Pendant plus d’un siècle, les scientifiques ont cherché à percer le mystère qui entoure l’origine de la pile de rochers sur laquelle repose le village de Arroumd. Un groupe de géologue vient enfin d’y arriver et révèle que le gisement date d’il y a 4 500 ans.
Nouvelle tragédie dans un petit village reculé des montagnes de l’Atlas. Un nouveau bébé est décédé hier après avoir attrapé froid. Mounir Kejji, militant de la société civile demande au gouvernement de lancer au plus vite un plan d’urgence pour désenclaver les villages des montagnes et leur permettre d’avoir accès aux soins.
Chaque année, c’est le même scénario. Les habitants des villages enclavés des montagnes de l’Atlas doivent affronter un hiver glacial. Un hiver particulièrement difficile à supporter surtout pour les bébés et les plus jeunes enfants. Pour aider ces populations à surmonter ce froid, des centaines de bénévoles marocains s'activent en ce moment pour récolter le plus de dons possibles, des denrées
Ce ne sont pas les -5 degrès qu’il fait actuellement à Imilchil dans l’Atlas, qui vont empêcher Mounir Kejji, de s’enquérir de la situation des villageois des douars enclavés de la montagne. Le militant amazigh appelle le gouvernement à lancer au plus vite des projets d’infrastructure, pour permettre aux populations locales d’avoir mieux accès aux hôpitaux et éviter que des enfants ne meurent de froid
Chaque hiver, c’est la même rengaine. Il faut que des Marocains meurent de froid pour que les autorités se rendent compte que le froid tue dans les montagnes de l’Atlas. D’après l’AFP, la dernière victime en date est un bébé dans le village d’Angfou. Un militant de l’AMDH craint que cet hiver ne soit aussi rude que celui de 2006 où 37 personnes avaient trouvé la mort dans le village.
La chaîne Arte a diffusé hier soir le documentaire fascinant «le Thé ou l’électricité» filmant l’arrivée de l’électricité dans un petit village perdu du Haut-Atlas. Cette arrivée n’est pas seulement synonyme de confort pour les villageois. Elle signifie aussi l'arrivée de la télévision, publicité et consommation.
Les singes magots, bien connus au Maroc pour faire l'objet d'un trafic international qui visent à faire d'eux des animaux de compagnie, vivent originellement dans la cédraie du Haut Atlas. Aujourd'hui, action humaine et sécheresse combinées, ils meurent de soif aux abords de la ville d'Azrou.
Pas un seul jour sans un accident de la route au Maroc. Une véritable hécatombe qui coûte la vie à 12 Marocains par jour et plus de 12 milliards de dirhams par an à l’état marocain .