Citation
fraisementhe* a écrit:
alala tu me fait rappeler de beaux souvenir
et aussi on allez chercher de l'eau dans des puits
et je kiffe trop aussi les mariages a la campagne cest pas du tout comme en ville ya pas de bling bling
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Unjourpeutetre a écrit:
Amchoum n Soult
Parce que toi tu prenais laquelle des places Zeehma ?
Déjà tu es sûr d'avoir eu une place be3da ?? Si ça se trouve on te mettait à l'arrière sur le plancher du coffre
Aha ha JPP ! J'ai imaginé la scène.....
L'odeur du thon associée à celle de la transpiration miammmm..... Magnifique souvenir ! Citation
Soult* a écrit:
Non mais.. Tu crois vraiment qu'on va mettre le grand soult à la place du milieu ?
J'étais côté fenêtre, là ou les baguettes sortait de partout et tu te ramassais les bouts à chaque coup de frein
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♕Bee a écrit:
Pire souvenir : Mon frère qui vomit sur moi.
Bon souvenir : les chansons et les jeux pour s'occuper.
La place du milieu je l'avais toujours car j'étais obligée de séparer mes frères sinon ils se disputaient.
Roh atatsad chem ! Je t'ai déjà dit que tu peux pas utiliser MES phrases contre moi ou j'arrête de t'apprendre le tamazight ! Un peu de respect hein 
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Unjourpeutetre a écrit:
Déjà arrête de faire semblant de fumer pour te donner des airs de "Grand" 'afaq !
Et roooh atatsad
En parlant de baguettes..... Nombreuses fois où on les as oubliées sur le toit de la voiture
D'ailleurs ça me rappelle une histoire....
Une fois je devais préparer des sandwichs au thon ( tu sais les fameuses boîtes de thon à la tomate ) et c'était pendant que mon père conduisait.... Je me rappelle il avait mis un coup de frein et je me suis retrouvée avec de la sauce tomate de partout..... Et comme il ne pouvait pas s'arrêter, je suis restée comme ça pendant au moins deux bonnes heures
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Soult* a écrit:
Les boîtes de thon à la tomate du Auchan, la base de l'alimentation du voyage ouai
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Unjourpeutetre a écrit:
Tu as abrégé !? Vraiment ?
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KingKotes a écrit:
Salam,
J’ai plein de bon souvenir, mais bon je vais en raconter un parmi tant d’autre.
Y’a 3 ans je suis rentré du Maroc avec 2 de mes cousins.
Brièvement, au Maroc, on a eu une roue crevée en partant pour le Rif à Rabat, le truc c’est que la roue était crevée un peu sur la partie latérale et c’est un point qui aura son importance pour la suite. On avait pas la clef de l’antivol, donc impossible de changer la roue, finalement on a mit une mèche.
Bref, début de l’histoire,
Nous prîmes le départ de Casa, pour aller au port de Tanger, tous se passa bien, nous croîsames sur l’autoroute un sportif qui faisait son jogging matinal, un brave homme en somme, téméraire le bougre.
Arrivé à Tanger, nous prîmes le bateau rapidement, 1h plus tard nous arrîvames en Espagne, mon grand cousin réserva un hôtel à 200km de là..
Pour la suite de l’histoire, pour avoir un peu de clarté je vais devoir donner un surnom à mes acolytes, donc y’aura Jimmy pour mon grand cousin et Ronflex pour l’autre.
On reprend, avant d’arriver à l’hôtel un peu inquiet j’interrogeai Jimmy, « T’as pris combien de chambre? », lui me répondît « Deux, une pour nous, et une pour Ronflex ». Me voilà rassuré à l’idée de ne pas revivre le cauchemar que m’avait fait vivre Ronflex pendant notre séjour, la route continua de manière joviale, enfin arrivé à l’hôtel, je fûts rassuré à l’idée de pouvoir enfin me reposer. Jimmy nous enregistra, me donna la clef de la chambre, je montai et me douchai directement, en sortant de la douche j’entendis frapper à la porte. C’était Ronflex, je le fît entrer, pensant qu’il voulait simplement ce poser je le laissai. Après avoir effectué mes prières, je décidai de manger, puis je revins à ma chambre, afin d’entamer ma magnifique nuit. Que fus m’a surprise en ouvrant la porte, un bruit assourdissant, le sol en tremblait, les murs vibraient..
