De 1952 à 1968, un monastère dans les hauteurs d’Azrou recueillit en son sein des enfants orphelins, issus de milieux pauvres ou d’autres dans le cadre de camps d’estivage. Tous bénéficièrent d’une qualité d’éducation qui marqua à jamais les parcours de leur vie. Le lieu ferma, mais sa mémoire reste vivante.
Peu de personnes connaissent son nom, si ce n’est en lisant une pancarte accrochée sur son corps qu’ils saisissent l’appellation que l’arbre porte depuis bientôt un siècle. Le cèdre Gouraud, dont l’âge est estimé à 800 ans, doit son nom au Général français Henri Joseph Eugène Gouraud. Baptisé depuis 1917, les versions divergent sur l’origine de ce nom, mais il est utile de
Etudiant de l'Université Al Akhawayn, Otmane Barakat a tenté de se suicider lors d’un live sur Facebook, suite à l’«injustice» dont il dit avoir été victime. Il a pointé du doigt des responsables à Azrou et Ifrane.
L’émission spéciale MRE, présentée par Mohamed Ezzouak, est le fruit d’un partenariat entre Radio 2M et Yabiladi.com.
En 1952, un monastère bénédictin est fondé sur les hauteurs d’Azrou, à Toumliline. Jusqu’en 1968, il accueille des enfants, sans famille ou issus de milieux pauvres, et les prend en charge. Il s’ouvre aussi aux autres enfants lors des camps d’été. C’est l’histoire que retrace le documentaire «Les cloches de Toumliline», de son réalisateur Hamid Derrouich. Il nous parle de son film, dont