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Qui souffre de dépendance affective? Carence affective ? #Solution?
E
14 avril 2015 08:37
Comment déceler et surmonter la carence affective.."trucs" utiles pour vivre mieux.

Lorsqu’on souffre de carence affective, on a le don de nous lancer dans des relations de couple souffrantes. On attends de la part de l’autre qu’il nous donne ce que l’on n’a pas reçu durant notre enfance. C’est à dire l’affection, la reconnaissance, l’attention, etc...

Lorsque vous souffrez de carence affective, vous avez de la difficulté à prendre des décisions. Vous êtes hyper-sensible aux jugements des autres ou aux critiques. Dès la moindre critique ou observation, Op ! ça y est, votre morale tombe à plat.

Lorsque vous vivez avec une carence affective, vous vivez tout le temps dans la crainte trop grande d’être rejeté au point d’essayer de plaire à tout le monde afin de vous protéger du rejet ou de l’abandon.

Le rejet est votre pire ennemie. Lorsque cela vous arrive vous ne pouvez plus fonctionner, c’est la catastrophe. C’est cette peur du rejet qui vous paralyse lorsque vous voulez demander des faveurs ou des services. C’est cette peur du rejet qui vous paralyse lorsque vous voulez dire non. C’est cette même peur du rejet qui vous empêche de vous ouvrir aux autres gens et de vous faire des amis.

Vous doutez souvent de vous et vous avez besoin qu’on vous rassure. Vous reprochez aux autres d’être méchant car considérant qu’ils ne prennent pas soin de vous. Très souvent vous faites des cadeaux, essayez de sauver des gens pour recevoir de l’amour et de la reconnaissance ou leur faire ensuite des reproches du genre "après tout ce que j’ai fait pour toi tu ne peux même faire ça pour moi !". Du coup, les autres prennent l’habitude de refuser toutes sortes de cadeaux et d’aides venant de vous car ils considèrent que ce ne sont en fait des cadeaux empoisonnés.

Vos émotions sont votre plus grande crainte car vous ne savez pas comment les gérer. C’est pourquoi vous n’êtes pas à l’aise avec les gens, vous n’avez pas confiance en eux car vous vous dites à tord qu’ils peuvent vous blesser à tout moment.

Néanmoins, vous "tombez" amoureux ou vous attachez à toute personne qui dit vous apprécier, vous aimer ou qui vous fait des compliments.

LA SOURCE DE TOUS VOS MAUX REMONTE À L’ENFANCE.
Si pour certains cette carence affective est due au fait d’avoir eu un père manquant ou une mère manquante, pour d’autres elle vient du fait d’être issu d’une famille où l’on a un mal fou à exprimer les émotions. Dans ces familles on réprime les émotions, il est impossible d’exprimer ses sentiments, de raconter ses peines, ses joies, personne pour réconforter...
D’où grand sentiment de solitude et le sentiment d’être seul au monde à ressentir ce que l’on ressens.

Pour la plupart, ils ont des parents qui certes les aiment mais ne l’expriment pas ou ne savent pas l’exprimer.

Les personnes issues de ce genre de famille ne se sont jamais senti aimé durant leur enfance, n’ont pas de souvenir qu’un jour leurs parents leur ai dit spontanément « je t’aime ».

Lorsque vous êtes issu de ce genre de famille vous grandissez avec le "personne ne m’aime".

Un ami qui ne vous téléphone que rarement, un collègue de
travail qui ne vous dit pas bonjour, un inconnu qui vous
critique... Autant de situations auxquelles vous donnez une même explication :
« Personne ne m’aime »

Lorsque vous évoluez avec le "Personne ne m’aime" vous avez l’impression que les gens cherchent à vous humilier ou à vous enfoncer, l’impression que les gens vous jugent tout le temps et même l’impression de ne pas appartenir à la race humaine.

Mais attention, les enfants ayant reçu un excès d’amour de la part de leurs parents peuvent aussi présenter des signes d’une carence affective ! Adulte, ils réclameront auprès des autres ce qu’il a reçu, s’imaginant que tout le monde le lui doit.

La carence affective est très lourde à porter surtout dans les relations amoureuses et amicales. On fiche tout en l’air parce qu’on en demande toujours tellement trop. Ce n’est jamais assez, on veut toujours être l’ami préféré, le conjoint préféré, le voisin préféré, le collègue préféré. Et quand on se rend compte qu’on fait fuir les gens à force de toujours se plaindre, de tenir des discours négatifs, on devient non plus la personne préférée mais la pestiférée, celle avec qui personne ne déjeune, même si elle est gentille, celle que l’on appelle le moins possible, celle qu’on évite parce qu’on en a marre de donner
toujours des preuves d’amour...
Et, bien entendu, cette réaction des gens est prise comme la preuve que « personne ne l’aime » !

Les carencés affectifs sont généralement, pour ne pas dire toujours, des dépendants affectifs.On peut voir cette dépendance affective comme une façon de vouloir combler la carence affective à travers une personne. Mais ce n’est pas la solution. Bien au contraire !

Cela ne veut-il pas dire qu’il vaut mieux ne pas avoir d’enfant ??Tant que ce problème n’est pas réglé, oui. En effet, soit vous ne saurez pas montrer votre amour à vos enfants, soit votre débordante envie d’être aimé, étouffera vos enfants. Le résultat étant apparemment le même selon les 2 types d’éducation.

ALORS COMMENT FAIRE POUR S’EN SORTIR ?
On ne peut pas revenir en arrière pour combler un manque
affectif et corriger du même coup tous les troubles de la
carence affective. Mais il existe des "trucs" qui vous aideront à vivre mieux.

Les Voici :

1. Passez à l’action.
Aller mieux dans n’importe quel domaine passe par l’action. Si vous attendez que les choses s’améliorent d’elle-même, vous risqueriez d’attendre jusqu’à l’extinction du soleil.
Arrêtez de vous plaindre, arrêtez de jouer à la victime,
arrêtez de faire l’autruche sur le problème.

2. Lisez des livres traitant de la carence affective.
Cela vous aidera à mieux comprendre vos émotions et apprendre à mieux les gérer.

3. Tenez un journal de bord.
Lorsqu’on a un objectif en tête, il est bon de tenir un journal de bord.
Dans ce journal de bord écrivez régulièrement vos acquis, progressions, ainsi que vos sentiments.

Chaque jours, prenez votre journal de bord et écrivez. Écrivez la date, l’heure, le lieu où vous vous trouvez (chambre, parc, cafeteria, salon, etc...).
Posez-vous ensuite la question :

Qu’est-ce que j’ai fait, aujourd’hui, qui me permette d’avancer dans la réalisation de mon objectif ?
Et écrivez vos réponses dans votre journal.
Lorsque quelque chose ne se passe pas comme
vous le souhaiteriez, écrivez-le aussi : vous devez être honnête avec vous-même.
Avec cette technique, non seulement il vous
arrivera beaucoup moins de douter de la réalisation de votre objectif mais sa réalisation concrète se fera beaucoup plus tôt que vous ne pouviez l’imaginer. Elle vous permettra aussi d’effacer de votre esprit la pensée selon laquelle vous n’arriverez jamais à atteindre votre but. Ainsi que la frustration qui va avec.

