Des informations sur la montagne Oudka, Astar, ...
J'ai été étonné de lire dans le livre : Revue d'histoire des religions et à la page 68 que les Beni Zeroual considèrent la montagne Oudka ou Outka comme sacrée car ils disent que Sidna Issa (Jésus Christ) y avait séjourné un certain temps. L'auteur cite Moliéras à ce propos. Voici le livre: Notes sur l'Islam MAghrébin- Les Marabouts - Extraits de la Revue de l'Histoire des Religions Tomes XL et XLI , Edition Ernest Leroux, 1900, Paris, par Edmond Doutté.
Moi, je pense que l'auteur faisait sa propagande pour préparer les marocains à la colnisation en racontant trop d'histoires comme l'origine française de certaines tribus (Beni Seddath, Beni Frassen à Tsoul, Beni Zekara ...) ou des endroits chrétiens au Maroc ou les prédications par des Saints de la colonisation du Maroc par des Espagnols ou français.
Je n'ai pas la certitude, mais normalement, le mot Lalla décrit Sainte musulmane donc une femme comme Lalla Mimouna Tagnawtia à Oued Drader à Sidi Kacem et qui voulait se marier avec Sidi Bouslham, comme Lalla Zohra par loin d'elle aussi et Lalla Mennana Mesba7ia à Larache ou Lalla Beida de Casablanca, femme de Sidi Belyout. Donc, je pense que Lalla Oudka est une femme entérée dans la montagne de ce nom tout simplement. Nous, par contre, on pourra dire que Sainte Maure, au Sud de la France, est une sainte muslmane car MAure veut dire d'origine mauresque (origine andalouse) ou Maurétanienne qui designait le Maroc.
Remarque: l'auteur signale la légende de Lalla Tiffeult qui dit qu'elle était une femme de joie et je pense le verbe tfella vient de ce nom comme El Bahja qui était une femme de joie aussi.
Je voulais savoir si le nom de Lalla Oudka apparait dans un livre décrivant les Saintes comme Nachr El Mathani ou Essafwa ou autre. Si queqlu'un pourra nous renseigner.
Dans chaque région de Taounate on découvre du nouveau, mais qui est à vérifier:
- En commençant par l'origine des Beni Ounjel qui pourrait venir du mot Latin Evangilli càd dire comme quoi leur ancêtre propageait la religion chrétienne au temps des Romains et/ou Bizantains. Il faut rappeler que le Nord du Maroc était sous influence Romaine, vadale, bizantine, ...Certaines tribus ont été plus ou moins romainisées. L'arrivée du judaisme et du christainisme avait influencé certaines tribus aussi.
-Après avoir traité la montagne d'Astar que certains liaient au culte d'Astarté ou Ishter, nous revenons sur ce sujet. Cette divinité était connus partout au Machrik et au Maghreb. Les juifs en avait constuits des lieux de culte pour Ishter et la fetent le jour du Pourim.
Astar ou Ishter était une divinité de l'Amour et du sexe. Or, à Senhaja Mosbah, pour insiter un âne à faire l'acte sexuel avec une annesse, les jeunes qui curieux lui répètent le mot Echter (qu'on ne dit jammais devant la famille). On utilise ce mot aussi à quelqu'un qui dit n'importe quoi.
Dans le même registre, les habitants de Tiznit désigne le vagin par Achter et le pénis par Amghil. On peut déduire que les mots Echter lancé à l'âne et Achter de Tiznit ont un lien avec la déesse Ishter, la déesse de l'amour et que ces mots ayant la même racine en dérivent.
Modifié 2 fois. Dernière modification le 19/08/09 16:22 par N7abb-bladi.
On attend toujours la biographie des gens que nous avons cité avant ou pas encore: des Caids, des écrivains, des artistes, des chanteurs, des élèves doués, des pofesseurs, des chercheurs, des cadres, des historiens, des géographes, des anthropologues, .....
Mettez- les en ligne si vous ne voyez pas d'inconvénients car ils serviront pour toujours et donneront une certaine valeur à la province car tout le monde ne connait pas Taounate.
je salut chaleureusement tes efforts qui tendent à animer ce joli topic que je trouve différent , et je me demande ou sont les autrew Taounatis ?
on peut pas forcer les gens , seulement je me suis etonné de ce mutisme choquant et de cette neutralité et passivité absolue qui disaient bcp de choses sur la mentalité des citoyens quii hesitent à suivre l'évolution de leur villes
je me permet de partager avec vous des ancienne cartes postales de Taounbate et sa région
Merci Si Belmahjoub pour ces cartes postales qui datent de la guerre du Rif. En fait, la guere du Rif s'est passée sur les 3 provinces Taounate- Taza et Al Hoceima. Mais le front le plus violent était sur Taounate-Taza sur 350 Km environ. Même l'Etat-Major et le terrain d'aviation étaient respectivement au camp Saint Germain à Ain Aicha et à Swaté (entre Ain Aicha et Senhaja Mosbah) à Taounate vus que les tribus de Taounate étaient à surveiller de près vue leur courage et la proximité avec Fès. On écrira un jour un post sur la guerre du Rif à Taounate.
