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UNIVERSITES : Le projet de loi sur l’autonomie risque de renforcer les...
S
18 juin 2007 09:04
Le projet de loi sur l’autonomie risque de renforcer les inégalités entre les universités.


La loi sur l’autonomie des universités sera votée en juillet. Réforme, ou replâtrage ? La question reste posée dans un pays où un étudiant à l’université coûte annuellement à l’État 7 210 euros, contre 10 000 pour un lycéen et 13 560 pour un élève de classe préparatoire aux grandes écoles. La France arrive au dixième rang des pays de l’OCDE en matière de financement de l’enseignement supérieur. Le président Sarkozy s’est engagé à augmenter ce budget de 50 % sur cinq ans. Espérons qu’il s’y tiendra. La réforme en cours ne jettera sans doute pas les étudiants dans la rue. Il suffira de ne parler ni de sélection ni d’augmentation des droits d’inscription. Et pourtant, la sélection se fait déjà en amont dans le secondaire, puis après le bac, lorsque les meilleurs rejoignent par concours les grandes écoles et que la majorité (1,4 million sur 2 275 000 étudiants en 2005-2006) se retrouve sur les bancs d’une université sans moyens, surpeuplée et dispensant un enseignement de masse qui expulse très vite les plus fragiles et fabrique de plus en plus de chômeurs. Si on n’appelle pas cela sélection, quel mot faudra-t-il employer ?

Une orientation ciblée des élèves à leur sortie du lycée aiderait à mieux mesurer les besoins des uns et des autres. La valorisation des métiers manuels et techniques et des lycées professionnels dégorgerait les universités et permettrait de produire une main-d’œuvre qualifiée pour les secteurs qui embauchent. Mais pour cela aussi il faut des moyens et un changement des mentalités. De même, une formation de qualité dans les premier et second cycles universitaires donnerait aux jeunes des diplômes monnayables. Pourquoi un ancien étudiant de lettres ne pourrait-il pas s’adapter à une formation rapide au sein d’une entreprise pour en gravir les échelons ?

Chez nous, bifurquer dévalorise, se pérenniser valorise. Nous avons la foi dans les diplômes, les grandes écoles, les concours. Mais si on veut inculquer à la société les valeurs de l’efficacité, du travail et de la réussite au mérite, ne devrait-on pas déjà remettre en cause la sacralité de certains diplômes et croire vraiment dans les ressources propres des personnes, munies ou non de tels sésames ? Notre France conservatrice ferait bien d’intégrer enfin les valeurs de sociétés au passé moins pesant et aux critères d’ascension sociale plus souples. L’autonomie des universités renforcera les structures déjà bien dotées et les enseignements utiles et en mesure de drainer des fonds extérieurs. Mais que feront les autres ? Les plus petites, ou celles de sciences humaines ? Et, puisque le principe de diplômes nationaux n’est pas remis en question, y aura-t-il donc des diplômes d’État meilleurs que d’autres ? Nous aurons maintenant les bonnes universités, plus riches, et les mauvaises, pauvres. L’excellence ne peut être atteinte avec des enseignants paupérisés, découragés, des étudiants formés à la chaîne, des locaux en piètre état, des bibliothèques à faire rougir, des bureaucrates tatillons.

L’autonomie, dans les universités qui n’y sont pas préparées, affaiblissant le pouvoir régulateur et de contrôle, même minime, de l’Etat, risque de doper le féodalisme déjà existant, l’esprit de clique et la médiocrité, de gauche ou de droite, qui s’ingénie à étouffer la créativité et l’esprit d’initiative. Petit Etat dans l’Etat, l’université édictera ses propres règles, parfois plutôt dans le sens de l’immobilisme que de l’excellence, et entretiendra sa propre bureaucratie, issue du corps enseignant. Si la gestion de la richesse assure aux meilleurs la place qui leur est due, celle de la misère aboutira à l’inverse.

La plupart des prix Nobel sont américains ; leur recherche est richement subventionnée. Si nous ne voulons pas perdre nos cerveaux, créons des pôles d’excellence, misons davantage et différemment sur la recherche, et accordons-lui des moyens supplémentaires, retenons les meilleurs et n’oublions pas de les récompenser. Dans les prestigieuses universités américaines, si opulentes, on enseigne encore Bourdieu, Deleuze, Derrida, Foucault, les grands historiens français, cette génération - issue des sciences humaines, justement - qui a fait la gloire de la France à l’étranger. Tout n’est pas perdu. L’université a besoin aujourd’hui d’une véritable remise à plat. L’autonomie ne devrait venir qu’au bout du chemin.