Ronflex dormait dans le lit situer à 20 cm du mien, et il avait décidé de démarrer son moteur V12. Après m’ être pincé à plusieurs reprises, je réalisai que non ce n’est pas un mauvais rêve. En colère, je fonçai jusqu’à la chambre de Jimmy, après avoir frappé à la porte et j’entendis Jimmy rire aux éclats, je décidai donc de continuer à frapper en déversant mon fiel acide. Au pied du mur, je devins utopiste, et me dit « KingKotes tu as affronté de plus grosses épreuves dans ta vie, tu peux réussir à t’endormir », quelle doux rêveur je fus. À peine, j’eus ouvert la porte, que mon optimisme m’abandonna.
Tant pis je me mis au lit 1h passa, mes tympans étaient au bord de la rupture, et ma patience n’était plus. 3 possibilités s’offrir à moi, étouffer Ronflex jusqu’à mort cérébral, ce qui m’aurait permis certes de passer une nuit tranquille mais m’aurai valu un séjour un prison, je pouvais aussi faire une nuit blanche, mais cela aurait été tirer un trait sur mes beaux rêves et laisser Ronflex profiter de sa nuit ce qui était pour moi inconcevable, enfin la dernière possibilité ruser et me débarrassé de Ronflex, la meilleure solution à mes yeux.
Après une quinzaine de minutes de réflexion, j’eus une idée de génie, ni une ni deux, je pris ma couette et mon coussin, après les avoir déposé dans le balcon, j’allai réveiller Ronflex, un jeune homme crédule et ayant toute confiance en moi, et je lui dis « Tu sais Ronflex, il fait chaud dans la chambre, tu devrais essayer de dormir dans le balcon. ». Le bougre sentit le poteau rose, n’ayant plus le choix je dus user de ma supériorité physique sur cet individu, afin de me débarrasser de lui manu militari dans le balcon. Après avoir fermé le balcon, il ne se rebella pas plus de 10 min et abdiqua, fiers de moi je pus enfin commencer ma nuit rêvée.
Le matin, je me fis réprimander par Jimmy, qui eut vent de notre nuit agitée, ce délateur de Ronflex m’avait dénoncé. L’affublant du joli surnom de balance, je poursuivi mon voyage, nous reprîmes la route, après 10min la voiture afficha, « perte de pression dans le pneu avant gauche ». Le ciel nous était tombé sur la tête, nous décidâmes de nous arrêter, afin de contrôler l’état des pneus, la mèche marocaine se faisait la malle. Que faire ?
Dans ces moments, beaucoup d’idées plus stupides les une que les autres vous envahissent, après avoir utilisé de la glue, un chewing-gum, du scotch, nous trouvâmes une bombe anti crevaison, que fut notre surprise de découvrir sa totale inefficacité. Dépité nous nous arrêtames au premier restaurant, dans lequel j’eus dépensé mes derniers deniers afin de noyer ma peine dans la nourriture. Finalement, après avoir pensé à abandonner la voiture et prendre l’avion, j’ai décidé de prendre les choses en mains, et pris contact avec la communauté autochtone locale, ayant appris leur langue dans ma jeunesse, je pus me faire comprendre, grâce à Dieu nous trouvâmes un garage et nous pûmes réparer notre roue. Le voyage se finit finalement dans le calme.
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salim83000 a écrit:
Ouais
On revenait donc de vacances au bled.
On prend le bateau à ceuta ( sebta )
Y avait donc mon père (Allah irahmo ) ma mère et ma soeur.
Donc sur le bateau je décide daller boire un café ( en prévision de la route a faire (Je précise que c'est moi qui conduit tout le long ))
Je bois donc mon café et au moment de payer je m'aperçois que j'ai pas d'argent sur moi .Je dis donc au barman je vous laisse mon portable pendant que je vais chercher de l'argent chez mon père.
A côté de moi y avait un type marocain et qui parlais bien espagnol. Ce monsieur dit au barman qu'il m'offre le café.
Je le remercie .
