Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
derb Korea...Casablanca
f
28 août 2009 01:26
salut bara,

y a pas dans ton dictionnaire :

khli 3achtou : détruire son nid ( le tabasser)ptdr

hdam ssnanou : détruire ses dentsptdr

khane chache nifou : casser son nez ptdr

chamch9ou : le malmenerptdr

BMdouble pieds(BMW) : moyen de transport ( les pieds)

dkhoul sou9 rassak : rentre dans le marché de ta tête ptdr

naguare lih bi7ajra : il l'a blessé avec une pierreptdr

7aydou mane 7ala al madaniya : le supprimerptdr


bara,
ya d'autres dictons 3roubiines à mourir de rire, la liste est longue.Danse

bon s7our et à demain incha allah.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/08/09 01:28 par Viet53.
s
30 août 2009 11:28
Mefaroueh ===> un fou
chad Stoune dial halazouen ==> bien et cool
Damdouma ==> quelqu'un qui est bête
3chir ==> camarade

WAk wak a hak welad derb sultan dar o jareh hihi
f
31 août 2009 06:52
salut strom, bara et derb sultan


koulkoum chadine stoune dial halazouen, cooooolthumbs up

là, je donnerais cher pour aller voir les gens à côté de marché jam3a qlqs instants avant laftour,
surtout les "ma9touiines dial al garrou" les coups de pression et les nerfs avant laftour, wakwak
c'est très amusant et rigolo.ptdr

Bye
s
31 août 2009 08:20
Slm a zine
Je vois deja la scene' ms c promis je rentre fin ramadan et je te ferai un retour, d'pares les echos me3a sahed koulchi messekanti
b
1 septembre 2009 22:07
Haute saison pour les livres religieux
Un créneau dopé à l'occasion de chaque mois sacré





Il est 15h00. Nous sommes aux "Habous", le quartier historique de la métropole. A quelques heures de la rupture du jeûne, les lieux sont en ébullition.


Considéré par les habitants de la ville comme un haut lieu des habits traditionnels et des articles artisanaux, le quartier abrite également des maisons d'édition de renom au Maroc. Spécialisées dans l'édition des livres scolaires, ces maisons s'activent également dans le domaine d'importation et la vente en gros des livres religieux. Un créneau qui est d'ailleurs dopé à l'occasion du Ramadan. Même si les libraires affirment que la demande des clients ne faiblit pas tout au long de l'année, ils déclarent tous que les recettes des ventes augmentent sensiblement durant le mois Sacré. Au troisième jour du Ramadan, la demande reste constante. Un constat confirmé par Hassan, employé à la maison d'édition Dar-Errachad. Pour ce dernier, Ramadan reste le mois de prédilection pour la vente des livres religieux. «Dès la dernière semaine du mois de chaâbane, les gens commencent à s'intéresser à cette catégorie d'ouvrages. On reçoit presque quotidiennement des clients de tous les âges et de différentes catégories sociales. Car contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas seulement les imams ou autres lecteurs initiés qui s'intéressent à ces livres.

Suite de l'article eye rolling smiley
b
1 septembre 2009 22:37
Salut Viet

Salut Strom,

Merci pour ton retour,j'espère que tu seras présent aussi longtemps,avec tes photos,tes articles de Derb Foukkara, Derb cher à mon coeur par les liens d'amitiés, de camaraderie et de famille,que des bons souvenirs et des très bons parfois...

Une caméra fixée sur un mat à la rue d'Ait yafelman ( rue du cinéma Malakiya),avant le retentissement des sirènes et dix minutes après !!!!
b
12 septembre 2009 12:02
Un patrimoine architectural et culturel disparu


un article sur quelques salles de cinéma, imprécis,etc...


iciIll
h
12 septembre 2009 12:04
Citation
BARA222 a écrit:
Un patrimoine architectural et culturel disparu


un article sur quelques salles de cinéma, imprécis,etc...


iciIll


dure realité, je compati
b
19 septembre 2009 19:39
Zahra Tragha
une mère de cœur à Derb Sultan


Zahra Tragha, une femme qui marque par sa personnalité, sa sagesse et sa générosité débordante. La «Mama Tragha» des résidants du Foyer d’action sociale Lalla Yacout a cette lueur rassurante qui a bercé des générations de jeunes à Derb Sultan.

