Ladies, la blogueuse Sousou Kitchen, spécialisée dans la cuisine marocaine, nous propose aujourd’hui sa recette des melouis, farcis bchahma ou à la graisse de mouton. A vos fourneaux alors !
De l’entreposage du mouton à sa consommation, l’Aïd El Adha pose une série de problématiques urbaines liée à la gestion des déchets que sa pratique occasionne. Zoom.
Aid El Kébir, la fête du sacrifice, approche à grands pas. Un jour très attendu par les musulmans, et surtout par les enfants. Sacrifier un mouton est une sunna recommandée pour tous ceux qui ont les moyens de le faire. Mais certaines ladies appréhendent déjà ce jour. Elles sont seules face aux dépenses et aux problèmes au quotidien, et encore plus pendant ces jours de fête ! Elles sont veuves ou
L’Aïd El Kébir avance à grand pas. A trois semaines seulement de la fête, les Marocains commencent à sillonner les marchés et les lieux de vente de moutons pour avoir une idée du prix. Mais le mouton fait de l'ombre à un autre animal très apprécié le jour de l’Aïd El Kébir: le chevreau.
Chaque année, le bonheur de passer Aïd Al Adha en famille, dans sa ville natale, est terni par la difficulté de trouver des transports. Pour parer à l’affluence monstre des voyageurs pendant les trois jours précédant la fête du sacrifice, les autorités et les professionnels du transport prévoient plusieurs mesures afin de faciliter les déplacements et éviter le rush annuel, surtout que l'Aïd tombe cette
Marocaine ou Espagnole? Cette fois, la question ne concerne pas la souveraineté de Sebta et Melilla, mais l’origine des bêtes qui seront sacrifiées le jour de l’Aïd, dans les deux enclaves. Melilla ne devrait pas s’opposer à l’entrée de têtes de bétail venues de chez le voisin alaouite. A Sebta, les autorités locales ont posé leur véto, invoquant des normes sanitaires européennes.
Comme chaque année, à quelques jours d’Aïd Al Adha, des petits commerces saisonniers voient le jour. Stands temporaires de vendeurs de foins, vendeurs ambulants de charbon, ou encore aiguiseurs de couteaux poussent comme des champignons, et ceci partout à travers la ville. Chaque rue a ses vendeurs venus de Casablanca et des régions avoisinantes.
A une semaine de l’Aïd El Kébir, les préparatifs vont bon train au Maroc. Certaines familles ont d’ores et déjà acheté leur mouton et d’autres, malheureusement les plus démunies, fêteront l’Aïd El Kébir sans mouton ou devront prendre un crédit pour honorer la tradition du sacrifice.