Et la il me raconté son histoire .comme quoi il avait 4 ou 5 gosses et que son travail consistait à acheter des mini chaînes hifi à sebta et qu'il les revendait en Espagne.
Ok jusque là tout va bien.
Puis il me dis que la plupart du temps il se faisait confisquer sa marchandise par les douaniers.
Sur ce il me demande si je peux pas l'aider en le prenant avec nous dans la voiture. Moi bonne poire ( le con fini ) je lui dis que je vais en parler à mon père.
Je vais donc défendre son cas auprès de mon father.
J'ai été tellement bon avocat que mon père me dis ok mais à condition qu'il monte avec nous dans la voiture.
Je vais dire ça au mec et il accepte en nous remerciant.
Arrivée à algesiras on monte tous dans la voiture et le mec mets ses sacs dans le coffre.
On sort du bateau et avant d'arriver à la douane le mec nous fais : olalaaa le douanier la bas me connaît trop et sil me voit avec vous il va vous emmerder !
Sur ce le salopard œuvre la portière et descends
Je voulais descendre et le poursuivre mais mon père m'en a dissuadé en me disant que je vais attirer l'attention des douaniers.
Je restais donc au volant en me disant : à mwimti qu'est ce que j'ai fait !!!!!.
Grâce à Allah nous sommes passés sans être fouillés. Hamdoumillah. Je bouillais quand même de rage .
On était en train de sortir du port quand je vois notre lascar sur le bord de la route qui nous faisait signe !
Je m'arrête descends de la voiture et avant même qu'il ouvre la bouche je lui mets un coup de boule dont il se souviendra toute sa vie.franchement les amis(ies) je lai massacré.
O est reparti vite fait et quelques kms plus loin je me suis débarrassé des sacs de mini chaîne de l'enc.......
Vous devinez bien sûr ce qu'il devait y avoir dans ces mini chaînes ?
Donc voilà depuis je me suis juré de PLUS JAMAIS faire confiance
Quand je pense que peut être nous serio s tjs en taule à l'heure que je vous parle
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Unjourpeutetre a écrit:
TES phrases ?
Tu sais même pas conjuguer le verbe "siwar" stp !
C'est l'élève qui veut dépasser le maître là ^^
L'élève apprends du maître, le maître apprend de l'élève.... C'est bon comme ça ?
Tu peux atahad atatsad maintenant =)
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KingKotes a écrit:
Mdrrr, j’ai supprimé deux paragraphes et en encore la crevaison ça a été une plus grosse galère que ce que j’ai décrit, après y’a eu d’autre petit truc, sans parler du séjour, que des casses pipes. Incroyable, à chaque jour son lot de galère mais c’était un des séjours les plus marrants de ma vie, que des fous.
Après, je constate qu’on a tous eu les mêmes voyages, la petite soeur au milieu, le père de famille qui connais mieux la route que le GPS et qui te fait faire le tour de l’Espagne, ta mère qui prépare les bagages et qui pense que t’as un minibus, ton père qui joue à tetris pour ranger le coffre, les grosses pancartes de taureaux que tu t’amuses à compter, le camping sauvage dans les stations, dès que tu réussi à t’endormir on te soulève, les embrouilles avec mon frère, à la belle époque en somme. À une époque on mettait 3 jours mtn 13h t’es au port. Mais bon la route tu kiffes quand t’es jeune maintenant c’est horrible.
Y’a aussi la campagne du rif, le chant des cigales, les amandes, les figues, les cactus, les campagnards avec qui tu joues au foot, à chaque dribble tu prends un coup de tibia, le soir le ciel étoilé, les histoires de jnoun des grands cousin pour te faire paniquer, les conneries plus stupides les une que les autres, les grands cousins, qui organisaient des combats entre les petits, la chasse. C’était bien à l’ancienne quand même, je suis nostalgique en y repensant.
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Soult* a écrit:
Je vais fermer les yeux sur cette critique envers moi fausse rifia
Je suis d'accord oui tant qu'on oublie pas qui est le professeur.. !
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LeRoiSoleil a écrit:
J’ai adoré ton histoire !!
J’en veux une autre mtn
t pire que moi je crois Citation
KingKotes a écrit:
J’avais la flemme, mais comme j’ai rien à faire et que t’insistes.
