Pour ce qui est du domaine des "'âdât", il n'y a aucun mal à ce qu'on adopte des nouveautés par rapport à ce que le Prophète et ses Compagnons faisaient, du moment que ces nouveautés concernent. En effet, ici, l'islam donne entière liberté pour les nouveautés, dès qu'on tient compte de ses principes (éléments ta'abbudî).
Par contre, comme l'a écrit Ash-Shâtibî (Al-I'tisâm, tome 1 pp. 37-45 ; tome 2 p. 73), en ce qui concerne ce qui est ta'abbudî, une nouveauté est est en fait une innovation, et doit être évitée. C'est ce qu'on appelle une bid'a (pluriel : bida'), qui consiste à rajouter une voie autre que celle tracée par le Prophète dans le domaine religieux, dans le but d'adorer Dieu (la définition exacte que Ash-Shâtibî en a donnée est : "tarîqatun fid-dîn mukhtara'atun tudhâhi-sh-shari'yya, yusadu bi-s-sulûki 'alyhâ : al-mubâlaghatu fi-t-ta'abbbudi lillâh" : Al-I'tisâm, tome 1 p. 37).
Les "éléments ta'abbudî" étant aussi bien des croyances que des actions, deux grands types d'innovations apparaissent déjà au premier abord : A. Les innovations relatives aux croyances (al-bida' al-i'tiqâdiyya) ; B. Les innovations relatives aux actions (al-bida' al-'amaliyya).
A. Les innovations relatives aux croyances (al-bida' al-i'tiqâdiyya)
Les sources de l'islam ayant offert à ce sujet un cadre déjà complet, on ne doit rajouter aux croyances ainsi offertes ni autres concepts métaphysiques, ni croyances d'origine non-musulmane, ni croyances imaginées, sous peine de tomber dans l'innovation (al-bid'ah al-i'tiqâdiyya). La catégorie d'innovations relatives aux croyances (al-bida' al-i'tiqâdiyya) se subdivise en deux sous-catégories :
A.1. les innovations qui font perdre la foi musulmane (al-bida' al-mukaffira) ;
A.2. les innovations qui ne font pas perdre la foi musulmane (al-bida' al-ghayr ul-mukaffira).
A.1. Les innovations qui font perdre la foi musulmane (al-bida' al-mukaffira)
Certaines innovations sur le plan des croyances font perdre la foi musulmane à celui ou à celle qui les adopte. On les appelle bida' mukaffira. Il s'agit de tout ce qui contredit formellement un des fondements mêmes de l'islam, et consiste donc en une incroyance claire (kufr sarîh / kufr bawâh). Par exemple : - croire que Dieu connaît les grands événements mais pas chaque petite chose qui se passe dans l'univers (cf. Al-Munqidh min adh-dhalâl, pp. 23-24) ; - croire que le Coran n'est pas la Parole de Dieu ; - croire que c'est par erreur que l'ange Gabriel a communiqué la révélation à Muhammad (sur lui la paix) alors que Dieu l'avait chargé de la communiquer à Alî.
A.2. les innovations qui sont des déviances, mais qui ne font pas perdre la foi musulmane (al-bida' al-mudhallila al-ghayr ul-mukaffira)
D'autres innovations sur le plan des croyances sont également graves, mais ne constituent cependant pas une incroyance claire (kufr sarîh / kufr bawâh) mais une déviance fondée sur un doute (shub'hah conduisant à faire une fausse interprétation (ta'wîl) d'une donnée des sources de l'islam. La plupart des croyances erronées des tendances mu'tazilites, khârijites, murji'ites, etc. relèvent de cette catégorie, comme celle relative au statut du musulman qui commet un grand péché (kabîra) : reste-t-il musulman ou pas ? Ces trois tendances ont à ce sujet des conceptions déviantes par rapport à la voie du Prophète et des Compagnons, mais qui ne constituent pas une incroyance. Ainsi, An-Nawawî a écrit des khârijites que s'ils étaient égarés, ils n'étaient pas incroyants (kâfir) (Sharh Muslim). Al-Ghazâlî a écrit la même chose à propos des mu'tazilites (Al-Munqidh min adh-dhalâl). Ibn Taymiyyah a, pour sa part, déduit du fait qu'Ibn Hanbal avait prié pour les califes abbasides Al-Ma'moun et Al-Mu'tasim malgré leur croyance déviante au sujet du caractère incréé du Coran qu'il ne les considérait pas incroyants (Al-Fatâwâ).