Affluence massive au 6è festival des figues de Bouhouda
Publié par toma le Mer, 2009-08-19 19:50 sur le site: [biladi.ma]
La 6-ème édition du festival des figues de la commune rurale de Bouhouda (province de Taounate), qui s'est ouverte mardi sous le signe "valorisation du produit agricole, base du développement humain", connaît une affluence massive du public, apprend-on mercredi auprès des organisateurs.
Le festival vise à promouvoir le développement de la commune et à faire connaître au public les atouts agricoles, culturels et touristiques de la localité de Bouhouda, selon l'Association du troisième millénaire pour le développement et la solidarité de Bouhouda, organisatrice de cet événement.
Ce festival se propose aussi de mettre en relief la dimension économique sociale et culturelle du figuier chez les habitants de la région qui en tirent une grande partie de leurs revenus, notent les organisateurs, qui ambitionnent de faire de cette manifestation une véritable locomotive de l'économie de la région.
Les organisateurs soulignent également que ce rendez-vous annuel représente une occasion propice pour les producteurs de figues qui devront oeuvrer de concert avec l'ensemble des potentialités locales, pour promouvoir leur produit et trouver de nouveaux débouchés.
Ils insistent aussi sur la nécessité d'adopter un ensemble de mesures visant, en particulier, la qualification des ressources humaines exerçant dans le secteur et relancer le partenariat entre les différentes potentialités locales.
Au programme de ce festival, qui se poursuivra jusqu'au 20 août, figurent des conférences sur la culture des figues, des expositions de produits du terroir, des compétitions sportives, des concerts musicaux animés par des troupes populaires et des représentations théâtrales.
Selon les organisateurs, la précédente édition avait drainé plus de 40.000 visiteurs.
Par ailleurs, au Maroc, la superficie totale occupée par le figuier s'élève à 42.000 ha pour une production estimée à plus de 100.000 tonnes.
Outre la province de Taounate (22.230 ha), il existe quatre grandes zones de production de figues à savoir Chefchaouen (7.050 ha), Al Hoceima (5.000 ha), Ouazzane (3.150 ha) et Tétouan (2.000 ha).
La période de fructification des figuiers est très différente selon les variétés. Certaines variétés, dites "unifères" n'ont qu'une seule fructification, d'autres, dites "bifères" fournissent deux récoltes par an, l'une de gros fruits ou figues fleurs, formés sur les rameaux de l'année précédente, qui mûrissent en juillet-août, et l'autre de fruits standard, sur les rameaux de l'année, qui mûrissent en septembre-octobre.
Maroc : Plus de 8 119 établissements économiques recensés à Taza et Taounate
Quelque 8.119 établissements économiques employant 18.415 personnes, ont été recensés à Taza et Taounate, selon la chambre de commerce, d'industrie et des services (CCIS) des deux provinces.
La province de Taza compte 5.893 établissements économiques procurant de l'emploi à 15.119 personnes, alors que Taounate en compte 2.226 employant 3.296 personnes.
Selon une récente publication de la chambre qui analyse les résultats du recensement général des ressortissants de la chambre établi en 2007 en partenariat avec le Haut commissariat au plan, l'agence urbaine de Taza et la délégation provinciale du commerce et de l'industrie à Taza.
Le secteur le plus utilisateur de la main d'œuvre demeure le commerce avec 41,7% de l'emploi total à Taza et 76,3% dans la province de Taounate.
Les petites entreprises constituent un élément moteur de l'économie dans les deux provinces avec 99% d'unités employant 8.715 personnes à Taza (59% de l'effectif permanent) et 99,6% d'unités dans la province de Taounate employant 2.988 personnes , soit 95,5% de l'effectif permanent.
La majorité des établissements économique est localisée en milieu urbain, indique la publication précisant que sur les 8.119 unités recensées , 73,5% existent dans les centres urbains.
Au niveau de la province de Taza, 83,3% des unités recensées sont implantées en milieu urbain et emploient 13.909 personnes, soit 92% de l'emploi total.
A l'échelon de la province de Taounate, 52,3% des unités dénombrées sont installées en milieu rural employant 1.486 personnes, ce qui représente 45 PC du total des effectifs employés par les établissements économiques recensés au niveau de cette province.