Changement de décor pour cette seconde histoire, mon départ de La France pour Montréal, où je devais réaliser un stage de fin d’étude.
Cette histoire va résumer mon arrivée dans la ville aux cents clochers.
Tout commença à l’aéroport en France, je partis la veille du départ, de mon lieu de résidence pour rejoindre l’aéroport, je réservai au préalable une chambre, dans un hôtel situé à proximité. Arrivé sur place, je quittai mes amis qui m’avaient accompagné. L’idée de partir la veille était de ne pas être pénalisé par l’un de mes travers, la ponctualité. Donc je pris possession de ma chambre, la nuit passa 2h du matin toujours pas endormi, j’allumai la TV, un documentaire sur les biches m’interpella. Toutefois, le reportage sur Bambi et ses semblables dura plus longtemps que je ne le l’aurais pensé. Ce fût ma première grosse erreur.
À 4h du matin, j’éteignis la TV, mon avion devait décoller à 8h, il ne me restait plus beaucoup de temps. 30 min plus tard, les yeux toujours en plein phare, je me mis à désespérer de croiser Morphée cette nuit là. Que faire ? Il sembla judicieux de ne pas dormir et de rattrapai ma nuit dans l’avion. 5h du matin, je m’endormis, ma 2ème erreurs. Heureusement, pour moi j’avais demandé à être réveillé a 5h30 en arrivant à l’hôtel. N’ayant absolument aucune confiance en ma capacité à me réveiller à l’heure.
Bref, 5h30, la tête dans le gaz, je me levai, pris ma douche, priai, et descendis, et la je fus confronté à un dilemme, le petit déjeuner. Mon deuxième travers, la nourriture voulait encore me jouer un tour, associé au fait que je n’avais dormis qu’une demi-heure et que donc mes capacités cognitives n’étaient pas à 100%, je me mis à hésiter, après avoir constaté qu’il était déjà 6h et dans un sursaut de rationalité qui m’avait fait défaut la nuit précédente, je pris la décision de prendre la route à contre cœur le ventre ronronnant de frustration. 15 min de marche rapide plus tard, et après avoir transformé ma valise en SUV, j’arrivai à l’aéroport. Je m’enregistrai rapidement, tout en me faisant sermonner à cause de mon retard. Je pris sur moi, devant cette diatribe injustifiée. il me restait ¼ d’heure pour m’enregistrer, j’étais donc à l’heure.
Un exploit en soit, arrivé dans l’avion je rencontrai un camarade de classe, après avoir brièvement discuté avec lui, je pris place et commençai à chercher mes écouteurs, 8h d’avion c’est long, et pour la première fois de ma vie j’avais un télé dans un avion. Après 15min de fouilles intensives, je remarquai ma 3ème erreurs, mes écouteurs étaient restés à l’hôtel. Je commençai donc légitimement à harceler une hôtesse pour qu’elle me vende une paire d’écouteurs, elle m’expliqua que je devais attendre que l’avion décolle. Une fois que l’avion, eu pris son vol, elle m’apporta mon précieux sésame. Me lançant euphorique, dans la recherche d’un bon divertissement, mon ventre se mis à rugir, la faim me pris de court. 30min plus tard, on m’apporta le menu, face à un choix pléthorique de plats, je choisis le seul plat sans viande, des nouilles asiatiques.
Il faut savoir que des choses immondes, j’en avais mangé dans ma vie, mais là nous avions atteint le niveau olympique. Que faire ? Me forcer afin de ne pas mourir de faim ? Oui, il le fallait, après avoir gobé ces quelques nouilles, grâce à un fameux breuvage sucré, tout en évitant soigneusement de ne pas régurgiter tout mon plat. Je continuai mon périple, le vol continua, quelques heure plus tard j’atterrissais sur le sol canadien.
À suivre...
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KingKotes a écrit:
Suite
Je descendis de l’avion, et on m’expliqua que ce n’était pas dans la culture québécoise de doubler les gens en sortant de l’avion, une chance pour moi je n’étais pas québécois. Après avoir doublé quasiment tout le monde j’arrivai au poste frontière, et c’est à ce moment là que je compris.