Une lueur qui lui permet d’être à la fois la maman, l’amie et la protectrice d’une trentaine de mineurs pendant toute la durée de leur détention et même après leur sortie. « Mama Tragha », a voué sa vie pour le travail associatif puis à la protection des mineurs en déstabilisation sociale.

Que ce soit les résidants du foyer ou les enfants du quartier, l’avenir de « ses » enfants la préoccupe de manière permanente. Durant cette saison estivale, Zahra Tragha est souvent accrochée à son téléphone pour s’assurer du bon déroulement des colonies de vacances. Rien n’échappe à cette femme de cœur: elle négocie les prix du transport, vérifie la qualité du logement et surtout s’assure que les enfants s’amusent.

Elle contrôle tous les petits détails car la sécurité de ces jeunes est une responsabilité qu’elle prend à cœur. Grâce au militantisme de cette mère casablancaise, le Foyer d’action sociale Lalla Yacout offre une vie stable et chaleureuse pour ceux qui savent en profiter.


à Fatima Zahra de Derb Carloti et AMEJ de derb Sultan.
b
22 septembre 2009 23:37
Salam,

C'est quand même bizar que ces ruelles où le soleil ne se couche jamais,pas le moindre feed-back.

Vos photos ,vos articles,vos interventions pour ces Droubas seront le bienvenue.
b
25 septembre 2009 19:31
Derb Soltane, c’est :

4 899 artisans : 3 110 artisans d’art et de production et 1 789 artisans de service.

12 366 unités de Commerce

40 Kissariyats

Offrant une foule grouillante s’étendant à perte de vue dans une atmosphère joyeuse et conviviale, Derb Soltane est aujourd’hui une plateforme commerciale et culturelle de choix.
b
25 septembre 2009 20:00
DERB SOLTANE - AUJOURD'HUI


Construit avec une vocation de départ de contenir l’habitat moyen, le petit commerce et l’artisanat, Derb Soltane a gardé la même identité.

En effet, aujourd’hui, Derb Soltane est sans conteste le siège d’une économie traditionnelle. Il suffit de parcourir la nouvelle médina pour se convaincre que l’économie moderne n’a pas opéré d’implantation.

Par ailleurs, Derb Soltane est connu pour être le lieu de prédilection des futurs époux.
Il bénéficie d’un réel engouement pour les magasins et commerces se rapportant à la cérémonie du mariage.

Il est fréquenté par toutes les catégories socioprofessionnelles dans le cadre des achats et préparatifs de la cérémonie du mariage.

En effet Derb Soltane est connu pour ses nombreuses boutiques, artisans, bijoutiers, vendeurs de tissus, pâtissiers, troupes musicales, marchés d’épices et de dattes…
v
25 septembre 2009 23:45
bonsoir TLM
DERBE SOLTANE c est le charme majestueux de la metropole blanche sans rivale

derbe soltane c est le coeur qui transmet le sang vers les veines de la grande casablanca
derbe soltane c est la vie avec tt ses forces de toute casa!
c est la source qui jaillit pour a
arroser tt la ville
derbe soltane a donné vie à bc de personnalités et ds tt les domaines
qui dit casa dit derb assaltane la3ziz
bonsoir
b
29 septembre 2009 17:42
La vente des livres scolaires d’occasion, une aubaine pour étudiants et revendeurs


Les vendeurs des livres d’occasion prolifèrent dans plusieurs endroits à chaque rentrée scolaire Au début de chaque rentrée scolaire, les vendeurs des livres d’occasion occupent les places de premier choix dans les souks pour exposer leurs marchandises.


