Comme chaque année, le 18 décembre est la Journée internationale des migrants. Le Maroc, depuis l’instauration de la Stratégie nationale d’immigration et d’asile (SNIA), en septembre 2013 par le roi Mohammed VI, est devenu un pays d’accueil, en plus d’être un pays de transit pour les migrants qui rêvent d’Europe. Yabiladi a interviewé Anna Fonseca, chef de mission au Maroc de l’Organisation internationale
Le taux de chômage à 9,6% au Maroc et la crise des réfugiés syriens ont permis à plusieurs milliers de Marocains de tirer leur épingle du jeu. L’espoir fut toutefois de courte durée. Détails.
Des migrants marocains renoncent au rêve européen en Grèce. Ils sont des centaines à avoir accepté le retour volontaire. Et nombre d’entre eux devraient embarquer pour le Maroc dans les prochains jours. Même si la situation n'est pas toute rose au royaume, ils préfèrent tout de même être chez eux plutôt que de souffrir à l’étranger.
Après le Maroc qui s’est engagé à payer le quart du financement total du programme d’aide au retour volontaire des immigrants initié par l’OIM, l’Espagne met la main à la poche. Mais le royaume ibérique semble plus viser les migrants installés dans les zones environnant les frontières du Maroc avec Ceuta et Melilla. Détails.
Pour la première fois, le gouvernement marocain s’engage à prendre en charge les billets d’avion de 1000 migrants qui choisiront de rentrer dans leur pays d’origine dans le cadre du programme d’aide au retour volontaire de l’OIM. Exceptionnel, ce financement représente le quart du financement total du programme. Lequel n’est pas assuré.