Duel en perspective entre le PAM et l’Istiqlal pour arracher la présidence de la Chambre des conseillers. L’actuel secrétaire général du Tracteur, qui souhaite remplier pour un second mandat, semble faire face au peu d’enthousiasme des PAMistes à son projet personnel.
Pour le pouvoir algérien, la question du Sahara occidental est centrale malgré les dénégations. En témoigne des extraits du livre de Bernard Bajolet, ancien ambassadeur français en Algérie entre 2006 à 2008.
Vendredi soir à Marrakech, Aziz Akhannouch a voulu rebooster le moral à son parti.
Au terme de la visite à Rabat d’Ismaïl Ould Cheikh, du 20 et 21 septembre, un vent d’optimisme parait souffler sur les relations maroco-mauritaniennes. Il n’est pas sans rappeler les espoirs qu’avait suscités la conversation téléphonique, du 27 décembre 2016, entre les deux chefs d’Etats et le déplacement de l’ancien chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, à Zouerate.
Après l’Iran, des voix au Maroc couvre d’éloges les positions hostiles de John Bolton à l’égard de la Cour pénale internationale. Un autre appel du pied en direction de la Maison blanche. A l’instar des Etats-Unis, le royaume n’a pas ratifié le traité de Rome instituant la CPI.
Le Président du plus grand parti islamiste algérien, Abderrazak Makri, a estimé mercredi que le dossier du Sahara occidental ne doit pas causer des tensions entre le Maroc et l’Algérie, tout en estimant que la fermeture des frontières terrestres maroco-algériennes est une erreur qui doit être corrigée.
Dans son discours du 29 juillet, le roi Mohammed VI a invité le gouvernement à relancer le dialogue social avec les partenaires sociaux. Jusqu’à présent, l’exécutif s’est réuni avec le patronat. En revanche, les syndicats s’impatientent.
Le désaccord politique entre le Maroc et l’Algérie autour du différend du Sahara occidental «demeure une entrave à la coopération anti-terroriste bilatérale et régionale», selon le rapport sur le terrorisme dans le monde du Département d’Etat américain. Khalid Chegraoui, professeur de l’enseignement supérieur à l'Institut des études africaines nous livre son analyse. INTERVIEW.