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Rozenn* a écrit:
Je me serais pris moins de claques je n'en serais pas là, donc tes menaces de violences, tu te les garde, merci.
C'est toi qui nourrira mes gosses si je suis seule ?
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98765430 a écrit:
Certes le divorce est détestable mais il a son utilité quand il faut.
Subvenir aux besoins primaires de sa famille est un devoir basique du mari qui n’est pas rempli. Si en plus l’épouse de retrouve en dépression et contrainte de subvenir à ses 4 enfants on est chez les fous.
Très franchement si c’était ma sœur je lui dirai clairement de divorcer. Pourtant je me mêle jamais des relations maritales de mes sœurs mais là c’est clairement justifié.
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chaoukaliaa a écrit:
Salam
Tu as laissé ta situation s'enliser, si tu avais mis le hola dès le départ tu n'en serai pas là.
Tu avais tous les voyants rouges en t'engageant avec cet homme : harrag, plus âgé que toi, sans le sou, tout pour sa famille restée au pays, violent...... Et tu n'avais que 17 ans. Il connaissait tes faiblesses et bien plus, alors il t'a mise sous sa botte.
Aujourd'hui je ne sais même pas si ça vaut le coup pour les enfants de te séparer.
4 gosses dont 3 ados, mais tu vas souffrir.
Ton mari t'annonce d'office qu'il ne paiera pas de pension, tu vas devoir travailler, plus d'autorité paternelle, tu es épuisée......
Comment tu vas faire sérieux ?
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amirene a écrit:
elle raconte que ses enfants prennent exemple sur leur père dans ses travers
il lui met plus de bâtons dans les roues quant à l'éducation qu'autre chose
c'est déjà la caf qui paie le loyer, je ne vois pas ce que son mari apporte
une mère seule avec quatre enfants, c'est presque 1600 euros
je ne pense pas que son mari ramène cette somme tous les mois
elle serait limite plus à l'aise sans lui et sans travailler qu'avec lui ou en travaillant
si son fils qui souffre de dys a une reconnaissance mdph, elle peut prétendre à 130 euros d'aide supplémentaire
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chaoukaliaa a écrit:
Je pense sincèrement qu'il faut être divorcé pour comprendre à quel point c'est difficile de tout assumer seul.
Alors oui la caf prendra le relais, elle peut même bénéficier de la prestation de pension alimentaire lorsque l'autre parent ne le verse pas, les APL et compagnie....... Mais faut savoir que ça ne durera pas déjà. Au vu de ce qu'annonce le gouvernement, il est très probable qu'on " l'oblige" à travailler. Elle se la coulera pas douce avec le RSA majoré longtemps.....
Concernant l'éducation des enfants, il me semble que la grande tient tête à son père. Le reste je ne sais pas ce qu'il en est. Le couple a vécu dans la violence psychologique et physique, c'est bien sûr non sans séquelles. Les enfants sont imprégnés.
Mais en se séparant, elle n'est pas sûre que ça ne s'empire pas.
Peut être que les enfants profiteront de cette nouvelle liberté, mais à mauvais escient.
C'est la roulette russe.
Et puis Rozenn n'aime plus son mari c'est surtout pour ça qu'elle pense au divorce.
Lorsqu'elle aimait son mari à la folie malgré la misère, elle n'y pensait pas du tout.
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chaoukaliaa a écrit:
Je pense sincèrement qu'il faut être divorcé pour comprendre à quel point c'est difficile de tout assumer seul.
Alors oui la caf prendra le relais, elle peut même bénéficier de la prestation de pension alimentaire lorsque l'autre parent ne le verse pas, les APL et compagnie....... Mais faut savoir que ça ne durera pas déjà. Au vu de ce qu'annonce le gouvernement, il est très probable qu'on " l'oblige" à travailler. Elle se la coulera pas douce avec le RSA majoré longtemps.....
