En 2015, l’amnistie proposée par le gouvernement Benkirane aux Marocains détenant des biens et des avoirs à l’étranger sans déclaration a rapporté plus de 28 milliards de dirhams. Le cabinet El Othamni a tenté sa chance en 2020, mais le succès n’était pas au rendez-vous. L’exécutif Akhannouch exhume la même mesure d’amnistie dans le PLF 2024.
L’entrée en vigueur de la convention sur l’échange des données fiscales, que le Maroc avait signée en juin 2019, est discutée au Parlement. Une perspective qui inquiète les Marocains du monde.
Le débat sur la déclaration des biens et des avoirs au fisc du pays de résidence, détenus au Maroc par les MRE, est remis en avant ces derniers jours. Malgré le démenti de la Direction générale des impôts (DGI), les articles annonçant l’automatisation de l’échange de ces informations entre les pays, ont suscité l'inquiétude chez de nombreux MRE. Qu'en est-il dans le détails ?