Il faut savoir que j’avais choisis le Québec, car c’est une région francophone, et bien il s’avéra que nous n’avions pas la même notion de francophonie. Après avoir fait semblant de déchiffrer le patois du douanier, je partais récupérer, mon précieux visa.
Je pris mon ticket d’attente, le numéro 6, après 30min d’attente ce fut mon tour, cette fois le jeu de la compréhension fût corsé. En effet, la douanière avait réussi la prouesse de mélanger l’accent québécois et africains, la difficulté fût telle, que quelques gouttes de sueur m’échappèrent.
Après plusieurs minutes, d’intenses efforts afin de déchiffrer son langage codée, je récupérai mon permis de travail. En me retournant je croisai le regard de mon collègue, je décidai d’aller lui souhaiter un bon stage, en tant que bon camarade, je finis par lui demander quelle est son numéro,
Il me répondit 34. Après un bon fou rire, je finis par lui souhaiter bon courage pour l’après-midi d’attente qui l’attendait.
J’allai par la suite récupérai ma valise, acheté par un de mes cousin en Thaïlande, il me l’avait gentiment prêté, je me devais donc d’en prendre soin. Il s’avéra que ma valise a était un peu trop ballotée durant le voyage, et quelle avait un coin cassée, je pris donc en bon français d’aller me plaindre. Après avoir écouté ma critique acerbe sur le peu de soin porté à mon bagage, on m’apprend quelle n’est pas réparable, on me proposa un échange avec une valise neuve dans un magasin de Montréal.
Endeuillé, je lui expliquai que ce n’était pas ma valise. Elle me demanda le prix de la valise, à vrai dire je ne savais pas, elle n’était pas de marque, et puis thaïlandaise, je supposai donc qu’elle ne valait pas plus de 10€, je lui ai donc dis qu’elle valait 80€. Un peu dubitative, elle finit par me croire. Je sais c’est pas bien.
Il ne me restait plus qu’à atteindre mon logement, deux s’offrent à moi, le bus ou le taxi. Je pris la décision de prendre, 4ème erreur, j’avais surestimé mon sens de l’orientation. Après avoir récupéré un peu de monnaie locale, et avoir trouvé le bus je me mis à faire la file, longue file, deux bus plus tard je pus enfin entrer dans le bus, je demande un ticket au chauffeur, il me dis qu’il n’accepte que la monnaie et je n’avais que des billets, je devais donc retourner à l’intérieur de l’aéroport prendre un ticket et refaire la file. J’insistai donc pour ne pas la refaire en lui proposant de garder le billet, il refusa. Je fis donc demi tour et me confrontai à la machine à ticket, après avoir piannoté quelques instants je repérais un billet valable tout le week-end pour le bus et le métro à partir du vendredi 16h, après avoir jeté à ma montre affichant 17h, je pris le ticket et refis la file. Après une attente interminables, ce fût mon tour, confiant pour ma deuxième tentative je passai ma carte. La carte ne passa pas, j’ai donc demandé des explications au chauffeur, il s’avéra que j’avais oublié le décalage horaire, ma 5ème erreur, rebelote je repris un ticket, puis enfin je pris le bus. Arrivé au centre ville je dois descendre et prendre le métro.
Je récupèrai donc ma valise mais impossible de sortir du bus, un homme me bloquait le passage, il me regarda, je lui fis un geste de la tête, il me regarda avec un regard bovin, je pris la décision de forcer le passage. Ensuite pour la première fois de ma vie je devais prendre le métro, en tant que provinciale, j’avais sous-estimé l’ardeur de la tâche, après mettre perdu dans la station, et avoir pris le métro dans le mauvais sens je finis par trouver mon chemin. Arrivé à Saint-Laurent aka Saint Liban, mon lieu de résidence, je me perdis encore bien 5min en faisant le tour de la station de métro avant de croiser une vielle dame qui gentiment m’indiqua mon chemin.
PS: Voilà unjourpeutetre tu vois que j’avais abrégé hier.
Heureusement que c'est totalement impossible Citation
Unjourpeutetre a écrit:
C'est une critique constructive
Fausse Rifiyah ? Toi tu veux vraiment m'énerver
On t'a jamais appris qu'il ne faut pas énerver les femmes rif ??
PS Je suis sûre que je parle le rifain mieux que toi
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