Alors que le Parlement européen se préparait à adopter une nouvelle résolution défavorable au Maroc, le Parlement marocain a tenté de faire fléchir les eurodéputés. Une tentative qui n'a pas eu l'effet escompté.
Dans un article publié par l’APS, l'Algérie accuse le Maroc et «ses lobbys en Europe» d’être à l’origine de la résolution du Parlement européen, adoptée le 11 mai dernier.
Après quatorze mois d’investigations, le Parlement européen n’a pas apporté de preuves pour accuser le Maroc d’avoir espionné les téléphones de ministres espagnols.
Presque six mois après l’éclatement du scandale de la corruption au Parlement européen, la Commission européenne a présenté, mercredi 3 mai, le projet d’un dispositif pour lutter contre le fléau au sein de l’UE et dans le monde entier.