Cette technique de la journalisation vous permettra de vous sentir mieux et de mettre le focus sur votre objectif (qui est ici de mettre fin à tous les troubles liés à la carence affective)

4. « Personne ne m’aime » relève toujours d’une exagération.
Calmez-vous et notez sur feuille le nom de cinq de vos proches.
Écrivez ensuite la dernière attention que chacun vous a
manifesté. Cela peut-être une invitation, un compliment, un appel téléphonique, un courriel, une lettre ou les geste qui, sans être la marque d’un amour immense, sont tout de même des preuves que l’on vous estime.

5. Faites grandir votre enfant intérieur.
Vous en avez certainement marre d’entendre cette expression parce qu’elle est trop abstraite. Pour être plus claire, votre enfant intérieur c’est votre côté psychologique. On ne juge pas la maturité d’une
personne seulement par son physique. Il y a aussi le côté
psychologique. Malgré que vous ayez le physique d’un adulte vous êtes resté psychologiquement un enfant. Cette psychologie de l’enfant se manifeste à travers vos caprices, votre peur du rejet et de l’abandon, la jalousie, la médisance, la rancune, la recherche de l’approbation des autres, la peur de prendre des décisions, etc...
Vous devez donc passer de l’état adulte-enfant
à l’état adulte-adulte. Il est maintenant temps pour vous de voler de vos propres ailes. Vous êtes maintenant une grande fille ou un grand garçon.

En prenant le temps d’apprendre à
changer votre mode de pensée et à devenir un
meilleur penseur, vous investissez en vous-même.
(John C. Maxwell)



& pour finir n'oubliez pas Jihad Nafs : "lutter contre son âme afin quelle apprenne la droiture et la religion de la vérité sans la quelle il n'y a point de réussite, ni de bonheur dans la vie d'ici-bas ou dans l'au-delà"
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
c
14 avril 2015 08:55
Merci pour ton rappel

Sourate 51 verset 55
" Et rappelle; car le rappel profite aux croyants."

Puisse Dieu te récompenser Amine.
t
14 avril 2015 09:51
Salam aleykoum El perlo!

tout d'abord barakAllahu fik pour ce message très clair. Cela permet à chacun de mieux se connaître et d'évoluer pour être meilleur inchAllah

J'ai une question et je te prie de m'excuser par avance si elle te semble indiscrète : serais tu psy?

Je me permets de te la poser maintenant car j'ai déjà lu qq uns de tes post et c'est ce que je me demandais.

Bien sûr rien ne t'oblige à me répondre.

Qu'Allah azawajel te récompense grandement! Amine
t
14 avril 2015 10:05
En fait je viens d'avoir la réponse El perlo en parcourant le site...

j'espère que tu n'es pas sujet à une carence affective et si c le cas qu'Allah te facilite

Ce n'est pas parce qu l'on peut s'attacher à une personne rapidement que l'on souffre de carence affective. Qd je fais une rencontre, je sais en général très rapidement si la personne est susceptible de me plaire ou pas... peut être tellement rapidement que j'en expédie pas mal au final looool

Courage et qu'Allah swt te mette sir ton chemin ta perle
Amine!
E
15 avril 2015 11:45
Petit test : dependance affective.

[test.psychologies.com]
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
17 avril 2015 16:47
Heu
Citation
El_Perlo a écrit:
Comment déceler et surmonter la carence affective.."trucs" utiles pour vivre mieux.

Lorsqu’on souffre de carence affective, on a le don de nous lancer dans des relations de couple souffrantes. On attends de la part de l’autre qu’il nous donne ce que l’on n’a pas reçu durant notre enfance. C’est à dire l’affection, la reconnaissance, l’attention, etc...

Lorsque vous souffrez de carence affective, vous avez de la difficulté à prendre des décisions. Vous êtes hyper-sensible aux jugements des autres ou aux critiques. Dès la moindre critique ou observation, Op ! ça y est, votre morale tombe à plat.

Lorsque vous vivez avec une carence affective, vous vivez tout le temps dans la crainte trop grande d’être rejeté au point d’essayer de plaire à tout le monde afin de vous protéger du rejet ou de l’abandon.

Le rejet est votre pire ennemie. Lorsque cela vous arrive vous ne pouvez plus fonctionner, c’est la catastrophe. C’est cette peur du rejet qui vous paralyse lorsque vous voulez demander des faveurs ou des services. C’est cette peur du rejet qui vous paralyse lorsque vous voulez dire non. C’est cette même peur du rejet qui vous empêche de vous ouvrir aux autres gens et de vous faire des amis.

Vous doutez souvent de vous et vous avez besoin qu’on vous rassure. Vous reprochez aux autres d’être méchant car considérant qu’ils ne prennent pas soin de vous. Très souvent vous faites des cadeaux, essayez de sauver des gens pour recevoir de l’amour et de la reconnaissance ou leur faire ensuite des reproches du genre "après tout ce que j’ai fait pour toi tu ne peux même faire ça pour moi !". Du coup, les autres prennent l’habitude de refuser toutes sortes de cadeaux et d’aides venant de vous car ils considèrent que ce ne sont en fait des cadeaux empoisonnés.

Vos émotions sont votre plus grande crainte car vous ne savez pas comment les gérer. C’est pourquoi vous n’êtes pas à l’aise avec les gens, vous n’avez pas confiance en eux car vous vous dites à tord qu’ils peuvent vous blesser à tout moment.

Néanmoins, vous "tombez" amoureux ou vous attachez à toute personne qui dit vous apprécier, vous aimer ou qui vous fait des compliments.

LA SOURCE DE TOUS VOS MAUX REMONTE À L’ENFANCE.
Si pour certains cette carence affective est due au fait d’avoir eu un père manquant ou une mère manquante, pour d’autres elle vient du fait d’être issu d’une famille où l’on a un mal fou à exprimer les émotions. Dans ces familles on réprime les émotions, il est impossible d’exprimer ses sentiments, de raconter ses peines, ses joies, personne pour réconforter...
D’où grand sentiment de solitude et le sentiment d’être seul au monde à ressentir ce que l’on ressens.

Pour la plupart, ils ont des parents qui certes les aiment mais ne l’expriment pas ou ne savent pas l’exprimer.

Les personnes issues de ce genre de famille ne se sont jamais senti aimé durant leur enfance, n’ont pas de souvenir qu’un jour leurs parents leur ai dit spontanément « je t’aime ».

Lorsque vous êtes issu de ce genre de famille vous grandissez avec le "personne ne m’aime".

Un ami qui ne vous téléphone que rarement, un collègue de
travail qui ne vous dit pas bonjour, un inconnu qui vous
critique... Autant de situations auxquelles vous donnez une même explication :
« Personne ne m’aime »

Lorsque vous évoluez avec le "Personne ne m’aime" vous avez l’impression que les gens cherchent à vous humilier ou à vous enfoncer, l’impression que les gens vous jugent tout le temps et même l’impression de ne pas appartenir à la race humaine.

Mais attention, les enfants ayant reçu un excès d’amour de la part de leurs parents peuvent aussi présenter des signes d’une carence affective ! Adulte, ils réclameront auprès des autres ce qu’il a reçu, s’imaginant que tout le monde le lui doit.

