali. Une palette de marchandises de tout genre et couleur sont exposées sur la route. Une activité incessante marque le lie

Les passants qui se fraient difficilement un chemin entre les étalages des « Ferrachas » prennent tout leur temps de contempler les articles exposés pêle-mêle. Car ici aucun critère de sélection n'est respecté. Les chaussures sont vendues à côté des ustensiles de cuisine et sur le même étalage des produits Hi-Tech ou pièces de collection. Seul le principe du «gain» réglemente ce fameux marché aux puces situé à côté de Souk Koréâ. Il suffit juste de trouver une petite place pour sa «ferracha» parmi une centaine d'autres. En fin de semaine, l'activité commerciale bat son plein. Tout le monde veut faire de bonnes affaires. A côté des commerçants qui proposent des marchandises en bon état ou d'autres sans aucun intérêt, on trouve des vendeurs de produits médicinaux traditionnels (âchoubs), de peaux et de dents d'animaux, de plantes en poudre, d'herbes séchées, d'œufs d'autruches et même d'ingrédients encore plus étranges originaires du Sahara.

Ceux qui n'ont rien à vendre se disent voyants ou «hlaykia». Ces personnes installées au marché aux puces, sis à côté du souk Koréâ, sont généralement issus des quartiers populaires et des périphéries de la cité blanche où la vie n'est pas toujours facile. Ils ont entre 20 et 60 ans, et ils ont décidé de prendre leur destin en main. Entre les jeunes débrouillards qui proposent des produits «tendance» et les commerçants qui ignorent la nature de leur marchandise, il existe mille cas de figure. Ils essaient bon gré mal gré de s'en sortir.

Leur profil est celui des prolétaires qui, faute d'emplois stables et décents, se rabattent sur le commerce de la fripe avec plus ou moins de bonheur.
Malgré des journées d'attente devant leurs étalages et les brimades de certains clients, ils ont fini par trouver un statut ou plutôt une reconnaissance comme le confirme ce vendeur de produits médicinaux traditionnels. «Cela fait plusieurs années que je m'installe à cette avenue commerciale. Avec le temps j'ai réussi à gagner la confiance d'une clientèle permanente. C'est ce qui fait ma fierté». Par naïveté ou par malignité, les commerçants de ce marché proposent des marchandises en bon état ou d'autres sans aucun intérêt. «Tout article est bon à vendre ici parce que notre clientèle ne ressemble pas à celles des grandes surfaces ou autres marchés», explique ce vendeur qui étale un amas de cuillères cassées et de vieilles statuettes en bois.

A côté de lui, un autre commerçant surveille tranquillement une marchandise originale. Installé en pleine chaussée, il étale ses articles et attend un client potentiel qui pourrait s'intéresser à des vieilles clés rouillées. «Ces produits qui peuvent vous paraître bizarres font la particularité de cette artère», nous confie-t-il. En effet, le client peut y trouver de vieilles cassettes audio, des boîtes de carton vides, des produits de beauté périmés, et même des tubes de dentifrice. Dans ce marché tout est bon à vendre du moment que cela rapporte de l'argent.
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Autre caverne d'Ali Baba
A l'intérieur de souk Koréâ on trouve aussi des espaces de friperie consacrés aux vieux habits, sacs et chaussures vendus dans des «rayons» séparés. Chaque samedi, journée d'arrivage ou d'ouverture des colis, les amateurs “de bonnes affaires'' prennent d'assaut cet autre marché aux puces où on peut trouver des sacs à main presque neufs à 30 ou 40 DH l'unité. Les valises et les sacs de voyage y sont également présentés à des prix plus élevés mais ils restent beaucoup moins chers que dans les grandes surfaces. Mis à part la friperie, Souk Koréâ propose des articles branchés et des imitations des grandes marques internationales. Depuis les dernières extravagances liées à l'univers de la maison jusqu'aux contrefaçons des articles de grandes maisons de mode, rien n'échappe aux commerçants de cet espace. Les modèles de Lacoste, Dolce & Gabbana, Nike ou Diesel sont devenus “monnaie courante'' dans ce marché. Que ce soit la classe moyenne ou celle aisée, tout le monde trouve son bonheur à la Koréâ.


source:le matin
M
18 décembre 2009 00:18
Salam à tous,

Bonne Année 1431


A l’occasion du 1er Muharram du nouvel an Hégirien 1431, correspondant au Vendredi 18 décembre 2009, je vous présente mes vœux les plus chers, les plus sincères, que cette année puisse être pour vous ainsi que vos proches une année de réussite, de bonheur et de prospérité ...

Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
18 décembre 2009 13:00
salam


MERCI beaucoup de ce petit récit de la nostalgie, de la ville ou mes enfant son originaire
cette ville que je visite chaque année, et ce souk ou je fait tous mes achats de la prochaine année.
Que se sois les épices ou les habilles ou même les tissu pour mon salon si j'ai envie de le changer
merci pour ce récit, qui nous a montrer le souk de klé3a d'une autre façon, beaucoup plus humaine
et plus vrais que se que on voie quant on vient nous juste pour les vacance
je viens chaque année depuis 20ans. J'adore cette ville et ce souk que je trouve formidable
ou il y a de tous.merci encore
si les mérites de tout sorte pouvais arrêter les cours des années je ne vieillirai jamais mais puisqu'il m'est impossible de commander au temps qui s’enfuie malgré moi,,,,,,
b
18 décembre 2009 18:32
Citation
Massoud 72 a écrit:
Salam à tous,

Bonne Année 1431


A l’occasion du 1er Muharram du nouvel an Hégirien 1431, correspondant au Vendredi 18 décembre 2009, je vous présente mes vœux les plus chers, les plus sincères, que cette année puisse être pour vous ainsi que vos proches une année de réussite, de bonheur et de prospérité ...

Massoud


Si Massoud,

Merci, pour la mémoire... mes meilleurs voeux...ce jour correspond aussi


18 décembre : Journée Mondiale du migrant et du réfugié



Convention internationale que la France n’a toujours pas ratifiée
.

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie il y a quatre ans par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui « vont exercer, exercent et ont exercé » un travail pendant « tout le processus de migration ». Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en « considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles ».

Les migrants dans le monde

L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits


Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Pays signataires par ordre chronologique :

* Egypte, Salvador, Maroc en 1993
* Seychelles en 1994
* Colombie, Philippines, Ouganda en 1995
* Sri Lanka, Bosnie-Herzégovine en 1996
* Cap Vert en 1997
* Azerbaïdjan, Mexique, Sénégal en 1999
* Ghana, Guinée Bissau, Bolivie en 2000
* Belize, Uruguay en 2001
* Equateur, Tadjikistan en 2002
* Guatemala, Mali, Burkina Faso, Kirghizstan en 2003
* Timor Occidental, Libye, Turquie en 2004.
b
26 décembre 2009 21:16
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b
26 décembre 2009 22:11
Al marhoum Mohamed El Hiyani enfant de Derb Sultan...

[www.dailymotion.com]
b
27 décembre 2009 01:31
Citation
BARA222 a écrit:
Al marhoum Mohamed El Hiyani enfant de Derb Sultan...

[www.dailymotion.com]









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b
29 décembre 2009 22:06
Achoura, entre tradition et ambiance festive

Les familles marocaines achètent des fruits secs pour les offrir à leurs proches à cette occasion de partage Achoura est une fête religieuse qui revêt au Maroc une connotation assez spéciale. ALM a fait un petit tour dans de la capitale économique et vous rapporte un aperçu sur cet événement hors du commun.


