Le projet de loi légalisant l’avortement dans certains cas est sur le point d’être adopté par le gouvernement. Le texte préparé par le ministère de la Justice est loin de satisfaire les revendications d’une partie de la société civile. Néanmoins, il est conforme avec la teneur du communiqué du cabinet royal du 15 mai 2015.
Devant les étudiants d’une université privée de la capitale, Abdelilah Benkirane a évoqué l’affaire Panama Papers, estimant que les «Marocains ont été convaincus par les explications données par l’avocat de Majidi».
A la Chambre des représentants, un député de l’Istiqlal a soulevé les «zones d’ombres» qui entourent les grâces royales accordées à certains détenus. Cette question n’est bien entendu pas dénuée de calcul politicien.