Légaliser partiellement l’avortement n’est pas d'actualité pour la ministre de la Femme et de la Famille Bassima Hakkaoui, mais elle propose, pour trancher cette question, d’organiser un référendum populaire. Une proposition qui provoque la colère des médecins et des féministes.
Après avoir officialisé sa candidature il y a deux jours, Nicolas Sarkozy s’est lancé dans le marathon présidentiel à deux mois des élections. Hier, lors de son premier meeting de campagne, il est revenu sur l’une des mesures phares qu’il souhaite concrétiser s’il est réélu : un référendum sur la lutte contre l’immigration illégale. Une idée qui à l’origine
Le Maroc a aujourd'hui un tout nouveau gouvernement. Parmi les nouvelles têtes gouvernementales, une seule et unique femme a été nommée ministre : Bassima Hakkaoui, chargée de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et du Développement social. Sa nomination intervient six mois après la nouvelle Constitution censée encourager la parité dans la société marocaine.
En 2007, le peuple marocain a signifié à sa classe politique son souhait de faire chambre à part. Avec 37% de taux de participation officiel, la lune de miel a pris fin brutalement. En 2011, tout porte à croire que la réconciliation n’est pas pour tout de suite. Pis, tous les récents faits de nos politiques laissent prévoir un divorce inéluctable. Analyse.
Comme la politique se «peopolise» de plus en plus, Javier Bardem ne voulait pas être en reste. Le célèbre acteur espagnol a fait le déplacement aujourd’hui au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour faire son plaidoyer pour l’auto-détermination des provinces du Sahara. Tracts distribués aux journalistes et documentaire en préparation, Javier Bardem a tout l’air d’avoir trouvé
Lors du référendum du 1er juillet dernier, le nouveau projet de constitution a été plébiscité par le peuple marocain. Le résultat (98% de 'Oui') a été largement salué par la communauté internationale. Nombreux ont été les chefs d’Etat qui ont salué un pas décisif dans le processus démocratique en cours au Maroc. Nicolas Sarkozy veut maintenant faire
Plus de 98% des votants ont dit «oui» à la nouvelle constitution, mais les protestations continuent dans les rues marocaines. Ce dimanche, des milliers de manifestants, ont de nouveau battu le macadam dans plusieurs villes du royaume, à l’appel du Mouvement du 20 février. A l’exception de la ville d’El Jadida, les protestataires, encadrés par la police, ont manifesté dans le calme et exigé davantage de réformes.
Les Marocains résidant à l’étranger ont eu trois jours pour voter le référendum sur la nouvelle constitution du Maroc. En Espagne, un bureau de vote a même été installé dans le port d’Algesiras pour nos concitoyens ayant pris la route pour le Maroc. Reportage de notre journaliste.
Les Marocains votent au Maroc, et depuis l’étranger, même dans les pays où le contexte politique est très tendu. En Libye, Syrie et au Yémen la Communauté marocaine se déplace pour se prononcer sur la nouvelle constitution. Les opérations de vote s’y déroulent a priori normalement et sont étalées sur trois jours.
A l’heure ou les «Oui» tombent comme des fruits mûrs du côté des partis politiques marocains, la CDT et l’Alliance de la Gauche Démocratique appellent au boycott du scrutin du 1er juillet.