La vente des livres scolaires d’occasion, un commerce à part. Au début de chaque rentrée scolaire, les vendeurs des livres d’occasion occupent des places de premier choix dans les souks pour exposer leurs marchandises.
L’horloge indique 10h. On est à El Karéa, un grand souk populaire à Casablanca qui ne manque pas, de vibrer au rythme de la rentrée scolaire. Dès 10h 30, plusieurs «commerçants» commencent à s’installer aux abords du souk en étalant par terre des livres tous niveaux scolaires confondus. Un commerce saisonnier qui apparaît juste le temps que dure la préparation de la rentrée scolaire, à condition, bien évidemment, que le ministère de l’éducation ne change pas le programme scolaire. «S’il vous plaît! Est-ce que je peux trouver chez vous le manuel de l’éducation islamique troisième année primaire?», demande un jeune homme à un vendeur de livres. Ce dernier se précipite vers son client potentiel en répondant : «Viens par là! approches! j’ai ce que tu cherches. Le voilà. Il est toujours de bonne qualité. Je te le vend à 10 dirhams alors qu’il vaut encore plus chez les libraires». L’acheteur semble être satisfait, mais -la coutume commerciale marocaine l’exige- il faut marchander, alors il propose au vendeur 7 dirhams seulement. Celui-ci accepte cette contre-offre qui lui paraît raisonnable et le marché est conclu. Ce genre de transactions se répète tout au long de la journée. Les prix des livres varient selon leur qualité, et il est possible de négocier les prix contrairement qu’auprès d’une librairie où les prix sont fixés d’avance et demeurent ainsi à l’abri des négociations traditionnelles.
En dehors du souk d’El Karéa, les vendeurs des livres d’occasion prolifèrent dans plusieurs endroits à chaque rentrée scolaire. Au quartier Aïn Chock, c’est au «Souk populaire» que se passe l’affaire. «Je ne reproche rien aux vendeurs des livres scolaires même si, comme vous le remarquez, cela a un impact direct sur les ventes des livres neufs. Les prix des livres ont considérablement augmenté. C’est en quelque sorte la raison qui explique l’épanouissement de ce commerce saisonnier», précise un propriétaire d’une librairie à Aïn Chock, d’un ton austère qui dissimule son mécontentement. «L’achat de livres d’occasion est pour moi une contrainte et non un libre choix. J’ai mon Bac cette année et le pouvoir d’achat de mes parents est très limité, d’où l’obligation de me procurer ces livres. Mais bon, quelle est finalement la différence entre un livre usé et un autre neuf ? Je n’en vois aucune», affirme Yassine, un jeune étudiant casablancais venu à El Karéa se procurer le programme de l’année scolaire en cours. Parmi les vendeurs qui sont arrivés tôt pour étaler leurs marchandises, figure Chafik, un étudiant qui est déjà sur place afin de vendre ses anciens livres et pouvoir, par la suite, se procurer ceux de l’année en cours. «J’ai pris l’habitude chaque année d’exercer cette activité. C’est un petit commerce qui me permet de couvrir la totalité des frais de ma scolarité», affirme-t-il. Outre la vente des manuels d’occasion, un autre procédé permet aux jeunes étudiants de se procurer les livres, mais cette fois-ci sans être obligé de conclure des ventes. Il s’agit du troc. Le procédé est très simple. C’est, en quelque sorte, échanger ses livres contre ceux d’une autre personne. L’opération se fait soit dans des lieux publics soit entre amis. Ainsi, à Aïn Chock, un petit souk réapparaît chaque année pour abriter la foule des échangeurs.
C’est en quelque sorte un forum estudiantin qui permet aux jeunes d’échanger leurs programmes scolaires sans dépenser un dirham. Toutefois, l’opération nécessite des fois l’intervention de la liquidité pour régler des transactions. «Les Marocains sont solidaires entre eux. J’échange toujours mes livres contre ceux de mes amis. En fait, j’ai pris même l’habitude de remettre mon programme de l’année à une voisine que je devance d’une année. Elle me procure pour sa part les livres qu’il me faut et ainsi de suite», a déclaré Sofia, une jeune casablancaise.
Par ailleurs, à côté d’étudiants qui vendent ou échangent leurs livres pour pouvoir se procurer d’autres et aller de l’avant dans leurs études malgré les contraintes financières, il existe d’autres revendeurs qui exposent tous les outils scolaires, notamment les cartables, les cahiers, les stylos, etc. et pour qui la rentrée scolaire est une aubaine pour se remplir les poches.