La carence affective est très lourde à porter surtout dans les relations amoureuses et amicales. On fiche tout en l’air parce qu’on en demande toujours tellement trop. Ce n’est jamais assez, on veut toujours être l’ami préféré, le conjoint préféré, le voisin préféré, le collègue préféré. Et quand on se rend compte qu’on fait fuir les gens à force de toujours se plaindre, de tenir des discours négatifs, on devient non plus la personne préférée mais la pestiférée, celle avec qui personne ne déjeune, même si elle est gentille, celle que l’on appelle le moins possible, celle qu’on évite parce qu’on en a marre de donner
toujours des preuves d’amour...
Et, bien entendu, cette réaction des gens est prise comme la preuve que « personne ne l’aime » !

Les carencés affectifs sont généralement, pour ne pas dire toujours, des dépendants affectifs.On peut voir cette dépendance affective comme une façon de vouloir combler la carence affective à travers une personne. Mais ce n’est pas la solution. Bien au contraire !

Cela ne veut-il pas dire qu’il vaut mieux ne pas avoir d’enfant ??Tant que ce problème n’est pas réglé, oui. En effet, soit vous ne saurez pas montrer votre amour à vos enfants, soit votre débordante envie d’être aimé, étouffera vos enfants. Le résultat étant apparemment le même selon les 2 types d’éducation.

ALORS COMMENT FAIRE POUR S’EN SORTIR ?
On ne peut pas revenir en arrière pour combler un manque
affectif et corriger du même coup tous les troubles de la
carence affective. Mais il existe des "trucs" qui vous aideront à vivre mieux.

Les Voici :

1. Passez à l’action.
Aller mieux dans n’importe quel domaine passe par l’action. Si vous attendez que les choses s’améliorent d’elle-même, vous risqueriez d’attendre jusqu’à l’extinction du soleil.
Arrêtez de vous plaindre, arrêtez de jouer à la victime,
arrêtez de faire l’autruche sur le problème.

2. Lisez des livres traitant de la carence affective.
Cela vous aidera à mieux comprendre vos émotions et apprendre à mieux les gérer.

3. Tenez un journal de bord.
Lorsqu’on a un objectif en tête, il est bon de tenir un journal de bord.
Dans ce journal de bord écrivez régulièrement vos acquis, progressions, ainsi que vos sentiments.

Chaque jours, prenez votre journal de bord et écrivez. Écrivez la date, l’heure, le lieu où vous vous trouvez (chambre, parc, cafeteria, salon, etc...).
Posez-vous ensuite la question :

Qu’est-ce que j’ai fait, aujourd’hui, qui me permette d’avancer dans la réalisation de mon objectif ?
Et écrivez vos réponses dans votre journal.
Lorsque quelque chose ne se passe pas comme
vous le souhaiteriez, écrivez-le aussi : vous devez être honnête avec vous-même.
Avec cette technique, non seulement il vous
arrivera beaucoup moins de douter de la réalisation de votre objectif mais sa réalisation concrète se fera beaucoup plus tôt que vous ne pouviez l’imaginer. Elle vous permettra aussi d’effacer de votre esprit la pensée selon laquelle vous n’arriverez jamais à atteindre votre but. Ainsi que la frustration qui va avec.

Cette technique de la journalisation vous permettra de vous sentir mieux et de mettre le focus sur votre objectif (qui est ici de mettre fin à tous les troubles liés à la carence affective)

4. « Personne ne m’aime » relève toujours d’une exagération.
Calmez-vous et notez sur feuille le nom de cinq de vos proches.
Écrivez ensuite la dernière attention que chacun vous a
manifesté. Cela peut-être une invitation, un compliment, un appel téléphonique, un courriel, une lettre ou les geste qui, sans être la marque d’un amour immense, sont tout de même des preuves que l’on vous estime.

5. Faites grandir votre enfant intérieur.
Vous en avez certainement marre d’entendre cette expression parce qu’elle est trop abstraite. Pour être plus claire, votre enfant intérieur c’est votre côté psychologique. On ne juge pas la maturité d’une
personne seulement par son physique. Il y a aussi le côté
psychologique. Malgré que vous ayez le physique d’un adulte vous êtes resté psychologiquement un enfant. Cette psychologie de l’enfant se manifeste à travers vos caprices, votre peur du rejet et de l’abandon, la jalousie, la médisance, la rancune, la recherche de l’approbation des autres, la peur de prendre des décisions, etc...
Vous devez donc passer de l’état adulte-enfant
à l’état adulte-adulte. Il est maintenant temps pour vous de voler de vos propres ailes. Vous êtes maintenant une grande fille ou un grand garçon.

En prenant le temps d’apprendre à
changer votre mode de pensée et à devenir un
meilleur penseur, vous investissez en vous-même.
(John C. Maxwell)




& pour finir n'oubliez pas Jihad Nafs : "lutter contre son âme afin quelle apprenne la droiture et la religion de la vérité sans la quelle il n'y a point de réussite, ni de bonheur dans la vie d'ici-bas ou dans l'au-delà"


Salemo3alikom

Je te remercie pour cette analyse et ces rappels : ils vont bien m'aider à y voir plus clair smiling smiley
E
17 avril 2015 16:59
Citation
*Rania13* a écrit:
Heu


Salemo3alikom

Je te remercie pour cette analyse et ces rappels : ils vont bien m'aider à y voir plus clair smiling smiley

Wa âalykoum Salam

C'est le but du jeu; Qu'Allah t'aide et te guide.

Si tu veut vraiment avancer plus ,entame une thérapie et achete toi des livre sur la dependance affective et investie toi au maximum. smiling smiley
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
E
17 avril 2015 17:02
Suite :

Manque ou carence?

catherine podguszer



"La capacité de capter l’affect d’un autre précède l’acquisition du langage, et l’enfant ne peut que réagir au vécu affectif de sa mère, tandis que la capacité de la mère de capter les émois de son enfant et d’y répondre dépend de son désir de donner un sens à ses cris et à ses gestes."
Joyce MacDougall, Plaidoyer pour une certaine anormalité


Le petit humain naît immature. Il a un besoin d’être porté, soutenu, bien au-delà de sa vie intra-utérine. Il est insuffisant pour un bébé d'être bien nourri et propre, il a un besoin vital de présence maternelle, accueillant avec stabilité et réceptivité, autant ses cris et ses pleurs que ses moments d’apaisement.

Il y a un état de carence lorsque l’adaptation de la mère aux besoins pulsionnels et vitaux n’est pas "suffisamment bonne" (D.H. Winnicott). Cette défaillance de la mère ou de ses substituts, est vécue par le tout-petit comme un empiètement, un envahissement, qui va à l’encontre de son évolution et de son autonomie future.

Dans ces temps précoces où la mère et le nourrisson font corps, l’adaptation maternelle est la situation de réception des pulsions de son bébé, c'est à dire de son agressivité première naturelle. La mère, nous dit Winnicott, doit être "vivante et disponible". A la fois comme celle qui a survécu aux attaques de destruction et comme "mère-environnement" bien présente pour recevoir les gestes spontanés de son bébé et en être heureuse. Le nourrisson offre autant à sa mère le "bon" tout comme le "mauvais". Sans ce premier "don", précise Winnicott, un enfant ne saura en contrepartie ce qu’est vraiment recevoir et restera emprisonné par l’incorporation de cette carence archaïque sans pouvoir en exprimer, reconnaitre, le ressentiment et ce, jusqu'à l'âge adulte.

