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loiseaudenuit a écrit:
Salam,
Bien sûr, Allah a donné à chacun sa part de rizk matériel et financier, à certain beaucoup, d'autres un peu, et d'autres encore pas du tout. Ce que tu dois te dire ma soeur, c'est que Allah l'a fait en connaissance de cause. Si Il enrichi quelqu'un, cette richesse est une épreuve en soit, parce qu'il doit faire le bien avec, aider les pauvre, faire la charité et ne pas tomber dans la vulgarité, l'excès et l'arrogance. Alors qu'un autre, à qui Allah a donné peu ou juste de quoi subvenir à ses besoins, peu se sentir certes délaissé par rapport à son frère riche, mais peut être est il plus heureux, peut être vit il dans le bonheur de la simplicité et que lorsqu'il offre un petit jouet à ses enfants, ça leur fait très plaisir parcequ'il sont élevé dans le respect de la valeur de la petite chose...
Le rizk ma soeur, n'est pas seulement financier, Allah yourzik la foi, la santé, la famille, le bonheur, la sérénité... et l'argent!!
Si une personne a uniquement le rizk matériel, à mes yeux elle ne possède rien!!
Pour ce qui est de se retrouver à la rue, ce que je ne souhaite pour personne Allah ihfed, c'est peut être une épreuve d'Allah en soit!
Il ne faut jamais désespérer de la bonté d'Allah.
Almoumine moussab.
Je nous souhaite du RIZK, de quoi nous rendre heureux inchaAllah.
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Algérienne789 a écrit:
As-salaamou `alaykoum,
Nous on fait les causes, c'est-à-dire que pour espérer avoir de l'argent etc, on travaille, mais on oublie pas que c'est Dieu qui accorde, il a été dit que l'oiseau quitte le nid affamé, et qu'il revient le soir repu (il me semble qu'une yabi avait cité cette parole aussi).
On travaille (la cause), pour avoir de l'argent (la conséquence), mais n'est-ce pas que des fois on prend un médicament (la cause) pour la guérison (conséquence), mais finalement on ne guérit pas ? La conséquence n'est pas systématique, c'est Dieu Qui accorde, Dieu est ar-razzaaq, c'est Lui qui pourvoie et accorde la subsistance.
Le rizq (subsistance) que Dieu t'a prédestiné, personne ne te le prendra.
Le Prophète avait enseigné cette parole à une de ses filles (ما شاء الله كان وما لم يشء لم يكن), ce qui signifie : "Ce que Dieu veut est, et ce qu'Il ne veut pas n'est pas".