Le 25-09-2009 à 14:00
Par : Mohamed Aswab
b
29 septembre 2009 22:25
Citation
charifa20 a écrit:
bonsoir TLM
DERBE SOLTANE c est le charme majestueux de la metropole blanche sans rivale

derbe soltane c est le coeur qui transmet le sang vers les veines de la grande casablanca
derbe soltane c est la vie avec tt ses forces de toute casa!
c est la source qui jaillit pour a
arroser tt la ville
derbe soltane a donné vie à bc de personnalités et ds tt les domaines
qui dit casa dit derb assaltane la3ziz
bonsoir

Salam,

Derb Sultan c'est d'abord Bent Derb Sultan...
b
3 octobre 2009 19:03
Regard sur les statistiques de l'éducation de Derb Sultan 2007-2008 avec des comparaisons par rapport à l'année scolaire 2006-2007 en tenant compte de l'enseignement privé.
A méditer
ici
b
19 octobre 2009 21:44
La cuisine ensoleillée de Choumicha

L’animatrice télé accommode les plats traditionnels au goût du jour. Une recette qui a fait son succès et séduit des millions de Marocains.

Comme d’habitude, Choumicha (« petit soleil », en arabe) ­commence sa semaine sur les chapeaux de roues. Il est à peine 9 heures, et le téléphone n’arrête pas de sonner dans son bureau du quartier Mer Sultan, au cœur du vieux Casablanca. Pimpante, la jeune femme de 36 ans jongle entre les appels et une appétissante boîte de sablés. « On prépare une nouvelle émission, s’excuse-t-elle. Faire découvrir les saveurs du monde à travers les ambassades étrangères. » Et ce sont les ambassadeurs en personne qui demandent à figurer au côté de la star préférée des ménagères.

Avant de passer devant la caméra, en 2000, Choumicha a commencé sa carrière de l’autre côté du décor, comme chargée de production. Repérée pour sa spontanéité, on lui propose d’animer une émission avec un chef. « J’ai dit oui pour l’émission, mais non pour le chef, s’amuse-t-elle. Je pensais qu’une femme “comme les autres” serait plus à même de transmettre la passion de la cuisine aux téléspectatrices qu’un grand cuisinier. Vous savez, on a toujours peur des spécialistes, car on se dit qu’on ne sera jamais capable de faire aussi bien qu’eux… »

Loin des présentatrices peroxydées du petit écran, cette mère de deux enfants est une célébrité familiale avec qui l’on échange secrets et astuces. Entre Cyril Lignac – le chef français qui a accommodé téléréalité et émission culinaire – pour son côté pédagogue, et Jean-Luc Petitrenault – le journaliste gastronomique spécialiste des escapades gourmandes – pour sa passion insatiable du terroir, elle a conquis le cœur et les papilles de millions de téléspectateurs.

Intarissable quand il s’agit de bonne chère, Choumicha évoque son succès avec une pudeur candide, presque désarmante. « Je suis mal placée pour en parler, s’excuse-t-elle. Il faut poser cette question à ceux qui regardent les émissions, pas à moi. Je pense simplement que lorsqu’on fait les choses avec passion, les gens le sentent et c’est contagieux… »

Discrète sur sa vie privée, elle ne se laisse pas aller facilement aux confi­dences. Tout juste apprend-on que Choumicha Chafay a été élevée par Rahma, sa grand-mère, dans le quartier Derb Sultan de Casablanca. L’enfance traditionnelle de toute petite fille de la classe moyenne… « À l’époque, on donnait autant d’importance aux tâches ménagères qu’aux études, se souvient-elle. Et c’est ma grand-mère qui m’a inculqué tout ça. La cuisine marocaine, c’est avant tout une affaire de femmes, qui se transmet par le geste et le regard. »

Aujourd’hui, elle perpétue la coutume en sillonnant chaque semaine les campagnes marocaines à la recherche de ces vieilles « Daddas » et de leur savoir-faire ancestral. Leurs précieux secrets, elles les livrent généreusement à celle qui fait désormais un peu partie de la famille. « La structure de la société marocaine change, poursuit Choumicha. Dans les villes, la mère travaille, la fille va à l’école et la grand-mère ne vit plus à la maison. Et c’est tant mieux. Mais comme on n’a plus le temps de se transmettre ce savoir, on me le confie à moi. »

Jeune Afrique : Julien Félix,
b
25 octobre 2009 21:19
Abdellah Zaâzaâ
Militant associatif (AIC PRESS)


Antécédents

1954. Naissance à Casablanca
1971. Intègre Ilal Amam
1975. Condamné à perpétuité pour atteinte à la sûreté de l’Etat
1989. Sort de prison
1993. Se marie
1998. Fonde l’association de quartier El Miter Bouchentouf
2004. Co-organise le orum “Entreprises-Associations”
2009. Soutient les non-jeûneurs de Mali.