Très attendue par les petits et les grands et associée depuis des siècles à l’enfance et au partage, Achoura est la fête des enfants et de toute la famille marocaine. Elle sera célébrée comme chaque année le dixième jour de Mouharram qui coïncidera avec le dimanche 27 décembre. L’achat des jouets et des fruits secs est l’activité maitresse qui régule cette fête si particulière. Le marché Derb Soultan ou de Derb Omar à Casablanca où l’on trouve des grandes quantités de différents jouets tels que les Taârija et les Bandir qui sont des tam-tam marocains traditionnels, ou encore les pétards, les poupées, les pistolets, les peluches bref, de quoi faire le bonheur de nos petits bambins. Les vendeurs ambulants étalent leurs marchandises le long des ruelles ainsi que dans l’ensemble des quartiers populaires de la capitale économique. «La fête de Achoura constitue pour nous les vendeurs une bonne occasion d’écouler nos produits, qui perdent beaucoup de leur attrait le reste de l’année. Les prix des jouets sont à la portée de toutes les bourses».
Les rythmes des «taârija» et des «bandir» ainsi que les chants des petites fillettes envahissent tous les coins de rues depuis la première semaine du mois de Mouharram. Elles sont généralement âgées de 10 à 13 ans et se pavanent chacune avec son petit tam-tam. «Chaque année, je dois absolument acheter à ma petite fille une «taârija» afin qu’elle puisse jouer avec ses copines dans le quartier. On est habitué à célébrer chaque année cette tradition», a indiqué Khadija, maman de Asmaa, rencontrée au quartier Sidi Maârouf de Casablanca. «Achoura est une occasion pour moi de jouer avec mes copines et mes cousines, on achète de grandes poupées et de petites cuisines pour jouer à la ménagère, on se réunit dans un coin de rue et on essaye de maquiller les poupées qu’on achetées», a confié la petite Asmaa. Pour les petits garçons c’est un autre topo, eux préfèrent les pistolets les voitures et les jeux vidéo. Mais, leur principale activité et d’ailleurs celle qui les motive le plus, reste ce qu’ils appellent la «Chouâlla». En effet, le soir venu les garçons d’un même quartier sortent pour allumer à même la chaussée, une sorte de feu de camp. Ils tournent autour des flammes et allument leurs petits pétards. «J’achète une grande quantité de pétards et avec mes amis on explose le jour d’Achoura», raconte Youssef, un jeune Casablancais de 15 ans. Cette pratique, plutôt néfaste pour l’environnement et la santé des enfants qui y jouent, a tendance à disparaître et à se faire rare, mais toutefois les quartiers populaires perpétuent la tradition. Et chaque année, on enregistre des cas d’enfants hospitalisés en raison d’une mauvaise manipulation des explosifs. Le gouvernement a certes interdit la vente des pétards, mais quelques marchands continuent de les vendre au marché noir. Aussi, une autre pratique qui se fait rare, c’est celle de «Zem Zem». Les enfants déambulent dans les rues le lendemain de la fête et ils se permettent arroser librement les passants dans la rue. Les blâmes sont assez rares vu que tout le monde connaît la règle en ce jour.
b
29 décembre 2009 22:08
suite fin de l'article Aujourd'hui.ma

Aux côtés des jouets, c’est la vente de fruits secs qui bat son plein en cette période de l’année. Les familles marocaines achètent des grandes quantités d’amandes, de noix, de dattes, de raisins secs, de figues sèches et de cacahuètes, pour les offrir à leurs proches, dans de grandes réunions familiales. «Chaque année, je viens dans ce marché pour acheter les meilleurs fruits secs de la ville. Cela est devenu une tradition pour nous. Chaque fois qu’une fête traditionnelle se profile à l’horizon, nous partons au marché et nous achetons les fruits secs», déclare Ali, père de famille, au marché de Derb Omar à Casablanca. Aussi, la fête d’Achoura a une autre connotation chez les femmes marocaines. Elles préparent le couscous avec «kedid», la «diala» ou encore «lemejebna». Tout autant de plats typiquement marocains. Pour le «Kedid», il s’agit d’ un plat de viande séchée après avoir été agrémenté d’épices et conservé depuis llm’Aïd El Kébir. «C’est une tradition qu’on a hérité de nos parents», confie Souad, femme au foyer. Et d’ajouter : «La femme qui n’a pas réussi à avoir des enfants, collecte des «kedid» auprès de ses voisines et amies et prépare un plat avec la petite collecte appelé «kadida» et invite les généreuses donneuses à le partager. C’est une croyance qui trouve source dans les vieilles légendes urbaines». Outre les repas spéciaux, les fêtes de rues et les «chouala», cette manifestation revêt une signification spirituelle et sociale indéniable. Elle est par excellence une occasion de partage, de charité et de retrouvailles familiales.
Le 27-12-2009 à 11:12
Par : Siham Jadraoui
b
30 décembre 2009 22:31
Salam,

Fi kouli zankatti,
3ainaki,
la tamhi adoumou3,
doumou3a al bariha
lan ansak,
ahi ! laN ansa riha 65 ..
amama al kawakib ,
at tadkourine,
3azizati,al barihatou...
at fal...
b
1 janvier 2010 00:37
Mes pensées à mes Droubas,

Derb Sultan ne dort pas,il veille.

2010 , une rencontre,une approche,ne trainer pas demain c'est un autre jour....
b
3 janvier 2010 22:01

Des élèves s'initient à l'action sociale



Ils ont organisé une opération de don au profit des pensionnaires de Dar Al Banat de Casablanca à l'occasion de Achora
Les actions de solidarité ne sont pas réservées qu'aux "grands". Les élèves du lycée Mohammed V de Casablanca viennent, eux aussi, de "goûter" à l'action solidaire. En effet, une quarantaine d'élèves, chapeautés par trois enseignants et le directeur du lycée, ont organisé, samedi dernier, une journée de solidarité au profit des pensionnaires de "Dar Al Banat" à Casablanca.