Source : [www.liberation.fr]
c
18 juin 2007 12:50
et voila un pas de plus vers l'injustice !


l'acces à la connaissance est un droit, et la connaissance en elle meme un pouvoir ... en reformant, cet acces sera restreint et biensur ce seront les populations les plus aisés qui pourront en beneficier pdt que les autres en seront leur esclave !


l'esprit critique est la pire chose pour un gouvernement, il veut faire de nous des moutons !
S
26 juin 2007 11:40
Déclaration commune à propos de l'autonomie des universités


L'université française a certainement besoin d'être réformée et surtout d'être sortie de la misère dans laquelle elle est maintenue depuis des années, ainsi que des inégalités qui, en matière d'attribution de moyens, séparent la petite élite des grandes écoles de la masse des étudiants.

La solution est-elle pour autant dans l'autonomie, affichée comme une panacée et que le gouvernement entend mettre en place à marche forcée, sans concertation sérieuse avec les organisations syndicales et moins encore avec les organisations professionnelles et les sociétés savantes d'enseignants chercheurs ? Il convient d'attirer l'attention sur les risques extrêmement sérieux que comporte l'autonomisation des universités, si elle est conduite sans réflexion suffisante : relèvement général des droits d'inscription, accroissement des inégalités entre universités et aggravation par voie de conséquence à la fois des inégalités entre régions et de l'inégalité des chances scolaires, possibilité de multiplication de spécialisations locales sclérosantes pour les diplômés, renforcement du localisme, développement du clientélisme et de l'arbitraire dans la gestion des enseignants-chercheurs (avec la porte ouverte aux pressions économiques ou politiques plus directement exercées sur l! les enseignants-chercheurs par les présidents ou les conseils d'administration), affaiblissement ou suppression des instances nationales et paritaires d'évaluation et de gestion des carrières, destruction de fait des règles statutaires assurant l'indépendance intellectuelle et scientifique des enseignants-chercheurs.

Quelles précautions ont été prises, quelles garanties existe-t-il pour que ces dangers soient écartés ? Quels moyens seront réellement donnés ? L'autonomie signifiera-t-elle autre chose qu'une gestion assouplie de la pénurie et une diminution de l'aide des différents niveaux de l'Etat ?

Il est fait appel, pour justifier les intentions du gouvernement, à l'exemple de pays voisins, mais s'est-on assuré que cette imitation n'aura pas des conséquences néfastes si on transpose hâtivement dans un cadre particulier, tel que la France, des modèles qui sont bâtis sur d'autres traditions et d'autres bases démographiques ?

A l'heure actuelle, la démarche autoritaire, opaque et précipitée du gouvernement ne peut que susciter les plus vives inquiétudes. Si le but de la réforme est d'améliorer le fonctionnement de l'université et la formation des étudiants, pourquoi ne pas la réaliser dans la concertation avec les premiers concernés : les étudiants eux-mêmes et les enseignants ?

L'Association des sociologues enseignants du supérieur (ASES), l'Association française de sociologie (AFS), l'Association des Enseignants et Chercheurs en Sciences de l'Education (AECSE) et la Société Française des sciences de l'Information et Communication (SFSIC) appellent le gouvernement à adopter une méthode de changement plus démocratique et plus respectueuse de l'ensemble des personnes concernées : étudiants, enseignants et chercheurs, personnels administratifs et techniques de l'université. Elles invitent les enseignants-chercheurs et les étudiants à la vigilance et proposent dès à présent de poursuivre le débat pour une réforme qui donne vraiment toutes leurs chances aux universités françaises afin qu'elles deviennent plus performantes, dans le respect des valeurs démocratiques.

Dan Ferrand-Bechmann, Présidente de l'Association Française de Sociologie (AFS), Charles Gadea, Président de l'Association des Sociologues Enseignants du Supérieur (ASES), Brigitte Albero, Jean Marie Barbier, Présidents de l'Association des Enseignants et Chercheurs en Sciences de l'Education (AECSE), Gino Gramaccia, président de la Société Française des Sciences de l'Information et Communication (SFSIC).
L
27 juin 2007 22:18
Citation
caracteriELLE a écrit:
et voila un pas de plus vers l'injustice !


l'acces à la connaissance est un droit, et la connaissance en elle meme un pouvoir ... en reformant, cet acces sera restreint et biensur ce seront les populations les plus aisés qui pourront en beneficier pdt que les autres en seront leur esclave !


l'esprit critique est la pire chose pour un gouvernement, il veut faire de nous des moutons !

