La Cour d’appel d’Oujda a condamné à trois ans un enseignant de primaire de la région de Bouarfa, accusé de harcèlement sexuel sur des petites filles. Mais un mois plus tard, la peine n’est toujours pas exécutée. Les familles des victimes considèrent cette peine laxiste. Elles exigent que l’accusé soit suspendu de ses fonctions.
Dans la commune de Bouarfa (province de Figuig), l’impunité d’un enseignant d’école primaire soupçonné de pédophilie menace le déroulement de l’année scolaire des enfants qui ont porté plainte pour harcèlement et agressions sexuelles. Pour cause, le suspect a repris le cours normal de son travail, après comparution devant le juge d’instruction.
Un instituteur d'une cinquantaine d'années a été arrêté pour le viol de cinq écolières à Casablanca. Détails.