Malgré la surprise au premier tour et une bonne résistance de son score au second tour, le Front national ne parvient pas à remporter de majorité dans une région. La mobilisation d'une partie des abstentionnistes du premier tour et surtout les désistements pour faire barrage au élus FN auront réussi à contenir la "vague bleue marine".
Le Maroc et les marocain(e)s ont compris que les partis politiques, malgré les rappels venus tant des urnes que du sommet de l’état, ne remplissent plus les fonctions traditionnelles qui leur incombent.
Hier mardi, les Belges ont assisté à un scandale digne des partis politiques d'extrême droite. Le Vlaams Belang, un parti d’extrême droite flamand, a lancé un site internet visant à dénoncer les sans-papiers. Une initiative qui a choqué au-delà des frontières belges. Détails.
Les banlieues françaises comptent aujourd’hui 8 millions d'habitants, soit 12% de la population de l’hexagone. Des chiffres importants qui peuvent changer la donne d’une élection présidentielle… si seulement une partie de ces habitants se rendaient aux urnes pour voter. Car ni la gauche, ni la droite, n’ont réussi à répondre aux attentes des habitants de la banlieue.
Sans grande surprise, le Sénat français a validé la proposition de loi socialiste sur le vote des étrangers en France. Une étape de plus a été franchie, mais il reste encore un long chemin à parcourir pour le texte. Alors que le processus s’éternise, certaines communes ont pris de l’avance sur la question.
C’est aujourd’hui que le Sénat votera la loi sur le vote des étrangers hors Union européenne (UE). Les débats s’annoncent houleux sur fond de manifestations du Front National et d’Europe écologie Les verts (EELV) devant le palais du Luxembourg. Le droit de vote des étrangers non communautaires sera défendu par la gauche, qui a la majorité sénatoriale, face au bouclier UMP dressé en face.
Nicolas Sarkozy, a estimé hier à l’Elysée, que la proposition socialiste de faire participer les non-européens aux élections locales en France est «hasardeuse». Le président français s’est voulu ferme, mais sa crédibilité a de quoi susciter des interrogations. En effet, sa position a (très) souvent changé sur cette question du vote des immigrés.
On s’y attendait, c’est arrivé. Le Parti Popular (PP) a remporté les élections anticipées en Espagne haut la main. Sur 96% des suffrages, le parti de Mariano Rajoy s’est imposé avec près de 45% des voix. La montée du PP, parti libéral de droite, dont les solutions prônées pour un certains nombre de dossiers vont à l’encontre des intérêts du Maroc pourrait-elle compliquer encore plus