Vraiment n'importe quoi.
Bon pour ma part je trouve que c une excellente mesure qui se faisaient attendre, le mythe d'une égalité imaginaire c fini, il y a une inégalité de fait et depuis tjs, et c comme çà partout ds l'monde, alors faut etre réaliste.
Maintenant l'enjeu pour la France c que certaines universités soient excellentes, (justement la concurrence est une bonne chose çà aura un effet de dynamique qui poussera chacun à rivaliser pr etre le meilleur) et rivalisent avec les plus grandes universités ds le monde, et d'arrèter de tenir les roles de fin d'classement systématiquement, cette situation n'a que trop duré.

On va pas o nom d'une supposé égalité entre tt l'monde se maintenir au niveau des nuls, bein non il faut des bons, ceux qui st nuls qu'ils n'étudient pas.
t
27 juin 2007 22:19
Et hittler naquit...
Et les nuls furent exterminés
FIN
L
27 juin 2007 22:24
jai pas compris ce qu'a à voir hitler là dedans, si tu pouvais nous expliquer.....
t
27 juin 2007 22:29
Tu es universitaire?
L'as tu déjà été?
L
27 juin 2007 22:37
Oui je le suis, et dans ce qu'on apelle une université prestigieuse, parisienne;
L
27 juin 2007 22:38
Je précise, sans prétention.
t
27 juin 2007 22:42
Ah je comprends pourquoi alors tant d'engouement...
Simple question : Que fais ton des nuls avec un Bac S par exemple?
c
27 juin 2007 22:44
Citation
Lillaa a écrit:
Citation
caracteriELLE a écrit:
et voila un pas de plus vers l'injustice !


l'acces à la connaissance est un droit, et la connaissance en elle meme un pouvoir ... en reformant, cet acces sera restreint et biensur ce seront les populations les plus aisés qui pourront en beneficier pdt que les autres en seront leur esclave !


l'esprit critique est la pire chose pour un gouvernement, il veut faire de nous des moutons !

Vraiment n'importe quoi.
Bon pour ma part je trouve que c une excellente mesure qui se faisaient attendre, le mythe d'une égalité imaginaire c fini, il y a une inégalité de fait et depuis tjs, et c comme çà partout ds l'monde, alors faut etre réaliste.
Maintenant l'enjeu pour la France c que certaines universités soient excellentes, (justement la concurrence est une bonne chose çà aura un effet de dynamique qui poussera chacun à rivaliser pr etre le meilleur) et rivalisent avec les plus grandes universités ds le monde, et d'arrèter de tenir les roles de fin d'classement systématiquement, cette situation n'a que trop duré.

On va pas o nom d'une supposé égalité entre tt l'monde se maintenir au niveau des nuls, bein non il faut des bons, ceux qui st nuls qu'ils n'étudient pas.


a des niveaux nuls, mais je peux savoir ce qui te permet de dire sa ... le niveau de lenseignement en france est un tres bon niveau .... alors arretes de dire des betises, le pb

sa va etre tous les frais de scolarite que cela va engendrer, donc seuls les plus aises pourront avoir acces aux universites,

sa va etre le mm mecanisme que pour les grandes ecoles
t
27 juin 2007 22:48
Non mais elle elle est dans une fac prestigieuse de paris, c'est pas le meme monde caracteriELLE
ELLE a son avenir assurée la petite
Le problème c'est que chacun voit midi à sa porte dans ce pays
Et que ça finir comme au venezuela
LE taux de précarité en france est passé de 12% en 2002 à 17 en 2007, qu'en penses tu?
LA réforme des universités?
Une blague pour moi!!
L
27 juin 2007 23:42
Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
Ah je comprends pourquoi alors tant d'engouement...
Simple question : Que fais ton des nuls avec un Bac S par exemple?

