azul au lieu de dire où sont Ayt Shaq qui sont farouches? vous parlez des responsables "non responsables", si la population bouge et manifeste les choses avancent et bougent si c'est le contraire c'est le déclin de la civilisation des Dilaïtes. inebbadên ougha teggan cha mech our ggwiden = les responsables ne font rien s'ils n'ont pas peur...
je viens juste de voir ce poste et franchment: SA FAIT PLAISIR (tm)
mes parents st de la bas et j'y vais svt pdt les grandes vacs.ce serait trop cool si les choses pouvait bouger genre les routes (pour plus avoir de 3jaja lol) et l'eau courante en priorité. voir un poste sur ce pti bled,c'est vraiment la derniere à laquelle je m'attendais. chleh en forceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
vive les gens de ait ishaq domage ke les gens ki on moyens préfere faire construire barak sur barak au lieu de se reunir et de faire bouger les chose pour notre village par exemple les routes ,l'hopital,les écoles....; gardons espoir pour ke sa bouge
azul les revendications se décrochent par manifestations, activités, lettres, articles, pétitions... il faut faire bouger une élite d'Ait Ishaq car les choses ne tombent pas du ciel.
oullah mech our tegrized our tmeggerd.
Je suis prêt à cooperer avec vous. exploiter l'inernet, les journaux, les activités associatives pour redynamiser Ait Shaq y compris wawmana. aimez d'abord, la ville Ait Shaq, déclenchez votre patriotisme et l'amour de la patrie comme énérgie potentielle qui engendrera des mouvements: socioéconomique, sociopolitique et socioculturel, sportif...
salut t les ait ishaq fi nadari kant ait ishaq mazdahra fi al fatra li konna kantkalmou ala taghir shab razza bdelnahom o mcha m3ahoum kol khair aoual chai l'eau potable et non potable l'eclairage les routes rebbama makanouch bdaraja 3alia min daka kanou ghir kaydouko amma hado imma kaylaghfou oua imma kaylaghfohoum
bonjour, je suis très contente de voir des gens qui s'intéressent à mon village natal. Je suis née à ait ishaq et j'essaie d'y aller le plus souvent possible pour voir ma famille. allez visiter ce village vous ne serait pas deçues les gens vous accueillent avec chaleur et générosité bien que ce soit pas un village riche
Oui, ninisse il s'agit d'un beau village Au contraire, c'est un village très riche mais qui a subi un appauvrissement par la politique de marginalisation et de discrimination.
La fondation de Zawith n Dilya est situé vers la fin du XVI eme siècle, dans la haute vallée de Mm-ourbi3 ( le nom vient de arbi3 n ighboula qui constituent les sources de mm-ourbi3), près du village de Maâmmar. A une dizaine de km au sud de l'actuelle "ZAwith n ait Shaq", dans le pays des Ait IDRASSEN*. Elle est due à sidi Abou Baker bnou Mohammed (1536-1612) ( sidi Boubcher), originaire d'une fraction d'Aït Mejjat " imejjad" de Haute-Moulouya.
initié au soufisme par Abou Amer El-kastalli, il fait partie de la chaîne mystique de Jazouli. Célèbre par sa sagesse, sa science, sa générosité et son ascétisme, sa Zaouya devient centre d'études, relais de caravanes et lieu de pèlerinage, refuge des persécutés pendant la période d'anarchie qui suivi la mort du Sultan Ahmed Almansour( 1578-1603). à suivre si c'est intéressant
L'afflux des aumônes permettait une large hospitalité, accroissait les biens de la Zaouya et augmentait son prestige religieux. A la mort du sultan, qui avait eu une politique prudente vis-à-vis des chefs religieux, trois d'entre eux sont prépondérants: El-Ayachi dans le gharb et dans la région de Mazagan; Abou Hassou, fils de sidi Hmad Ou Moussa, dans le Tazerwalt, qui étendra sa zone d'influence jusqu'à le Tafilalt; et Mohammed Ed-dilaï qui a succédé à son père comme deuxième Chikh de la zaouya de Dila, en 1612. Jusqu'à sa mort, en 1637, il restera, selon l'exemple de son père, un chef religieux, un conseiller et un médiateur. Sous le commandement du troisième chikh, Mohmmed El-Hadj (1589 – 1671), la puissance dilaïte, à caractère nettement religieux, devient une puissance politique. Il fonde la deuxième zaouya de Dila, à l'emplacement de l'actuelle zaouya Aït Ishaq, plus accessible que la première. Il étend sa dominztion de la plaine de Tadla à Salé, soumettant la population de Fes et de Meknès. Il combat victorieusement le sultan Mohammed Ech-chikh (1637 – 1654) en 1638, puis le marabout El-Ayachi (1641), le Alaouite de Tafilalt, sidi Mohammed ben Ech-chikh en Haute Moulouya (1646).