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le soin d'Ayoub pour son mal occulte ou psychologie
N
19 novembre 2018 14:47
C’est écrit dans quel verset stp merci
Citation
vooriden a écrit:
Dieu mentionne son serviteur et envoyé Job (Ayoub) qui fut
éprouvé par toute les sortes de maladies à tel point que tout son corps
en fut atteint sauf son cœur qui resta exempt. D’autant plus, il perdit
tous les moyens de subsistance qu’il jouissait auparavant, sa femme
devait travailler pour lui assurer sa vie, pleine de foi et d’amour pour
son mari. Elle demeura ainsi dix-huit ans sans se lasser. A savoir que
Job avait une grande richesse et une grande postérité. Il devint démuni
de tout, même les proches le fuyèrent à cause de sa maladie, et seule
sa femme lui resta fidèle, et elle ne le quittait pas toute la journée sauf
pour aller rendre service à d’autres pour assurer la subsistance à elle
et à son mari.Après une longe endurance, Job implora le Seigneur par ces
mots: «Le démon m’a atteint par une souffrance et un châtiment» en
mes biens et ma famille. Le plus Miséricordieux des miséricordieux
entendit ses supplications et l’exauça en lui ordonnant de se lever et
de frapper le sol de son pied, et voilà qu’une source jaillit. Il lui
ordonna d’en puiser de l’eau pour faire sa lotion, et par la suite toutes
ses maladies disparurent. Il lui ordonna encore une fois de frapper le
sol, et voilà une deuxième source d’eau qui jaillit, et il lui dit d’en boire,
ainsi tout ce qu’il éprouvait dans son intérieur disparut. Il devint enfin
exempt de toute maladie interne et externe, récupéra un corps sain et
salubre.
Ibn Jarir et Ibn Abi Hatem rapportèrent d’après Anas -que Dieu
l’agrée- que le Messager de Dieu - qu’Allah lé bénisse et le salue - a
dit: «Job, le Prophète de Dieu -que Dieu le salue- endura ses maladies
dix-huit ans, aussi bien les proches que les amis le fuyèrent à
l’exception de deux hommes qui étaient parmi les amis sincères et
venaient lui rendre visite matin et soir. L’un d’eux dit à l’autre: «Sais-tu
que Job avait commis un péché que nul avant lui ne l’a commis». -
Quel est donc ce péché? demanda l’autre. Et le premier de répliquer:
«Depuis dix-huit-ans il fut frappé par les maladies sans que Dieu ne lui
fasse miséricorde pour l’en débarrasser». Une fois en présence de
Job, l’un de ces deux hommes demanda à Job la cause de sa
maladie, et Job de répondre: «Je ne connais rien de ce que tu viens
de me raconter sauf Dieu- à Lui la puissance et la gloire -qui est le
plus savant. Je passais par deux hommes qui se disputaient en
prenant Dieu à témoin. Comme je répugnais la façon de leur dispute
surtout en mentionnant Dieu, je donnais de mes biens aux pauvres
comme expiation afin que Dieu leur pardonne».
On a rapporté que, chaque fois qu’il voulait satisfaire un besoin, il
s’en allait puis revenait et sa femme l’aidait. Une fois, allant faire
satisfaire son besoin, il tarda à revenir. Dieu en ce moment-là l’inspira
de frapper le sol, il s’exécuta, fit sa lotion et revint sous une belle
apparence, après s’ent être débarrassé de toutes ses maladies. A sa vue, sa femme ne crut pas que c’était bien son mari, elle dit ensuite:
«Puisse Dieu te bénir, as-tu vu le Prophète de Dieu l’éprouvé? Si tu es
vraim ent ce Prophète, je n’ai vu de ma vie un homme qui lui
ressemble plus que toi». Et Job de répondre: «Je suis Job, ton mari».
Abou Houraira rapporte que le Messager de Dieu - qu’Allah le
bénisse et le salue - a dit: «Pendant que Job faisait sa lotion tout nu, des
sauterelles d’or s ’abattirent sur lui. Comme il s ’occupait à les receueillir
dans son manteau, Dieu l”interpella en ces termes: «Job! Ne t ’ai-je donc
pas comblé de biens pour que tu puisses te passer de ce que tu vois là?» Et
Jof de répondre: «Certes oui, ô Seigneur, mais je n’en aurai assez de Tes
faveurs».? (Rapporté par Boukhari et Ahmed)111.
«Nous lui rendîmes sa famille accrue du double. Ce fut là, de notre
part un geste de pitié et un enseignement pour qui médite». En
commentant ce verset, Al-Hassan et Qatada ont dit: Dieu fit ressusciter
pour Job ses enfants deux fois plus monbreux, vivants tels qu’ils
étaient. Ce fut une grâce de Dieu pour prix de sa patience et son
endruance, et en même temps un souvenir pour ceux qui sont doués
de raison et d’intelligence, qui doivent croire qu’après la gêne il y aura
certainement une délivrance.
«Prends une gerbe de brindilles. Frappes-en pour ne pas te parjurer»
car une fois Job fut irrité contre sa femme et jura que, une fois rétabli,
il lui appliquera cent coups de bâton. Etant guéri, et comme il ne
convenait plus à Job de punir sa femme après tous les services qu’elle
lui a rendus, Dieu lui trouva cette issue en lui ordonnant de prendre un
faisceau de cent tiges d’herbe et de n’en donner qu’un seul coup à sa
femme, pour tenir son serment. Ainsi il lui en aurait donné cent et
aurait tenu sa promesse. Dieu fit son éloge et dit: «Il fut un serviteur
modèle. Il aimait à se recueillir en Allah» et qui se repentit en revenant à
lui. Dieu a dit ailleurs: "Quant à celui qui craint Allah, Allah donnera une issue favorable à ses affaires; il lui accordera ses dons par des moyens sur
lesquels il ne comptait pas"
v
19 novembre 2018 15:13
c'est le verset que le posteur essaie de traduire dans son post
Citation
Nourelmaleh a écrit:
C’est écrit dans quel verset stp merci
N
19 novembre 2018 15:23
D’accord merci
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