L’affaire de l’agression du «travesti» de Fès sera au cœur des questions orales du mardi 6 juillet à la Chambre des représentants. L’initiative est due au groupe du Mouvement populaire qui fait partie de la majorité gouvernementale.
Même démis de ses fonctions, Abdelaâdim El Guerrouj reste au cœur de l’actualité. L’ancien ministre délégué à la Formation professionnelle refuse d’effectuer la passation de pouvoirs entre lui et son successeur Khalid Berjaoui. Une première au Maroc.
Les députés ont enfin reçu le feu vert pour évoquer le scandale de l’organisation du mondial des clubs. L’Istiqlal s'interrogeant sur l'évolution de l'enquête, a obtenue cette réponse du gouvernement «les investigations sont en cours et les résultats seront révélés au public à temps». Une question à l’origine d’une joute verbale entre l’Istiqlal, le PJD, qui a
Mohamed Ouzzine n’a pas eu droit à la cérémonie du thé à l’occasion de son départ du gouvernement mais à reçu les éloges de la part de Benkirane sur son «courage».
Le Mouvement populaire tente de surfer, à sa manière, sur l'emballement médiatique entre Rabat et le Caire. La formation que dirige Mohand Laenser s’est rappelée, enfin, qu’une journaliste égyptienne a attaqué le royaume lundi dernier, alors qu’elle n’avait pas réagi lorsqu’un animateur d’une émission s’en était pris au roi Mohammed VI.