Dans un milieu familial déficient, cet enfant sera pris pour un objet utilitaire ou de remplacement, voire pour un "prolongement narcissique" de la mère, et non comme une personne singulière à part entière... Il subira alors une carence affective. Celle-ci peut se manifester par un sentiment d’abandon qui est pour lui équivalant à la mort. S’il survit à cet isolement, il en résultera d’importantes répercussions lors son développement ultérieur (mélancolie, dépression…). Il aura alors recourt à un mécanisme de défense en s'éloignant de ses ressentis qui demeureront enfouis et comme ne faisant pas parti de lui. Il deviendra un étranger à lui-même.

Un parent qui abuse de son enfant par un excès d’autorité ou en répondant à sa demande légitime de tendresse par une excitation sexuelle, mise en acte ou non, fera alors de cet enfant l’objet de sa jouissance. L’enfant sera amené à devenir un automate soumis et prisonnier de ses ressentis qui pourront se retourner contre lui dans une haine de soi.

Il y a prolongement narcissique lorsque les parents font des projets pour ce futur enfant -quelquefois même avant sa conception- construits sur leurs propres souhaits non réalisés, conscients ou non, ou irréalisables pour eux-mêmes. Comme si cet enfant avait été conçu dans le seul objectif de porter la lourde tâche, bien paradoxale, d’incarner leurs échecs tout en étant supposé les "réparer".

Un bébé devient un objet de remplacement dans le cas d’un deuil non réalisé par son entourage, avant ou après sa naissance, ou parfois des deuils subis par les générations précédentes. Dans des situations d’avortements, spontanés ou non, d’enfants morts-nés, de la mort d’un parent entourant le moment de sa naissance… conduiront cet enfant à vivre une dépression qui ne sera pas vraiment la sienne sans pourvoir réellement le reconnaître et encore moins l’accepter et par conséquent à s’en défaire. Une carence n'est identique au manque, nécessaire à l'élan ou au désir. Elle est métaphoriquement un accro dans le tissu relationnel.

Sylvie M., la quarantaine: Elle aimerait bien "trouver le goût de vivre. La croyance en sa "lucidité" la conduit invariablement à des jugements impitoyables sur elle-même et sur les autres. Elle se demande en permanence ce qui peut bien "animer les gens" autour d’elle…

Un enfant ayant subit des carences affectives peut, en arrivant à l’âge adulte, en garder des traces imprécises qui se manifestent le plus souvent par des tendances suicidaires. Pour survivre, son seul recours sera de tenter "d’oublier", de nier, de se défendre dans le meilleur des cas, ou de sombrer dans la psychose pour certains. Les effets de cet isolement affectif précoce se traduira pour d'autres par une appréhension déshumanisée, cynique et désabusée de lui-même des autres et du monde.





catherine podguszer
octobre 2007
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
n
17 avril 2015 21:50
Le.moral qui tombe à plat.:véridique quand on attend klk chose de l autre

"Vous reprochez aux autres d’être méchant car considérant qu’ils ne prennent pas soin de vous. Très souvent vous faites des cadeaux, " véridique puissance 20mais pas pour recevoir en retour un cadeau où de l attention voir même ce b est pas un cadeau empoisonné .

C qu on vi à travers les gens qu on aime . On aime fairr plaisir et aussi pck jaime faire aux autres ce que j aimerai aussi qu on me fasse comme surprise .

Jamais il ne s agit de cadeau empoioné y à notre éthique religieuse qui rentre en ligne de compte comme intention phare .

Et étrangement je n ai pas recy de manque dans ma famille . J étais et je suis une princesse . Pr mes parents Tjr un geste tendre et eux aussi .
n
17 avril 2015 22:02
La carence affective est très lourde à porter surtout dans les relations amoureuses et amicales. On fiche tout en l’air parce qu’on en demande toujours tellement trop. Ce n’est jamais assez, on veut toujours être l’ami préféré, le conjoint préféré

"on parle de moi ??" javais pas lu le reste!
Jai recu et je recois bkou d amour dans ma famille et je repproche bkou à mon "prétendant " et en souffre de l intérieur ça me fait douter sur tout!

Son amour . Son attirance envers moi. Ce qu il serait pret à faire pr nous . Pas assez de folie pas assez de preuves pas assez de msg surprise . L esprit du "tout est acquit "si il ne m écrit pas alors qu ul sait que je reprend à une certaine heure me travail et que j ai besoin de soutien et qu il n écrit pas. Je ai la gorge nouée . Pck Jai besoin de ça.

C horrible .pck jr sais aussi que je me plierai eb 4 par amour aussi que lr moi un sacrifice je le fais Avc amour spontanement .
Mais souvent mon coeur palpite tant je me fais du mal sans que personne ne soupconne quoi que se soit.

Jarrive lage adulte.. Ça vq être le challeng de la meilleur epouse . Meilleur cuisinière . Meilleure maitresse. Meilleure confidence.... Meilleure fille tjr dispo. Meilleure soeur Tjr opérationnel dans le besoin .

Mais je ne reclame pas de trophée . Le pire k il s agit d un besoin . Sinon on se sent inutile . .
Croyez moi la personne qui vous ecris a pourtant tt pr être heureuse . Mais Tjr ce besoin d'avoir mieux de faire mieux
n
17 avril 2015 22:12
Par contre Nn je tombe pas dans le paneau rapidement si on vient à être mieux avec moi où autre . Tjr un radar en veille

Et je ne suis pas etouffante de maniere générale par contre jeme fais du mal vu que je garde en moi . Notamment les paroles qui passent pr certains inaperçues. Moi me perforrent. Le mot est fort mais ceux que j estime leur oignons comptent bkou . Merci e perlo . T es un BON :-)
E
27 avril 2015 01:54
Contrairement à ce qu'on croit souvent, la dépendance affective n'est pas l'équivalent psychique des assuétudes comme l'alcoolisme, les toxicomanies ou le jeu compulsif. Les causes et les solutions sont tout à fait différentes.

Cette série d'articles permet de comprendre pourquoi cette douloureuse recherche conduit si souvent dans des impasses et comment on peut parvenir à des solutions plus harmonieuses où l'angoisse et le renoncement sont remplacés par la satisfaction et l'épanouissement.

Dépendance affective
Dépendance affective et besoins humains (article)
Se renier par la "dépendance affective" (article)
Apprendre à m'aimer (sortir de la dépendance affective) (article)


Notions connexes
L'anxiété et l'angoisse, les Vigiles de l'équilibre mental (article)
La vie d'une émotion (article)

Outils pertinents
Vaincre la dépendance affective (atelier)
Prendre MA place (atelier)

Apprendre à s'assumer
Fidèle à moi-même (article)
L'amour contact (article)

Le transfert, au coeur des solutions
Le transfert dans les relations (article)
Aux sources du transfert (article)
Conquérir la liberté d'être soi-même (article)
Transfert et droit de vivre (article)

Outil pertinent
Résoudre mes transferts (session)

[www.redpsy.com]
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
E
9 mai 2015 01:44

A. Introduction

Le terme "dépendance affective" a été popularisé à partir du livre "Ces femmes qui aiment trop" de Robin Norwood. L'auteure est psychothérapeute auprès de personnes alcooliques et toxicomanes; elle compare ce qu'elle appelle "aimer trop" à "la consommation abusive" d'alcool ou psychothropes.