La commune urbaine de Taza avec 3.188 établissements économiques, totalise 64,9% des unités économiques urbaines de la province et 64% de l'emploi urbain. Elle est suivie par la ville de Guercif avec 22,3%, la ville de Tahla avec 6,4%, le centre d'Oued Amlil avec 4,3% et le centre d'Aknoul avec 2,1%.
La répartition par secteur d'activité place la ville de Taza en tête avec 64,6% d'unités urbaines commerciales, 67,4% des unités urbaines de services et 55% des unités urbaines industrielles.
Pour sa part, la commune urbaine de Taounate attire le plus d'investisseurs au niveau de la province avec 724 unités économiques soit 68,2% du total des unités urbaines recensées dans la province. Ces unités emploient 1.354 personnes , soit 75% de l'effectif global urbain.
Le centre de Tissa vient en seconde position avec 14,5% du nombre total des unités urbaines, et 12% des effectifs employés.
La ventilation par secteur d'activité montre que la ville de Taounate centralise 91,3% des unités urbaines industrielles, 66% des unités urbaines commerciales et 69,4% des unités urbaines de services.
Le ramadan, mois de jeûne rituel des musulmans, débutera samedi en France, a annoncé jeudi soir le président du Conseil français du culte musulman (CFCM).
"Le premier jour du mois sacré de Ramadan pour l'an 1430 de l'Hégire correspondra au samedi 22 août 2009", a annoncé Mohammed Moussaoui, président du CFCM, lors de la cérémonie de "la nuit du doute", à la Grande Mosquée de Paris.
"A cette occasion, le Conseil français du culte musulman présente ses meilleurs voeux à toute la communauté musulmane de France et appelle à ce que les valeurs de solidarité et de partage que symbolise ce mois béni puissent s'exprimer davantage en cette période de crise", a-t-il ajouté, devant la presse et quelques rares fidèles en raison des vacances.
Le conseil de "la nuit du doute" avait réuni pendant une heure et demie autour d'une même table théologiens, imams et représentants d'associations musulmanes. Leur décision a été "unanime", a précisé à l'AFP Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris.
"Il est essentiel pour nous que la communauté musulmane de France commence à jeûner le même jour indépendamment de ce qui peut se passer hors de France. C'est l'unité des musulmans de France qui prévaut sur toute autre considération", a ajouté à l'AFP M. Moussaoui.
"Pour ceux qui voudraient faire autrement, qu'ils n'en fassent pas un objet de dissension", a-t-il ajouté, en référence à des croyants qui préféreraient se caler sur le début du jeûne de leur pays d'origine.
Si quelques pays se sont prononcés pour le vendredi 21 comme la Turquie ou la Libye, "la majorité s'est prononcée pour le samedi 22", a souligné le représentant de l'islam en France, après avoir reçu des appels d'Egypte et de Jordanie notamment.
Rania, une musulmane de 44 ans qui "ne pratique pas quotidiennement mais observe le ramadan", a fait spécialement le déplacement à la Grande Mosquée pour cette annonce. "Je vais prévenir ma mère et après c'est le téléphone arabe", dit-elle malicieusement.
L'observance du ramadan, qui implique notamment de s'abstenir de boire et de manger du "lever de l'aube" (vers 5h15 dans la région parisienne) au coucher du soleil (vers 21h dans la même zone) devrait être particulièrement pénible cette année étant donné la longueur des jours et la chaleur prévue.
Sur le chiffre généralement admis de 5 millions de musulmans vivant en France, 70% affirment observer le jeûne du ramadan, un chiffre stable par rapport à 2001 mais en forte hausse depuis 1989 (60%), selon un sondage Ifop sur l'islam en France en 2009 rendu public jeudi.
Le journal Assabah (N0 2913 du 21 âout 2009) publie par son journaliste Hamid Labiad un article à la page 14 sur le Sit-In des diplômés chômeurs de Taounate devant la prefecture depuis le 12 âout 2009. L'association des diplômés-chômeurs l'ANDCM de Taounate demande un dialogue pour faire travailler les enfants de Taounate en priorité. Ce sit-in vient après plusieurs manifestations depuis 2008 et dont les vidéos se trouvent sur Youtube.
On espère qu'une solution amiable soit trouvée à ce problème qui devient de plus en plus complexe. C'est vrai qu'il y a beaucoup de diplômés-chômeurs à Taounate dont les familles sont des fois très pauvres. Ces enfants sont les seuls espoirs de ces familles. Si ces diplômés travaillent, des dizaines de familles sortent de crise.
On a confiance dans la société civile et dans l'administration pour trouver une solution acceptable par tout le monde.
