Une rencontre entre des membres de la société civile marocaine à l’étranger et des ministres marocains a eu lieu, samedi dernier, au siège du PJD (Parti de la Justice et du Développement).
Rouvriront, rouvriront pas, telle est la question. L’allusion est ici faite aux frontières maroco-algériennes qui continuent de susciter de nombreux avis. Si les islamistes des deux pays croient dur comme fer en ladite réouverture, d’autres partis et organes étatiques y restent hostiles.
La troisième édition de Mediterranean Delight Festival fait l'objet d'une vive polémique médiatique. En cause, la participation d’une ou de plusieurs danseuses israéliennes, à l'instar de l'édition qui l'a précédée.
Ces derniers jours, à Marrakech, comme un peu partout au Maroc, les manifestations se multiplient. Ce matin, un échec de négociations a été essuyé entre le gouverneur de la ville ocre et des représentants de la société civile autour de la hausse des factures d’eau et d’électricité.
Voici seulement quatre années que les premiers accrochages ont eu lieu à Sidi Ifni (voir article) entre manifestants et force de l’ordre. Hier, malgré le long répit qu’a connu la ville marocaine, un regain de violences a eu lieu.
Après le tohu-bohu médiatique suscité par la «viande halal» en France, le débat a, récemment, été lancé au Canada. Maintenant, c’est au tour des médias et partis politiques canadiens de critiquer, défendre et analyser les circonstances hygiéniques de la viande égorgée selon les rites islamiques.
A l’instar de la communauté internationale, le Maroc exprime son rejet de toute prise de pouvoir a indiqué, hier, le ministre marocain des Affaires étrangères. De même, il assure qu’il n'y a aucune inquiétude à se faire concernant la communauté marocaine résidente au Mali.
Ils sont plusieurs milliers de Marocains à avoir quitté la Libye suite à la crise politique qui y a éclaté au lendemain de l’explosion du Printemps arabe. Ceux-ci continuent de manifester devant le consulat libyen à Casablanca. Leurs réclamations : Leurs biens sont encore bloqués en Libye et le retard sur la délivrance des visas en inquiète plus d’un.
L’affaire d’Abdellah Al Asli continue de faire des rebonds. Le ressortissant marocain clandestin de 33 ans admis en soins intensifs dans un hôpital de Guadalajara (à proximité de Madrid) en est à son 22ème jour de réanimation. Le jeune homme devenu tétraplégique suite à son passage dans un poste de police espagnol, souffre encore d’un grave problème de dysfonctionnement au niveau de la moelle
Suite à l’arrestation par la police marocaine de neuf narcotrafiquants libyens et marocains, un vaste réseau transfrontalier de trafic de drogue a été révélé au grand jour. Dirigé par un Libyen, le réseau avait à son actif des dizaines d’expéditions de près de 90 tonnes de cannabis.