À la lecture de cet ouvrage, plusieurs concluent que la dépendance est pathologique et qu'il faut s'en débarrasser. Les personnes qui se considèrent atteintes de ce mal cherchent typiquement à s'en sortir en se raisonnant et en tentant d'éviter les personnes qui les attirent naturellement.

J'entends souvent des témoignages comme les suivants:

"Après un an de séparation, je souffre encore beaucoup. Je pense à elle chaque jour. Est- ce de la dépendance affective?"

"Je tombe facilement amoureux et dépends beaucoup des femmes. Est-ce ça qu'on appelle être dépendant affectif?"

"J'ai besoin de contacts sexuels avec les femmes. C'est une question d'équilibre. Est-ce de la dépendance affective?"

"Je ferai tout pour ne pas déplaire à la femme que j'aime et tout pour lui plaire. Je m'oublie. Ce n'est pas grave. Il me semble que ce serait plus grave de la perdre."
Comme vous le constaterez à la lecture de cet article, je n'ai pas la même vision de cette problématique et de ses solutions. Vous comprendrez pourquoi je déplore l'existence de ce diagnostic de "dépendance affective" en tant qu'étiquette de comportement maladif.

Vous verrez également pourquoi je parle plutôt de la "dépendance au plan affectif". Je situerai cette problématique du point de vue de la croissance psychique afin d'aider à déceler les véritables enjeux qu'elle recèle. C'est dans un autre article que je présenterai les solutions et les directions sur lesquelles débouche cette façon de voir.

B. Suis-je dépendant affectif?


Tout ce qu'on dit de la "dépendance affective" dans les médias provoque beaucoup d'inquiétude. Un grand nombre de personnes se demandent si elles souffrent de "cette grave maladie". Comme elles reconnaissent dans sa description des dimensions importantes de ce qu'elles vivent, elles croient avoir trouvé l'explication à leurs insatisfactions en s'attribuant cette étiquette.

Mais cette insécurité a un autre effet, encore plus grave: elle amène ces personnes à remettre en question leurs besoins affectifs. Tout ce qui concerne leur attachement, leur soif de relation, leur besoin d'aimer et d'être aimées leur apparaît comme pathologique. Ces gens se demandent même s'ils sont normaux d'avoir des réactions émotives fortes.

Cette remise en question vient en partie du fait que l'auteur de "Ces femmes qui aiment trop" assimile la forte attirance du "dépendant affectif" à une assuétude pathologique comme la dépendance à l'alcool ou à la drogue de l'alcoolique et du toxicomane. Ce rapprochement est, à mon avis, dangereux et largement injustifié.

En réalité, l'alcoolique et le toxicomane ont recours aux stupéfiants et aux euphorisants pour éviter le contact avec leurs besoins affectifs et leurs émotions. Ces besoins sont typiquement négligés au point de prendre une grande intensité. En consommant des substances toxiques, ces personnes se distraient de leurs besoins affectifs et de la souffrance occasionnée par leur manque. On pourrait comparer ce qu'ils font à l'assoiffé du désert qui s'injecterait de l'héroïne pour ne plus souffrir de la soif. Il mourrait déshydraté, mais peut-être sans éprouver clairement sa souffrance!

Il est certain que les stupéfiants et les stimulants ne combleront jamais les besoins affectifs. Même les alcooliques et les toxicomanes ne sont pas dupes de cela. Mais ils ont souvent peur et se sentent démunis devant l'ampleur de leurs besoins. Malheureusement, l'accent qu'on met sur la dépendance physique dans le cas de ces assuétudes contribue à dévier l'attention des véritables raisons qui ont mené à la consommation abusive.

En plus, lorsqu'on considère ces assuétudes comme des maladies, on voile en grande partie la responsabilité de la personne dans son choix d'évitement. On concentre alors le travail thérapeutique sur l'arrêt du comportement pathologique plutôt que sur l'apprivoisement des besoins affectifs et l'apprentissage à les combler. En agissant ainsi, on s'empêche de régler le problème de fond.

En laissant croire que la "dépendance affective" équivaut à une assuétude, on empêche de trouver des solutions saines aux insatisfactions affectives et aux façons de réagir qui la composent. On laisse croire qu'il s'agit d'une maladie plutôt que d'une tentative maladroite de trouver satisfaction. On prive ainsi la personne de tout moyen réel d'y remédier par elle-même. On laisse entendre qu'il s'agit d'une forme d'assuétude qui ne peut être résolue que par un contrôle de la volonté et un évitement systématique des tentations. Ceci interdit à toutes fins pratiques au "dépendant affectif" de répondre à ses besoins émotifs fondamentaux.

C. La dépendance au plan affectif


Les êtres vivants ont besoin d'air et d'eau pour survivre. Ils sont dépendants de ces éléments et de leur environnement où ils les trouvent. Ils peuvent même devenir "obsédés" par ces éléments dans certaines circonstances.

Imaginons la situation suivante. En expédition dans le désert, nous arrivons au bout de nos réserves d'eau. Si nous n'avons pas de moyen de nous ravitailler à proximité, il est certain que nous deviendrons obnubilés par l'eau. Plus le manque se fera sentir, plus notre vie, nos pensées et tous nos efforts seront orientés vers un seul but: trouver une oasis.

Peut-on qualifier notre groupe de "dépendants physiques"? Nous n'y penserons certainement pas, car il nous semble normal d'avoir besoin d'eau et de nous mobiliser pour en trouver. Il est sain, si on en manque dramatiquement, que sa recherche devienne la priorité de notre vie. Ce que nous trouverions anormal, ce serait de danser pour faire tomber la pluie, de tourner en rond en espérant trouver de l'eau, ou d'implorer l'eau d'apparaître... On considérerait certainement comme pathologique le comportement d'un membre du groupe qui demeurait passif en souhaitant ardemment que l'eau se rende à sa bouche. S'il persistait dans cette méthode jusqu'à risquer sa vie, on le croirait auto-destructeur.


1. L'importance des besoins affectif

Les êtres vivants n'ont pas que des besoins physiques, ils ont également des besoins affectifs. Ceux-ci ne sont pas aussi palpables et sont encore mal connus. Mais on en sait assez, à l'heure actuelle, pour conclure à l'importance d'y répondre. On sait par exemple, qu'un bébé tombe dans un état de torpeur ("marasme"winking smiley s'il n'est pas soigné, avec une attitude au moins bienveillante. Il peut même en mourir. On sait aussi pourquoi un enfant risque de développer des problèmes psychiques graves s'il reçoit, du parent qui en prend soin et sur une période prolongée, un message fondamental de haïne camouflé dans un discours positif.

L'enfant a besoin, pour se développer harmonieusement, d'être traité comme une personne à part entière et d'avoir l'opportunité de répondre à ses besoins. C'est même indispensable à sa santé mentale. Mais c'est vrai aussi chez les adultes.

