Le passé d’un jihadiste belgo-marocain, actuellement détenu à Fès, intéresse le FBI au point d’envoyer quatre de ses agents l’interroger. Il serait passé par l'Afghanistan avant d'être interpellé en Syrie en octobre 2011. Les forces de l’ordre syriennes l’ont ensuite remis aux autorités marocaines.
Au Sommet antiterrorisme de Washington qui a pris fin hier, il était beaucoup question de la montée en puissance de l’idéologie jihadiste à travers le monde. En analysant la situation, plusieurs responsables politiques ont évoqué la mauvaise situation socio-économique comme motif de radicalisation pour les jeunes musulmans, y compris les Marocains qui rejoignent en masse les organisations telles que Daesh ou Al Qaida. Mais selon Mohamed
Eviter l’amalgame avec les musulmans, tel est le mot d’ordre du président américain, Barack Obama, qui a pris la parole au Sommet de Washington contre le terrorisme. Il a appelé ses pairs à en faire autant et a demandé aux leaders musulmans de ne pas ménager les efforts pour redorer l’image de leur religion. Détails.
La Franco-marocain Zacarias Moussaoui, surnommé «le 20ème pirate de l’air» des attentats du 11 septembre 2001, a accusé la famille royale saoudienne de financer Al Qaida à la fin des années 1990. Dans une déclaration sous serment qui vient d’être relevée, il a également évoqué un plan discuté avec l’ambassade saoudienne à Washington pour abattre l’avion
Même si des rapports d’ONG internationales, du parlement européen, de la Douma russe et de témoignages d’anciens détenus de Guantanamo pointent, tous, du doigt l’implication du Maroc dans le programme de torture de la CIA, des documents révélés de l’agence américaine ne mentionne pas le royaume.
La troisième tentative fut la bonne. La justice espagnole a enfin donné raison au recours présenté par le gouvernement contre le classement de sa plainte contre le quotidien El Pais. Une décision qui suscite des interrogations.
Alors que quatre présumés jihadistes ont été encore arrêtés jeudi à Marrakech et Laâyoune, dans le sud, le nord marocain reste aussi une zone où opèrent plusieurs réseaux de recrutement. Dans les quartiers pauvres de Tanger comme Béni Makada, à Nador et à Melilla, ces recruteurs emploient toutes sortes de moyens pour convaincre la jeunesse de partir faire le jihad. Les témoignages sur France
La police new-yorkaise est à nouveau pointée du doigt pour ses pratiques très peu éthiques vis-à-vis des musulmans. Après le scandale lié à son unité de surveillance des musulmans, aujourd’hui démantelée, voila qu’on apprend que cette même police a recruté plusieurs informateurs musulmans depuis le 11 septembre 2001. Le New York Times a rencontré quelques uns de ces derniers.