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Uber vs Petits taxis : le bras de fer continue à Casablanca
11 mars 2017 12:09
m
11 mars 2017 13:41
Mais ou est le problème avec Uber? Je crois que le vrai problème se situe au niveau de la mentalité des exploitants des petits taxis, qui ne veulent pas s'émanciper. Il ne veulent pas se libérer de la pseudo-pauvreté derrière laquelle il se réfugient pour racketter l'Etat. Il se sont habitués à vivre aux dépens de la société, en travaillant peu, sans investissement énorme ni contrainte morale, pour un bénéfice assez conséquent. Le dernier de ces exploitants (tous confondus) réalise une rente quotidienne de 500 dhs, en s'amusant à circuler à bord de sa voiture, alors que les vrais travailleurs, plus qualifiés, intellectuellement et professionnellement, triment, d'abord pour trouver un moyen de transport et le payer (lui l'exploitant du taxi), puis à l'usine, au chantier, au bureau, ou à Baballah (la rue), jusque tard dans la nuit, pour récolter une misère de 100-200dhs, dont il lui remet encore une partie, pour le ramener chez lui.
Une révision de ce système d'agrément de taxi est, on ne peut plus impérative, pour mettre fin à cette comédie. La création de sociétés de transport urbain, répondant à un cahier de charges adéquat est la seule solution. Point barre./.
11 mars 2017 14:13
salam, désolé mais tu est a coté de la plaque, taxi est un métier très difficile, la plupart des chauffeurs ne sont pas propriétaires du taxi, ils doivent payer le carburant ensuite ce qui reste la partager avec le patron et pas a part égale car le patron prend plus, je vais de donner un exemple sur 500 dh tu enlève 100 dh de carburant, le patron prend 250 dh il reste 150 dh pour le chauffeur, pourrais tu travailler 24h pour 150dh car oui le chauffeur se repose très peu il travail je jour comme la nuit sans oublier le risque d'agression.
Citation
mghili a écrit:
Mais ou est le problème avec Uber? Je crois que le vrai problème se situe au niveau de la mentalité des exploitants des petits taxis, qui ne veulent pas s'émanciper. Il ne veulent pas se libérer de la pseudo-pauvreté derrière laquelle il se réfugient pour racketter l'Etat. Il se sont habitués à vivre aux dépens de la société, en travaillant peu, sans investissement énorme ni contrainte morale, pour un bénéfice assez conséquent. Le dernier de ces exploitants (tous confondus) réalise une rente quotidienne de 500 dhs, en s'amusant à circuler à bord de sa voiture, alors que les vrais travailleurs, plus qualifiés, intellectuellement et professionnellement, triment, d'abord pour trouver un moyen de transport et le payer (lui l'exploitant du taxi), puis à l'usine, au chantier, au bureau, ou à Baballah (la rue), jusque tard dans la nuit, pour récolter une misère de 100-200dhs, dont il lui remet encore une partie, pour le ramener chez lui.
Une révision de ce système d'agrément de taxi est, on ne peut plus impérative, pour mettre fin à cette comédie. La création de sociétés de transport urbain, répondant à un cahier de charges adéquat est la seule solution. Point barre./.
m
13 mars 2017 12:34
Salam,

certains chauffeurs "je dis bien certains chauffeurs" des petits taxis sur casa sont des vrais voleurs ils trafiquent le compteur et dés que tu montes avec eux tu remarques que la vitesse du compteur est plus rapide que la vitesse du chauffeur c'est juste pas possible !!
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
 
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