Nous continuons d'avoir des besoins affectifs tout au long de notre vie. Nous devons les satisfaire pour conserver notre équilibre affectif et notre santé mentale. C'est même important pour notre santé physique! De plus en plus, on découvre l'effet néfaste des manques affectifs sur la santé physique.

Ainsi, l'adulte de 30 ans a encore besoin d'affection et il en aura toujours besoin. À 50 ans une personne a encore besoin d'être appréciée et reconnue. Quel que soit son âge, celui qui vit une existence peu nourrissante, tend à déprimer. Qui n'a pas connu quelqu'un qui a sombré dans la dépression ou même est mort par manque affectif?

Je pense à cet homme qui demeure replié dans sa solitude par peur du contact dont il a besoin. Je le vois perdre sa vitalité et se maintenir en vie grâce à des occupations répétitives et terre à terre. Je pense aussi à cette jeune femme abandonnée par son amant. Je la revois, piaffant indéfiniment dans la peine et la rage, en négligeant ses besoins affectifs laissés en plan au départ de son amant. En persévérant dans cette attitude, elle peut se rendre à la dépression et même jusqu'au suicide. Je me rappelle aussi ce cadre d'entreprise usé, brisé, et devenu défaitiste à force de voir ses efforts et réussites banalisés. Je vois le vieillard qui se laisse dépérir parce qu'il n'a plus la possibilité de contribuer à quelque chose qui soit valable à ses yeux.

Tous ces gens ont besoin d'affection, d'être importants pour quelqu'un qu'ils aiment ou encore d'être reconnus par quelqu'un qu'ils estiment. L'absence de satisfaction entraîne toutes sortes de symptômes et de troubles psychiques et physiques, tout comme les carences au plan physique le font.


2. Les variations dans les besoins

Lorsqu'ils sont comblés, les besoins sont la plupart du temps invisibles. Je ne sens pas la faim, mon besoin de manger disparaît quand je viens de prendre un bon repas. Je suis également peu consciente de mon besoin d'être aimée si je vis avec des personnes dont l'affection me comble. J'apprécie alors tout simplement mon état de satisfaction et j'en profite sans même y penser. Tout comme au plan physique, le besoin ne fait surface que lorsqu'il est en souffrance, lorsqu'il ne trouve pas de réponse adéquate.

L'urgence et l'intensité du besoin varient aussi d'un moment à l'autre ou d'une période à l'autre de notre vie. Ils varient même selon les personnes avec qui nous sommes en contact. Comme au plan physique, c'est le degré de satisfaction actuel qui détermine combien chaque besoin est crucial, intense ou urgent. L'individu dont le système manque sérieusement de fer se met, par exemple, à rêver de persil; il se jette sur la première botte de persil qui lui tombe sous la main. De la même façon, l'individu qui souffre d'un manque affectif a tendance à être obnubilé par ce besoin.

J'ai déjà expliqué, dans d'autres articles, pourquoi les besoins importants inassouvis donnaient souvent lieu à une préoccupation obsédante et à des comportements répétitifs menant inexorablement à l'impasse. Voyez plus particulièrement:
Les noeuds dans les relations
Aux sources du transfert
Conquérir la liberté d'être soi-même
Transfert et droit de vivre

D. Le vrai problème de la "dépendance affective"


On parle habituellement de "dépendance affective" lorsqu'une personne dont les besoins affectifs sont urgents et intenses répète constamment un scénario non satisfaisant qui la conduit à une impasse. Mais ces caractéristiques ne sont pas réservées aux personnes qu'on étiquette "dépendantes affectives".

Toute personne arrive à l'âge adulte avec des déficits affectifs substantiels. Chacune cherche naturellement à répondre à ces carences. La recherche d'assouvissement prend souvent un caractère urgent à cause de l'intensité du manque qu'elle veut combler. Tout ça est relativement normal pour tout adulte; il faut plus pour qu'on puisse parler d'un problème de "dépendance affective".

C'est à la longue, si cette recherche demeure stérile, qu'elle devient destructrice. Parce qu'elle s'appuie sur des moyens inadéquats, elle est alors vouée à l'échec, tout comme le serait celle d'un assoiffé qui ferait des incantations pour obtenir de l'eau dans le désert. Ce n'est pas le fait d'avoir besoin d'eau qui est le problème. De même, ce n'est pas le fait d'avoir besoin de l'autre qui est pathologique chez la personne dite "dépendante affective". Ce n'est pas le fait d'avoir besoin d'affection, d'être reconnu comme ayant une valeur ou comme étant aimable par une autre personne qui crée l'impasse.

Ce n'est pas d'avantage le fait de choisir des personnes peu adéquates pour combler ses besoins qui est le vrai problème. La dépendance est inhérente à la vie; les besoins qui en font partie sont normaux et les personnes élues pour les combler sont choisies d'instinct. Cet instinct est fiable car il la mène justement vers des personnes qui permettent de compléter des situations incomplètes (de régler ses transferts).

Mais si ce n'est ni le besoin, ni le choix des personnes pour y répondre qui sont problématiques, où donc est le problème? Les impasses destructrices de la "dépendance affective" sont bien connues; il doit bien y avoir quelque chose qui ne va pas!

Ce qui est au coeur du problème, ce qui en fait un comportement pathologique, c'est le fait de ne pas porter son besoin. C'est cet évitement fondamental qui donne lieu à toutes sortes de comportements disfonctionnels et même aberrants.

Ceci n'est pas toujours bien clair. La personne consciente de son besoin d'être aimée et qui se "désâme" pour obtenir l'affection peut nous apparaître comme "portant son besoin". Elle est toute au service de l'autre, elle se sacrifie souvent au nom de son amour, elle renie ce qu'elle ressent pour ne pas déranger l'autre. Plus: elle lui dit très clairement qu'elle veut qu'il l'aime et le met en situation de le lui prouver. Que pourrait-elle faire de plus pour prouver à l'autre combien il est important et pour obtenir son amour en retour?

Mais justement, il ne s'agit pas de faire plus, mais de faire autrement. Voyons ce qui me fait dire que cette personne en mal d'amour n'assume pas son besoin, même si elle semble y accorder une importance considérable.


1. Peu de contact avec ce qu'elle ressent

Cette personne est généralement "mal dans sa peau". Le plus souvent, elle ne ressent à peu près que l'angoisse ou l'anxiété. Et elle agit à partir de cette angoisse: demandes pressantes à l'autre, gestes généreux à son égard, contrôle pour obtenir ce qu'elle désire et calmer par là son angoisse.

Le plus souvent, elle cherche avant tout à se débarrasser de son angoisse. Il est rare qu'elle tente de trouver ce que cache cette angoisse (Voir "L'angoisse et l'anxiété" ). Si elle le faisait, elle découvrirait diverses préoccupations, divers sentiments. De la même façon, elle s'abandonne rarement à ressentir complètement ses émotions (Voir "La vie d'une émotion"winking smiley. Si elle le faisait, elle comprendrait mieux ce qui se passe en elle et serait davantage en mesure d'identifier ses besoins (et non seulement ce qu'elle veut de l'autre). Une fois ses besoins plus clairs, elle saurait aussi ce qu'elle doit exprimer (plutôt que de mettre toute son énergie à faire exprimer l'autre).