Concernant l'éducation des enfants, il me semble que la grande tient tête à son père. Le reste je ne sais pas ce qu'il en est. Le couple a vécu dans la violence psychologique et physique, c'est bien sûr non sans séquelles. Les enfants sont imprégnés.
Mais en se séparant, elle n'est pas sûre que ça ne s'empire pas.
Peut être que les enfants profiteront de cette nouvelle liberté, mais à mauvais escient.
C'est la roulette russe.
Et puis Rozenn n'aime plus son mari c'est surtout pour ça qu'elle pense au divorce.
Lorsqu'elle aimait son mari à la folie malgré la misère, elle n'y pensait pas du tout.
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******÷%#€/ a écrit:
Au cœur d'une vallée paisible vivait une femme. Les cicatrices invisibles de son passé, marqué par la dureté de son mari, pesaient lourdement sur son âme. Chaque parole blessante et chaque geste insensible étaient comme des pierres accumulées dans un sac qu'elle portait jour après jour.
Un jour, alors qu'elle contemplait le coucher de soleil sur les collines, une vieille voisine sage s'approcha d'elle. La voisine, connaissant son fardeau, lui parla de la libération qui réside dans le pardon.
Au début, elle résista à l'idée. Les blessures étaient trop profondes, les souvenirs trop douloureux. Cependant, la sage voisine lui raconta une histoire de résilience et de transformation personnelle, inspirant un soupçon de courage en elle.
Commencé comme un lent voyage, le processus de pardon fut semé d'émotions difficiles. Elle confronta les souvenirs douloureux avec un regard lucide, reconnaissant l'impact des actes de son mari sur sa vie.
À travers des conversations honnêtes, elle exprima à son mari le poids de ses actions et de ses paroles. La communication ouvrit une porte vers la compréhension mutuelle, faisant naître une lueur d'empathie dans le regard de son mari.
Petit à petit, elle apprit à déposer le fardeau de la rancœur. Elle comprit que le pardon n'était pas une justification des actions passées, mais un acte libérateur pour elle-même. Les chaînes de la colère commencèrent à se desserrer, permettant à la sérénité de trouver sa place dans son cœur.
En pardonnant, elle ne niait pas sa douleur, mais elle refusait de la laisser dicter son avenir. Elle choisit de se concentrer sur les possibilités de croissance personnelle et de reconstruction, transformant son histoire en un récit de résilience.
À la fin, elle et son mari découvrirent une nouvelle compréhension l'un de l'autre. Ils choisirent de construire un avenir basé sur le respect et la compassion. Ensemble, ils laissèrent derrière eux le poids du passé, embrassant la sérénité qui émergea de la puissance libératrice du pardon.
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amirene a écrit:
toutes les femmes divorcées autour de moi qui avaient un mari qui ne servait à rien comme celui de rozenn sont toutes d'accord pour dire que le mari était une charge supplémentaire plutôt qu'un secours
son mari est juste là mais ne sert à rien : pas de travail pour fiche la paix à rozenn, pas d'argent pour payer les factures, n'éduque pas les enfants mais les stresse et leur enseigne limite à se montrer odieux par son exemple, pas de participation aux tâches ménagères mais se permet de critiquer
travailler, c'est ce qu'elle veut donc pas de problème sur ce point
en fait, tu réponds comme si son mari assumait les charges
il a pas un sou : il a dû vendre les affaires de rozenn pour se payer un billet d'avion en tunisie, donc même 300 euros il ne les a pas
je ne vois donc pas ce qu'il apporte quand rozenn angoisse pour payer les soins de ses enfants
si la grande tient tête à son père, c'est qu'elle ne le respecte pas pour la mauvaise personne qu'il est
je pense qu'elle est plus clairvoyante que sa mère et se rend compte elle que son père est un parasite qui déprime l'ensemble de la famille
je suis surprise par ton point de vue, on dirait que divorcer est pire que l'etat dépressif dans lequel il la met
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chaoukaliaa a écrit:
Je pense que tu es surprise parce que tu sais que je suis divorcée et que je m'en sors plutôt bien al hamdulillAh même si c'est très difficile par moment.
