Printemps arabe et crise économique en Europe sont à l’origine de la baisse des investissements étrangers au Maroc pendant l'année 2011, constate Bank Al Maghrib. Ils ont baissé de 11,8%.
Les prévisions de la croissance en 2012 sont au cœur d’une controverse. Officiellement, le gouvernement Benkirane maintient toujours ses 4,2%, bien que le ministre des Finances, Nizar Baraka, plus réaliste, opte pour un 3%. Il l’a fait d’ailleurs savoir lors de la dernière rencontre entre patrons français et marocains. En revanche, Ahmed Lahlimi, le Haut commissaire au plan, ne semble guère affecté par la mauvaise année
La situation économique du Maroc est actuellement plus qu’alarmante. Pas une seule goutte de pluie n’est tombée ces dernières semaines sur le royaume, mettant ainsi en péril toute la campagne agricole et avec elle les perspectives de croissance du pays. Un responsable marocain va même jusqu'à prévoir un taux de croissance de 2,5% pour 2012, contre 4,1% au dernier trimestre 2011.
11% du PIB italien est produit par les immigrés, selon une étude de l’Association pour la défense et l’orientation des consommateurs, présentée mardi 28 juin. L’étude confirme le poids économique grandissant de l’immigration en Italie.
LʼAïd Al Adha, c'est une fête familiale, mais aussi un espace de quelques jours dans lequel se concentre une part impressionnante des dépenses annuelles des Marocains.
Ahmed Lahlimi Alami, Haut Commissaire au Plan, s’est exprimé, mercredi 30 juin 2010, sur les estimations de la croissance pour l’année 2010 et sur les perspectives de l’économie nationale pour 2011. Un discours teinté d’optimisme mais marqué par la prudence.