Le PV
Abdellah Zaâzaâ fixe rendez-vous dans son fief natal de Derb Soltane, le berceau de ses activités socioculturelles de proximité. Et la matrice inspiratrice du Résaq, un réseau casablancais d’associations de quartier où l’on applique un dogme cher au militant d’extrême gauche : faire de la politique, c’est comme du marketing, il faut “penser local pour être global”. Pour ne pas vous égarer dans les ruelles de Derb Soltane, Zaâzaâ vous attend sous l’un des rares monuments locaux : une couronne géante à la gloire de la royauté. Le comble pour un républicain déclaré. Mais il ne faut rien y voir d’autre. Ni provocation, ni mise en scène, ce n’est pas le genre de la maison. L’homme est posé, n’élève jamais la voix, sûr de son fait. La royauté n’est pas sa tasse de thé et ne le sera jamais. C’est à prendre ou à laisser…

Smyet bak ?
Ahmed Ben Mohamed

Smyet mok ?
Basha Bent L’hali

Nimirou d’la carte ?
BE 573 270

On s’habitue aux interrogatoires à force d’en subir ?
Les premières fois, on est tenté par la colère face aux questions répétitives. Avec le temps, on apprend à gérer la situation et à garder son calme.

Vous avez déménagé de votre quartier d’enfance, Derb Bouchentouf (Casablanca), pour un endroit moins populaire. Vous vous embourgeoisez ?
Mon nouvel appartement est plus confortable que le deux pièces-cuisine où je logeais. Mais les relations de proximité que j’avais établies à Derb Bouchentouf me manquent.


Suite ICI
M
30 octobre 2009 19:31
Salam Si Bara,

Il y a un moment où je n'écrive plus sur Yabiladi... Mais l'interview de Abdellah Zaazaa m'interpelle sur la contradiction d'être républicain, marxiste-léniniste et bénéficier des subventions des patrons marocains que Abdallah combattait et il semble poursuivre son combat contre ce patronat!?

Que Abdellah Zaazaa Ben Arbia sort de Derb El Mitr pour aller habiter ailleurs est un droit mais je pense qu'il continue son devoir citoyen de lutte pour la promotion des quartiers populaires. Je ne suis pas marxiste mais militant de défense des droits humains et acteur associatif en France.

Le groupe de 72 a été libéré, certains restent au Annahj democrati (anciennement Il Amam), d'autres dans d'autres associations (AMDH, OMDH, ATTAC Maroc, assoc diverses). Quand je vois Fouad Abdelmoumni mettre en oeuvre une structure de micro-crédits (Amana) avec des administrateurs comme Azoulay, Driss Jettou, etc, et d'autres qui travaillent aujourd'hui avec ceux qu'ils combattaient hier, j'ai du mal à saisir le sens. Je ne me positionne pas pas mais je questionne...

D'autres sont passé(e)s de l'autre côté de la barière ou changé(e)s de trottoir comme Herzni, Khadija Rouissi, etc.

Bref, après tout chacun fait ce qu'il/elle veut. Mais l'histoire est toujours présente. Par exemple les Moussadak, Chbari, Tbal, Al Balaich, Housby, Saib, El Boukili, etc, ont déclaré lors de leurs libérations le 21 juillet 1994 leur attachement aux principes et convictions pour lesquels ils ont été prisonniers pendant de longues années et ont promis au Peuple Marocainde demeurer fidèles à leurs aspirations et à la mémoire des martyrs notamment un Maroc des Libertés, démocratique et de bien être, alors où sont passées ces promesses.

Je ne fais pas de procès à qui que soit mais des questions essentielles deumeurent d'actualité notamment la question des disparus, de la torture toujours présente dans les pratiques policières, etc en deux mot: un Etat de Droit.

Cependant, l'Asaq, un projet cher à Abdallah Zaazaa est une bonne initiative où on trouve des associations diversifiées. J'avais soutenu la création de ce réseau dont je ne suis plus en contact depuis longtemps...

...

Avec mes amitiés, Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
f
11 novembre 2009 21:11
salut bara,


bientôt la fête de l'aid incha allah,

j'ai une petite chèvre serghiniya pour toi, je la " 3allafe comme il le faut"

comme tu le sais, débordée depuis août, mais je pense tjs à vous tous.


à bientôt frère.
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook