La responsabilité directe des mineurs qui ont vandalisé les nouveaux bus de Casablanca ne saurait éluder celle, plus large, des parents, du système éducatif et de l'Etat en général.
Depuis vendredi, des quartiers d’Utrecht sont le théâtre d’émeutes entre jeunes néerlando-marocains, venus manifester et vandaliser des biens, et des éléments de la police. Pour Abdelkader El Yendouzi, président d’un centre islamique à Utrecht, «tout le monde se pose la même question : ‘quelle en est la raison ?’ Mais personne n’a de réponse».