L’éclatement de l’affaire Hammouchi a plongé les relations maroco-françaises dans une grave zone de turbulence. Hier, en marge du Forum économique, la capitale tunisienne a abrité des entretiens entre Benkirane et Fabius. Une réunion censée annoncer la fin des tensions, sauf qu’elle risquerait de renvoyer à une date ultérieure la normalisation attendue.
Jeunesse, parité, diversité, telle pourrait être la devise du nouveau gouvernement Valls. Deux membres de ce gouvernement réunissent ce triptique : Najat Vallaud-Belkacem et Myriam El Khomri, toutes deux d'origine marocaine.
Le 5 octobre 2013, c’est le prince Moulay Rachid qui représentait son frère, le roi Mohammed VI à la commémoration du 70ème anniversaire de la libération de l’ile de Corse de l’occupation italienne. Le 15 août 2014, c’est Abdelilah Benkirane qui a été à dépêché à Toulon, à la tête d’une petite délégation marocaine, pour une
A force d’attendre en vain une réaction des autorités à la déplorable situation des retraités marocains en France, l’association Cap Sud MRE vient de saisir officiellement le gouvernement Valls via une question déposée au parlement français. Une manière de mettre la pression pour enfin résoudre une «injustice fiscale et sociale». Le gouvernement Benkirane est en outre appelé à soutenir
Les dernières élections municipales en France ont acté l'effondrement du PS, consacré la percé inédite de l'extrême droite, et célébré la vague bleue pour la droite. Mais au lieu de remettre en cause le discours malsain ambiant, les décideurs politiques, les intellectuels ou les stars médiatiques, continuent à ignorer l'islamophobie régnante, ou pire l'encouragent.
La simplification des procédures de naturalisation voulu par le ministère français de l’Intérieur et qui faisait l’objet d’une circulaire en octobre dernier, se concrétise. Manuel Valls vient d’émettre deux décrets à ce sujet. La nouvelle est source de critique au sein de l’opposition, mais réjouit les étrangers.
Après Paris et Lyon, Manuel Valls a mis le cap hier sur Ozoir-la-Ferrière, pour y rompre le jeûne. Lors de son allocution, le ministre de l’Intérieur n’a parlé que d’«actes anti-musulmans», se refusant d’employer le terme «islamophobie». Une sorte de mise en pratique d’une décision évoquée dans une interview la veille. Les associations s’indignent et le CCIF dénonce une