Mehdi Echafiî, pédiatre et chirurgien au centre hospitalier provincial de Tiznit, alerte souvent sur les dysfonctionnements de son secteur professionnel. Au même moment, il fait l’objet de harcèlements de la part de son administration, qui lui reproche, entre autres, de ne pas faire opérer des patients.
Le rejet du système de santé marocain par tous les citoyen n’est qu’un symptôme du rejet des valeurs humaines de ceux qui le constituent et acceptent d’en faire partie, voire de le servir.
Salah Ben Lahrir, chirurgien viscéral excerçant en France, s'est vu interdire la pratique de la chirurgie dans l'Hexagone suite à la mort de l'un de ses patients. Ce qui ne l'a pas empêché de s'installer à Marrakech pour continuer à pratiquer la médecine.
Fini les problèmes pour le docteur Zouhair Lahna. Après quelques mois d’attente, l’Ordre des médecins lui a finalement accordé l’autorisation officielle pour son cabinet médical dédié aux réfugiés et aux démunis à Casablanca. Et les premières opérations sont déjà programmées.