Au lendemain du départ de Faïçal Mekouar, celui avec lequel le président de la CGEM depuis mai 2018 avait formé un tandem pour devenir le patron des patrons, Salaheddine Mezouar a rompu ce jeudi le silence quant aux démissions qui secouent la confédération, n’écartant pas la possibilité de voir le nombre de démissionnaires augmenter.
Le patronat fait l’objet d’un recours entrepris par l’une de ses employés. L’ex-responsable du Pôle communication, marketing et relations publiques accuse ainsi la CGEM de l’avoir rétrogradée et laissée sans poste depuis décembre dernier.
Un mois après le lancement de la campagne de boycott, un membre du RNI a osé réclamer le départ d'Aziz Akhannouch de la présidence du parti.
Le jour du dépôt du dossier de candidature de Salaheddine Mezouar au poste de Président du patronat, un clash se serait déroulé entre son équipe de campagne et l’équipe de la communication. Une affaire, confirmée par deux sources au sein du patronat, mais que tous les autres protagonistes démentent plus ou moins fermement.