Cette personne évite ainsi le contact avec son expérience parce qu'elle "est mal" avec elle-même. Non seulement a-t-elle peur du contact avec elle, mais en même temps, elle ne s'accorde pas assez d'importance pour vouloir s'arrêter sur ce qu'elle ressent. Elle cherche donc avant tout à s'éviter. Mais plus elle s'évite de cette façon, plus elle devient inconfortable et angoissée.

En plus, elle est profondément convaincue que ce sont la considération de l'autre, son amour et son respect, qui apaiseront son angoisse et la rendront confortable. Paradoxalement, en attendant ainsi de recevoir de l'autre des marques de considération sans oser déclarer ouvertement qu'elle les recherche, elle perpétue sa faible estime d'elle-même. Elle manifeste peu de respect et de considération pour ce qu'elle vit en le reniant aussi facilement.

Dans ce contexte, on ne peut s'étonner qu'il soit presque impossible pour cette personne d'identifier ses besoins. On n'est pas surpris, non plus, qu'il lui soit très difficile de les exprimer directement.


2. Une expression camouflée

Tout comme elle refuse ce qu'elle ressent et le traite comme peu important, cette personne a les mêmes objections à l'égard de son ressenti. Elle ne se considère pas assez importante pour communiquer ce qu'elle vit vraiment. Elle ne parvient pas à faire, à celui dont elle veut l'amour, une expression claire et authentique comme:

"Je souhaite de tout mon être que tu m'aimes! J'ai l'impression que ton amour serait la preuve que j'ai de la valeur. Je t'assure que parfois j'ai l'impression de n'être pas plus importante qu'un verre de terre sur cette planète. Un seul regard de toi... un seul regard de toi où je lis un peu d'appréciation et je me sens pousser des ailes."
Elle choisit plutôt de tourner son attention sur lui et de gagner son amour en faisant ce qu'elle pense qu'il veut. Elle espère que ses efforts, son abnégation ou sa soumission lui amèneront l'affection, l'appréciation et la valorisation. Elle garde caché ce qu'elle vit réellement, y compris, bien sûr, ses réactions "négatives".

Si on sait comment se développe l'estime de soi (Voir "Fidèle à moi-même"winking smiley on comprend qu'il n'y a aucune chance que cette stratégie donne les résultats visés. Non seulement en s'aliénant ainsi elle n'obtiendra jamais l'estime et l'affection de l'autre, mais encore elle n'en aura pas pour elle-même.

Ça semble paradoxal, mais ce n'est pas moins vrai pour autant: la personne qui agit de cette façon ne se compromet pas émotivement. Exposer ses besoins et ce qu'elle ressent l'apeure trop. Elle est parfois même terrorisée à l'idée du refus, du jugement ou du rejet de la part de l'être important. Le refus implicite qu'elle subit continuellement lui apparaît plus vivable que le refus clair et explicite. Il lui permet de garder l'espoir et de persister dans son effort.

Ce refus d'implication émotif entretien le cercle vicieux et explique la détérioration de la condition de la personne ainsi que de sa relation avec l'autre. Chaque fois qu'elle se défile devant le risque de se porter et de s'assumer, son estime d'elle-même diminue. Mais comme elle n'est à peu près pas satisfaite malgré une grande dépense d'énergie, elle est de plus en plus en état de carence.

De son côté, l'autre finit par ne plus pouvoir supporter son harcèlement, cette demande indirecte qu'elle répète par insécurité plus que par amour. Pour lui également, cette relation sans contact émotif réel ne peut être nourrissante.

E. Conclusion


Ce qu'on appelle la "dépendance affective" est donc une forme déficiente de recherche du droit de vivre (Voir "Transfert et droit de vivre" ) . La personne reporte sur ceux qui font partie de sa vie actuelle le pouvoir de confirmer sa valeur comme personne. Comme tout individu inconscient de son transfert ou incapable de le résoudre, elle répète compulsivement des tentatives qui la mènent dans des impasses.

Pour plusieurs raisons, les besoins de cette personne sont aigus. Ce n'est pas pathologique d'avoir des besoins énormes et aigus. Ce n'est pas non plus parce que ces besoins sont criants et présents depuis longtemps (depuis l'enfance) qu'il est impossible d'y répondre. Je travaille tous les jours avec des clients qui trouvent le moyen de répondre pour la première fois à ce genre de besoins. Ils apprennent en même temps à se nourrir réellement dans leurs relations interpersonnelles.

Dans un autre article, j'explique plus précisément ce qu'on peut faire pour sortir de l'impasse de la "dépendance affective". Avant d'y accéder, je vous propose une réflexion qui permettra de cheminer sur cette question.

F. Comment vous servir de ce texte


Comme tout le monde, vous avez besoin d'être aimé et reconnu comme valable. Je vous propose de réfléchir aux questions ci-dessous. Que vous pensiez être "dépendant affectif" ou non importe peu: les réponses à ces questions sont au coeur de la qualité de votre vie.

Quels sont les moyens que vous prenez pour répondre à votre besoin d'être aimé?
De quelle façon faites-vous voir ce besoin aux autres?
Quels sont les résultats que vous obtenez habituellement?


Oh
+++++++++++
moody smiley

Qui connais le syndrome de tarzan.. ???????


Syndrome de Tarzan :
[www.signesetsens.com]
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
9 mai 2015 12:10
Salam el psyperlo : )

Aucun doute, vous vivez votre amour à l’extrême

vos sentiments dépassent en intensité tout ce que vous aviez connu avant. Aussi, les moments de bonheur avoisinent la pure extase, vous les considérez comme la meilleure chose qui puisse vous arriver. Mais, à l’évidence, vous êtes tourmenté(e) à l’idée de le (la) perdre. Vous êtes souvent inquiet (inquiète) quand il (elle) est absent(e), ou quand il (elle) vous fait attendre à un rendez-vous, vous avez même un peu tendance à le (la) harceler de messages, de questions et autres demandes qui expriment votre attente et le besoin irrépressible de sa présence. L’amour vous fait vivre plus forts et plus vrais les moments de bonheur et les expériences désagréables. Il vous arrive de faire un drame pour de petits détails, vous lui demandez souvent de vous donner des preuves d’amour, paroles, messages, attentions. Vous ne faites pas un pas sans penser à elle (lui), vous lui apportez souvent de petits cadeaux et vous vous ruinez pour lui en offrir de somptueux même si cela met vos finances en péril ; rien n’est trop beau pour votre partenaire. Vous le (la) surveillez quand même du coin de l’œil, même si vous affirmez que vous lui faites confiance, car vous redoutez par-dessus tout qu’il (elle) soit attiré(e) par d’autres, et que sa fi délité soit menacée. Vous ne cachez pas votre jalousie, à quoi bon d’ailleurs puisqu’elle est si évidente ? Vous ne rêvez pas d’un amour fusionnel, vous faites tout ce qu’il faut pour le vivre. Au fond, vous manquez de confiance en vous et vous croyez que l’être aimé est en mesure de pallier ce manque ; c’est pourquoi, votre attachement n’est autre qu’une forme de dépendance. L’inconvénient de votre posture, ce sont évidemment ses excès, mais vivre aussi intensément ses sentiments est aussi le privilège des êtres passionnés qui vont jusqu’au bout de leur amour.