Baptisée "Don't forget the others", "cette opération a été initiée par notre professeur d'anglais. Au début, nous avions le choix entre des enfants orphelins et ceux souffrant d'un cancer. Mais finalement, le choix a été fixé sur un orphelinat", explique Nihad, une élève qui a participé à cette initiative.
La cible fixée, les apprentis mécènes ont fait une annonce pour sensibiliser et associer le reste de leurs camarades du lycée à cette opération de don. Et ainsi la collecte d'argent, de jouets, de vêtements et de cartables auprès de tous les élèves du lycée a été entamée.

«Nous avons pu récolter 2.500 DH, 100 jouets neufs ainsi qu'un grand lot d'habits et de cartables. Nous avions également acheté des trousses de produits hygiéniques », précise Nihad, qui est, à l'image de presque tous ses camarades, à sa première action sociale.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, la collecte d'argent et de don n'a pas été la chose la plus difficile dans l'opération. "Elèves et professeurs ont tous répondu présents à notre appel et les dons ont été à la hauteur des attentes", souligne Nihad. "Le plus difficile était de trouver un orphelinat pour la distribution. Notre première tentative avec une première association n'a pas abouti. Mais nous n'avons pas baissé les bras et nous avons contacté Dar Al Banat, une association qui nous a ouvert ses portes et accepté d' organiser une journée avec les enfants. D'ailleurs, le contact direct et humain avec les orphelins était notre premier objectif. Nous voulions offrir à ces petits une après-midi très agréable", ajoute la lycéenne.

«Notre action a profité à 35 filles et 17 garçons, âgés de 6 à 12 ans. Le jour J, nous étions une dizaine d'élèves, dont un clown, en plus du directeur et de nos trois professeurs. Les petits ont beaucoup aimé le clown. Ils ont passé des moments très agréables ».

A noter que cette action reste une première pour les élèves du lycée. Elle vise la création d'un club de solidarité, dont les actions seront focalisées notamment sur le monde rural, les orphelinatset bien sûr, les élèves du lycée Mohammed V qui se trouvent dans des situations difficiles. «Les cotisations des élèves restent notre seule source de financement. Nous cherchons à établir des contacts avec des mécènes et des bienfaiteurs pour financer nos actions de solidarité», souligne Nihad. Et de conclure: «Cette opération nous a permis de développer notre esprit d'initiative, de dialoguer avec les autres et surtout de connaître davantage nos professeurs et nos responsables".



Par Abderrahim Bourkia | LE MATIN
M
4 janvier 2010 00:09
Salam à tous,

A l'occasion de la nouvelle année 2010, je vous présente mes voeux les plus chaleureux. Que cette année soit riche en rêves et en projets, et qu'elle vous permette d'en réaliser le plus grand nombre.

Je ne peux vous présenter mes voeux sans aller dans le fond de mes pensées. Des pensées pour les enfants sans enfance, les adolescents en souffrance, les plus démunis en partance vers l'espoir, vers une transformation sociale et politique, vers un Maroc solidaire et humain. L'ignorance de la citoyenneté n'est pas le pire. Le pire, c'est de ne pas combattre cette ignorance qui reste l'ennemi de la connaissance, de la conscience.

Que cette année soit une année de lutte, d'énergie et d'espoir pour le peuple palestinien et tous ceux qui soutiennent son légitime combat pour recouvrer ses droits.


Bien cordialement, Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
v
7 janvier 2010 16:55
drb soltan hay al amal deux quartiers jumeaux
malheureusement des vielles maisons encore habitées des maisons menacées de ruine surtout par cette saison ou les innondations emportent des ames innocents

pourquoi se bander les yeux sur ces maisons ? on réagis après la cats et jamais avant c est notre faiblesse et notre défaut majeur.
abientot
b
12 janvier 2010 22:32
Citation
charifa20 a écrit:
drb soltan hay al amal deux quartiers jumeaux
malheureusement des vielles maisons encore habitées des maisons menacées de ruine surtout par cette saison ou les innondations emportent des ames innocents

pourquoi se bander les yeux sur ces maisons ? on réagis après la cats et jamais avant c est notre faiblesse et notre défaut majeur.
abientot


Salam charifa,

Hay al amal c'est Derb Sultan aussi.

C'est un problème récurrent,toutes ces vieilles maisons qui risquent de causer des accidents,chute de

mur sur les passants, etc...Or, le 15 mai 2008 une plate forme de développement économique et social

a été dévoilé,mais qu'on est-il aujourd'hui ????


Quelques douceurs de Derb Sultan Clap
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