Non, çà n'explique pas mon engouement, mais je pense juste que çà n'est pas normal que les universités françaises soient tjs en fin des classements internationaux, la concurrence c une bonne chose, que ce soit pour les entreprises, en politique (démocratie, 2 grands partis s'affrontent), donc ici aussi pour les universités.
Il y a aujourd'hui comme depuis tjs une différence de niveau entre universités,il n'y a jamais eu d'égalité, croit moi les recruteurs ne s'y trompent pas,et je pense qu'un intéret supérieur doit primer, pas celui d'avoir des universités françaises au même niveau (bon c ce qu'on nous fait croire auj mais bon je sais que c absolument faux), mais des universités françaises qui rivalisent avec les universités au niveau international, et tout le monde sait qu'aujourd'hui les universités françaises st dans un état déplorables et qu'il est urgent d'agir.
De toute façon c simple, aus USA on a de la concurrence entre les universités, certaines st très prestigieuses dc très sélective, de mm au RU ou ailleurs, en France il y a les grandes écoles,donc et bien oui tous les étudiants ne sont pas égaux, certains st plus doués que d'autres, donc la sélection est une bonne chose. Et il y a sélection à l'université en M2, certains M2 st très très très sélectif, mais il faut en France encore faire de gros effort, l'avenir de ce pays en dépend.

Le bac aujourd'hui, pour répondre à ta question, est donné, tt le monde le sait, que ce soit les bacs généraux ou techniques, donc même le bac S, si ils échouent à l'université, parce que n'oublions pas cette sélection par le taux d'échec très important, c qu'ils ne sont pas si bon.
Les élèves qui obtiennent leur bac S à 10/20 ne sont pas si bons, ils doivent s'orienter vers des filières plus courtes plus adaptés à leur niveau. Je pense qu'il faut faire en France comme ds d'autres pays, les études universitaires ne sont pas réservés à tout le monde, il y a des exigences et tt le monde n'a pas le niveau, l'éducation c important, mais réussir avec tt juste 10 c inssufisant, dans ce cas il faut viser des études à son niveau.
L
27 juin 2007 23:50
Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
Non mais elle elle est dans une fac prestigieuse de paris, c'est pas le meme monde caracteriELLE
ELLE a son avenir assurée la petite
Le problème c'est que chacun voit midi à sa porte dans ce pays
Et que ça finir comme au venezuela
LE taux de précarité en france est passé de 12% en 2002 à 17 en 2007, qu'en penses tu?
LA réforme des universités?
Une blague pour moi!!

Mais quand est ce que vous comprendrez qu'il y a une concurrence internationale aujourd'hui, on est à l'heure de la mondialisation, l'enjeu n'est plus l'égalité des diplomes (qui n'a d'ailleurs jamais existé), mais la place des universités francaises ds le monde.

Sur l'augmentation des frais d'inscription, et je ne suis pas de milieu aisé, elle est justifiée, et même entièrement, compare les universités francaises aux américaines ou canadiennes, ou anglaises....., bon je dis pas que les prix doivent etre aussi élevés, mais moi qui suis allé au Québec j'ai pu voir que les étudiants travaillent bcp là bas pour financer leurs études, en contrepartie ils ont de beaux établissements, un bon confort, et des professeurs très disponibles, une administration sympathique, tout le contraire de la France.
t
28 juin 2007 09:50
Je vois que tu as bien assimilé le discours de notre président mais je vais te contredire rapidement :
TU compares la france aux USA?
Saches que la france dépose autant de sujets d'études, de brevets que les USA
Les équipes françaises de recherches sont très compétitives : dernière découverte à tours : une molécule contre le diabète
Le modèle anglosaxon n'est pas un modèle: il a pour but d'accentuer les inégalités si tu ne comprends pas pour toi que dépenser 2000€en frais d'inscriptions est un frein pour beaucoup
Quant aux elèves ayant 10/20, j'en connais qui sont en 5e année de medecine tu dis donc n'importe quoi et tu ne fais que railler ce que ton nicolas te dit de dire
L'université française est très compétitive au niveau de ses recherches, nous avons des medecins formidables, des infirmières au taquet, des sociologues passionants
Je ne comprends pas pourquoi on s'attaque à l'université ainsi alors que la précarité augmente d'autre part
On fait de l'université une priorité alors qu'elle n'en est pas une
"c'est qu'ils ne sont pas si bon" mais franchement tu dois souffrir d'un complexe de supériorité ma pauvre


La concurrence n'entraine rien de bon en l'état actuel des choses : recrudescence du stress, de la prise d'anxiolytiques, augmentation des suicides au travail, arret maladie en augmentation, consommation de soins de santé augmentant de 6% par année par personne