Moi aussi j'avais un mari qui servait à rien et qui me faisait la misère. Mais à la différence de Rozenn, j'ai pas fait trainer le truc.
Je suis partie 3 semaines après avoir découvert ma grossesse.
J'ai même pas 6 mois de mariage à mon actif, c'est dire.....
Là le problème est que Rozenn s'est contentée de sa situation misérable tant qu'elle aimait son mari. C'est à dire que là si elle avait toujours autant de sentiments pour lui, jamais elle n'aurait songé au divorce. Elle espère carrément vivre un jour le grand et vrai amour avec un remariage.
Et travailler, elle le dit bien qu'elle n'a plus sa santé d'antan.
Le père se dégagera de toutes responsabilités vis à vis des enfants si divorce. Alors que là elle affirme qu'il s'en occupe.
C'est le timing qui va pas.
Et si elle pense que sa situation va s'améliorer en se séparant, et a la certitude que ses enfants tiendront la route, alors vraiment je lui souhaite d'y arriver.
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98765430 a écrit:
Pourquoi ton mari ne travaille pas ? Quelle est la raison ? Question de santé ou de motivation ?
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amirene a écrit:
il souffre d'un trouble selon rozenn : il est inadapté, il n'aime pas les contraintes puis il aime bien faire comme il veut
ce qui dans le langage courant signifie juste la flemme
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98765430 a écrit:
Je comprends pas, si il travaille pas et qu il finance pas le foyer c'est une bouche en plus à nourrir donc comment elle pourrait être dans une situation inférieure financièrement sans lui selon ses dires ?
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amirene a écrit:
il souffre d'un trouble selon rozenn : il est inadapté, il n'aime pas les contraintes puis il aime bien faire comme il veut
ce qui dans le langage courant signifie juste la flemme
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Yalla123 a écrit:
Salam Rozenn
Je me souviens de ton parcours de vie (tu etais Fleur avant sur Yabi, c'est bien ça ?).
Mon impression c'est que tu t'es faite avoir quand tu etais toute jeune, par un mec qui avait 10 ans de plus. Ce qui m'étonne, c'est que tes parents ont laissé faire.
C'est difficile de te conseiller aujourd'hui. Je dirais juste qu'il faut que tu regardes TON interet et celui des enfants. Lui ne mérite pas ta considération. Tu lui as déjà beaucoup, beaucoup trop donné depuis toutes ces années.
Prends une feuille blanche, fais un bilan rapide de ce que tu peux faire, avec les avantages et les inconvénients. Et fonce.
Tu as gaché une partie de ta vie, mais tu n'es pas vieille. Tu peux encore avoir plein de très belles années avec tes enfants, ta mère et ton beau-père, tes amies si tu en as (et si tu en as pas, les amies que tu te feras).
Bon courage et bonne chance Rozenn.
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Rozenn* a écrit:
Ce qui me bloque c'est la fatigue mentale.
Comme j'ai dit plus haut, en présence de mon mari je suis comme annihilée.
Je perd ma substance, je m'efface, je ne suis plus capable de rien.
Je n'arrive même pas à parler à d'autres personnes en sa présence.
Je n'arrive pas non plus à sortir.
Tu sais que mon mari n'aime pas que je sorte.
Ça m'a créé un blocage, je n'arrive plus à sortir, enfin ça me demande un gros effort psychologique, entre ce blocage que j'ai et l'anxiété sociale.
En période scolaire je suis débordée moralement par mes soucis habituels, en période de vacances la présence de tout le monde tout le temps à la maison ne me laisse pas le temps ni l'énergie pour m'occuper de mes affaires, donc je n'y songe même plus.
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