Je suis tropdeg je suis dependante affective!!!!!!!
J en ai maaaaaarre de l amouuur..je me sens emprisonnée Allah isterrrrrr
Tout le monde veut un ami, mais personne ne s'occupe d'en être un.
9 mai 2015 12:18
Par contre j ai jamais eu le comportement du paragraphe ci dessous lol..je nimpose rien jattend c est tout grinning smiley

" Vous reprochez aux autres d’être méchant car considérant qu’ils ne prennent pas soin de vous. Très souvent vous faites des cadeaux, essayez de sauver des gens pour recevoir de l’amour et de la reconnaissance ou leur faire ensuite des reproches du genre "après tout ce que j’ai fait pour toi tu ne peux même faire ça pour moi !". Du coup, les autres prennent l’habitude de refuser toutes sortes de cadeaux et d’aides venant de vous car ils considèrent que ce ne sont en fait des cadeaux empoisonnés. "
Tout le monde veut un ami, mais personne ne s'occupe d'en être un.
j
9 mai 2015 12:27
Est-ce qu'on peut être dépendant affectif et refuser de se lancer dans une relation, quelle qu'elle soit justement par peur des pots cassés ?
E
9 mai 2015 15:37
Citation
jeveuxuncoach a écrit:
Salam el psyperlo : )

Aucun doute, vous vivez votre amour à l’extrême

vos sentiments dépassent en intensité tout ce que vous aviez connu avant. Aussi, les moments de bonheur avoisinent la pure extase, vous les considérez comme la meilleure chose qui puisse vous arriver. Mais, à l’évidence, vous êtes tourmenté(e) à l’idée de le (la) perdre. Vous êtes souvent inquiet (inquiète) quand il (elle) est absent(e), ou quand il (elle) vous fait attendre à un rendez-vous, vous avez même un peu tendance à le (la) harceler de messages, de questions et autres demandes qui expriment votre attente et le besoin irrépressible de sa présence. L’amour vous fait vivre plus forts et plus vrais les moments de bonheur et les expériences désagréables. Il vous arrive de faire un drame pour de petits détails, vous lui demandez souvent de vous donner des preuves d’amour, paroles, messages, attentions. Vous ne faites pas un pas sans penser à elle (lui), vous lui apportez souvent de petits cadeaux et vous vous ruinez pour lui en offrir de somptueux même si cela met vos finances en péril ; rien n’est trop beau pour votre partenaire. Vous le (la) surveillez quand même du coin de l’œil, même si vous affirmez que vous lui faites confiance, car vous redoutez par-dessus tout qu’il (elle) soit attiré(e) par d’autres, et que sa fi délité soit menacée. Vous ne cachez pas votre jalousie, à quoi bon d’ailleurs puisqu’elle est si évidente ? Vous ne rêvez pas d’un amour fusionnel, vous faites tout ce qu’il faut pour le vivre. Au fond, vous manquez de confiance en vous et vous croyez que l’être aimé est en mesure de pallier ce manque ; c’est pourquoi, votre attachement n’est autre qu’une forme de dépendance. L’inconvénient de votre posture, ce sont évidemment ses excès, mais vivre aussi intensément ses sentiments est aussi le privilège des êtres passionnés qui vont jusqu’au bout de leur amour.



Je suis tropdeg je suis dependante affective!!!!!!!
J en ai maaaaaarre de l amouuur..je me sens emprisonnée Allah isterrrrrr


Oui c est chaud pour ta tête ..nan jdahk
J'pensais que tu était marier fdmm

Oui wAllah c'est fatigant à force.. Mais tu peut tjrs changer ! Et si tu ne le fait pas pour toi fait le pour tes enfant .. Et de plus une fille dépendante affectif est difficile à reconnaître car de nature vous êtes des personne qui s'attache .. Et c'est une qualité dites féminine
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
E
9 mai 2015 15:39
Citation
jeveuxuncoach a écrit:
Par contre j ai jamais eu le comportement du paragraphe ci dessous lol..je nimpose rien jattend c est tout grinning smiley

" Vous reprochez aux autres d’être méchant car considérant qu’ils ne prennent pas soin de vous. Très souvent vous faites des cadeaux, essayez de sauver des gens pour recevoir de l’amour et de la reconnaissance ou leur faire ensuite des reproches du genre "après tout ce que j’ai fait pour toi tu ne peux même faire ça pour moi !". Du coup, les autres prennent l’habitude de refuser toutes sortes de cadeaux et d’aides venant de vous car ils considèrent que ce ne sont en fait des cadeaux empoisonnés. "


Ah ben hmdl .. Il ne faut pas confondre dépendant affectif avec sensible voir hypersensible ..(sa se soigne aussi mais c'est chaud quand tu cumule le tout ).


grinning smiley
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
E
9 mai 2015 15:45
Citation
jaipasdinspiration a écrit:
Est-ce qu'on peut être dépendant affectif et refuser de se lancer dans une relation, quelle qu'elle soit justement par peur des pots cassés ?

Salam

Oui on peut être dépendant affectif et refuser de se lancer dans une relation même licite a cause des déceptions ..et parceque on accepte pas le faite qu'on soit aimer pour se que nous somme ..inconsciemment on se dit y'a de la trahison dans l'air .. Quelque chose ne vas pas etc..

C'es l'autre visage de la dépendance affective .. Je suis pareil que toi j'ai des occasion qui se présente à moi et je ne m'engage que rarement et pour être déçu au final car tu te sent incompris voir bizarre en couple !

Personnellement je m'engage très rarement à cause de sa ! Et je trouve que c'est la plus difficile à soigner .. Car a l'apparence on es normal mais au fond de nous laisse tomber..

Et les gens autour ne comprennent pas pourquoi on ne cherche pas à se marier alors qu'on as tout ce qui faut .. Pf

Bon courage a toi et j'espère que tu essaye de changer ?!
Je me nomme [b]Perlo[/b] Prenez soin de bien m'écouter parceque je trie mes mots sur le volet. je ne me répète jamais.Je vous ai dis comment je m'appelle,ça règle la question du QUI. Le OU,QUAND,COMMENT..à ce stade, ainsi que shakespeare pourrait nous le dire C'est là qu'est tout l'embarras
j
9 mai 2015 16:44
J'ai eu des occasions, pas des masses non plus je suis pas un canon lol mais aujourd'hui je regrette pas du tout de les avoir refusés. Ils en valaient pas la peine et je sais que j'aurais été déçue. C'est même pas que je crois que j'aurais été déçue, c'est que j'en suis sûre et certaine.
Mon souci c'est que je suis hyper suspicieuse, je n'arrive pas à avoir confiance en un homme dès qu'il s'agit de sentiments. Je peux pas...dans un premier temps j'idéalise et très vite j'observe certaines choses qui me dégoutent totalement de la personne que ça y est, j'ai un blocage, je ne peux pas aller plus loin avec.
On peut réellement changer ça ? dans mon cas je crois pas, mais je pense que c'est aussi une protection pour moi qui suit naïve de nature
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