En france, la majeure partie des élèves en faculte travaille a coté eds cours, ne prends pas ton cas pour des généralités
Et il travaille meme la nuit, à faire le ménage, la plonge, le mac do, que des boulots plaisants en somme
Ne caricature pas le monde de l'université française ainsi ça n'apporte rien de bon

Cordialement et sans rancune
t
28 juin 2007 10:02
La "solution finale" en rapport avec Hittler, je t'explique pourquoi je fais référence à Hittler

Une guerre d'élimination contre la population mondiale a donc commencé. Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, NON mais en leur supprimant progressivement l'accès à l'espace vital, à la nourriture, à la santé, à l'éducation, à l'information, et à l'énergie. La brutale hausse de 40% des prix alimentaires, la suppression ou la réduction des allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d'éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l'électricité sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.


La population en excès pourra aussi être éliminée par des épidémies (dissémination délibérée de virus dans l'air, l'eau ou l'alimentation industrielle : exemple de la grippe aviaire) et par des guerres pourquoi pas.
L
28 juin 2007 11:44
Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
La "solution finale" en rapport avec Hittler, je t'explique pourquoi je fais référence à Hittler

Une guerre d'élimination contre la population mondiale a donc commencé. Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, NON mais en leur supprimant progressivement l'accès à l'espace vital, à la nourriture, à la santé, à l'éducation, à l'information, et à l'énergie. La brutale hausse de 40% des prix alimentaires, la suppression ou la réduction des allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d'éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l'électricité sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.


La population en excès pourra aussi être éliminée par des épidémies (dissémination délibérée de virus dans l'air, l'eau ou l'alimentation industrielle : exemple de la grippe aviaire) et par des guerres pourquoi pas.

Oh la la mais qu'est ce qu'on ne lit pas, mdr.
Sincèrement la caricature à éxcès décrédibilise tes propos, faut arrèter la france est un pays où l'on vit bien, bcp trop bien peut etre même, certains voudrait qu'on maintienne des acquis, des privillèges, que la France pouvait se payer pendant les 30 Glorieuses, malheureusement depuis le monde a bcp changé et il faut s'adapter aux réalités, et les riches en ont marre de tjs payer pr les autres, bcp trop d'impots dans ce pays, on est plus dans les années 60, on est en 2007, va falloir s'y faire......
L
28 juin 2007 11:52
QUATRE. Seuls quatre malheureux établissements d'enseignement supérieur français figurent dans le « Top 100 » des meilleurs au monde, selon les critères établis par l'université chinoise de Jiao Tong à Shanghaï. En 2006, ce classement, dit de Shanghaï, est une fois de plus impitoyable avec les universités françaises. La première, l'université de Paris-6 (Pierre et Marie Curie) n'arrive qu'en 45e place.

Source Le Figaro du 30 oct 2006.
L
28 juin 2007 12:04
Il n'en demeure pas moins que, selon les statistiques mondiales, notre pays n'a représenté en 2003 que 4,8 % des publications mondiales, derrière États-Unis (28,5 %), le Japon (9 %), la Grande-Bretagne (6,9 %) et l'Allemagne (6,7 %).


Oui, on peut comparer la France avec les USA, bcp mieux classés, d'ailleurs qui de sérieux préfèrent étudier dans une université française qu'américaine, mauvaise foi quand tu nous tient.
Je ne dis pas que tout est mauvais en France, mais non la situation auj n'est pas satisfaisante,la France pourrait etre bien meilleure avec une meilleure organisation des universités et + de moyens, je ne répète pas ce que dit le Président bêtement, mais quand il a raison et sur ce point il a raison, je dis que je suis en accord et que je soutiens sa réforme.
D'ailleurs quand tu mentionne ces équipes de recherche française performantes, tu devrais ajouter dans quelles universités elles se situent majoritairement, tu verras que non en France ts les diplomes ne st pas égaux, qu'il ya une sélection de fait, et l'autonomie ne l'accentuera dc en rien, c un faux procès qu'on fait à cette réforme.
t
28 juin 2007 12:07
Les trentes glorieuses?
Arretes la france n'a jamais fait autant de profit que dans ces dix dernières années

Les riches paieront des impots : la france tu l'aimes ou tu la quittes
Si les riches veulent le pouvoir et écraser les pauvres : attendez vous à un second 1789
Les riches veulent écraser les pauvres pour faire des économies
Les riches se croivent tout permis
On verra de toute manière qui gagnera à la rentrée
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