La société Al Omrane-Fès réalise des logements pour la classe moyenne dans les provinces de Fès-Sefrou-Taza-Alhoceima et pas de logements à Taounate
Pubilé le : 20.08.2009 | 18h45 sur le site: [www.lematin.ma]
Al Omrane courtise la classe moyenne La société propose des logements pour la classe moyenne
Des appartements, des lots de terrains et des villas économiques constituent le principe de l'offre de la société Al omrane-Fès à destination de la classe moyenne.
Pour le management de la société, répondre aux besoins en logements de cette classe est une priorité dans la stratégie du groupe Al Omrane. De fait, Al Omrane- Fès mobilise aujourd'hui toutes ses ressources pour booster l'offre destinée à cette composante qui constitue une large frange de la population. «Dans ce cadre, la société réalise à Fès ainsi que dans la région de Taza-Taounate-Al Hoceima des résidences composées d'appartements destinés en priorité aux ménages de la classe moyenne dans de nombreuses villes dans le champ d'action de la société. Elles sont situées à Fès, à Sefrou, à Taza, à Guercif, à Imzouren et Al Hoceima. Le prix de vente est à la portée de cette classe avec de larges facilités de paiement de l'avance et des crédits à l'acquisition», explique-t-on.
L'objectif étant de permettre aux ménages cibles, qui connaissent une forte poussée démographique, d'accéder à la propriété de logements répondant à leurs besoins spécifiques et sauvegarder leurs pouvoirs d'achat.
A préciser que les produits de cette catégorie de logements sont destinés, selon le management, en priorité aux ménages remplissant un certain nombre de conditions d'attribution, dont, notamment, le fait de résider ou travailler dans la localité abritant le programme, de ne pas être propriétaire d'un logement correspondant aux besoins d'un ménage de la classe moyenne et d'être solvable. Ceci étant, les ménages ne remplissant pas ces conditions peuvent être servis après satisfaction des ménages cibles, dans la limite des stocks disponibles, précise-t-on à Al Omrane-Fès. A noter qu'Al Omrane-Fès se mobilise comme les autres filiales du groupe conformément aux orientations de la nouvelle politique gouvernementale, pour la production de logements adaptés aux couches sociales moyennes à travers des programmes d'habitat économique et moyen standing et à celles défavorisées à travers le programme de l'habitat social. Le programme des logements de 140 mille DH l'unité est, par ailleurs, sur les rails. Les premiers appartements vont être livrés dans les mois qui viennent. «Il s'agit pour ce dernier produit d'une opération s'inscrivant dans le cadre du premier programme 2008-2012 du groupe Al Omrane pour la réalisation de 125.000 logements à travers le Royaume avec un coût bénéficiant aux catégories ayant un revenu limité.
Ce produit vient s'ajouter aux projets de logements sociaux et aux lots de prévention déjà lancés», affirme-t-on à Al Omrane-Fès. Ce projet de logements à 140 000 DH l'unité est destiné aux ménages dont le revenu ne dépasse pas 1,5 du SMIG. Parmi les bénéficiaires de ce programme figurent les ménages de l'habitat menaçant ruine, les bidonvillois, le personnel et les agents de sécurité, ainsi que les petits fonctionnaires, les salariés du secteur privé organisé, les petits artisans et commerçants. Une commission, présidée par les autorités locales et à laquelle seront représentées différentes parties, est chargée, par ailleurs, de l'examen des dossiers des bénéficiaires selon une procédure bien définie. Ceci étant, il y a lieu de préciser qu'Al Omrane-Fès adopte la charte commerciale établie par le holding Al Omrane. Cette charte est basée sur la transparence dans la commercialisation des différents produits et comporte, entre autres, la communication sur les différents supports et le tirage au sort des personnes inscrites en présence des autorités de la ville abritant le projet et un notaire.
Lors des journées portes ouvertes organisées en marge de la Journée nationale de l'immigrant du 11 au 13 août, Al Omrane Fès a exposé une panoplie de produits : des lots de terrains et des logements pouvant répondre aux attentes des Marocains résidant à l'étranger. Ces derniers ont été nombreux cette année, selon un responsable d'Al Omrane-Fès, à visiter le siège de la société abritant les journées portes ouvertes. Avec la crise économique en Europe, les Marocains de l'étranger se sentent menacés et cherchent de plus en plus un logement pour l'usage personnel en cas de retour au pays et non pour investissement ou l'épargne comme auparavant, indique un responsable de la société.
c'est ce qu'on comprend après avoir visionné la vidéo et ces Taounatis seraient d'Oulad Bou Soltane. Ils montrent des extraits de leur vie quotidienne l'été.
On sait que beaucoup de Taountis ont quitté la province à cause du manque de travail pour aller en villes (Fès/cas et autres) et en Europe (Surtout France/Belgique).
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