Qu'est-ce qui constitue une innovation qui conduit à perdre la foi et qu'est-ce qui constitue une innovation qui conduit à l'égarement sans perdre la foi ? Pour le découvrir, lisez mon article : Le musulman qui renie un élément de l'islam quitte-t-il l'islam ?
B. Les innovations relatives aux actions (al-bida' al-'amaliyya)
Pour ce qui est des actions, on ne doit non plus rien rajouter aux éléments cultuels (ta'abbudiyya) offerts par l'islam, sous peine de tomber dans l'innovation (al-bid'a al-'amaliyya). Cette catégorie d'innovations relatives aux actions (al-bida' al-'amaliyya) se subdivise elle aussi en deux sous-catégories :
les innovations absolues (al-bida' al-'amaliyya al-haqîqiyya) ;
les innovations relatives (al-bida' al-'amaliyya al-idhâfiyya).
B.1. Les innovations absolues (al-bida' al-'amaliyya al-haqîqiyya)
Certaines innovations sur le plan des actions sont absolues. Conformément aux écrits d'Ash-Shâtibî reproduits ci-dessus, elle consistent : - dans la sphère de ce qui est purement cultuel, à imaginer une forme de culte que le Prophète (sur lui la paix) n'a pas faite ; par exemple adorer Dieu en se mortifiant le corps ; faire le vœu de ne pas parler pendant une journée pour se rapprocher de Dieu, etc. - dans la sphère de ce qui n'est pas purement cultuel, à imaginer des principes issus ni directement ni indirectement du Coran et des Hadîths ; par exemple s'interdire, dans une optique religieuse et dans le but de se rapprocher de Dieu, de manger de la viande. A l'époque du Prophète, Aboû Isrâ'ïl avait ainsi fait le vœu de rester debout dans le soleil, de ne pas s'asseoir, de ne pas profiter des lieux ombragés, et de ne pas parler ; le Prophète (sur lui la paix) lui demanda de rompre ces vœux (rapporté par Al-Bukhârî).
B.2. les innovations relatives (al-bida' al-'amaliyya al-idhâfiyya)
D'autres innovations sont relatives. Elles consistent à pratiquer une forme de culte certes enseignée par le Prophète, mais dans laquelle on a rajouté un élément. Par exemple : - faire un jeûne, mais s'imposer, dans une optique religieuse et dans le but de se rapprocher de Dieu, de le passer au soleil uniquement ; - pratiquer un acte de culte facultatif, qui existe dans les sources musulmanes, mais en fixant un horaire revenant régulièrement (qui n'a pourtant pas été indiqué par le Prophète) : par exemple prendre l'habitude de faire un jeûne facultatif chaque mardi. Ainsi, alors que le Prophète faisait le sermon (khutba) après la prière de la fête du 'Eîd,un temps après son époque où le gouverneur omeyyade Marwân ibn Al-Hakam se mit à le faire avant la prière du Eid. Il s'agit ici d'une innovation relative, et des Compagnons présents lui reprochèrent cette innovation. Il refusa cependant, par ignorance, de les écouter et invoqua le prétexte que le contexte avait changé (cf. ce récit, rapporté par Muslim).
Cette classification des différents types d'innovations (bid'a) s'inspire de ce qu'a écrit Dr. Ali ibn Muhammad Nâssir al-Faqîhî dans son livret Al-bid'a, dhawâbituhâ wa atharuhâ-s-sayyi' fil-umma, Markazu shu'ûn id-da'wa, Al-jâmî'a al-islâmiyya bil-madînat il-munawwara.
COMMENTAIRE DE HADÎTH « Celui qui apporte dans notre religion-ci une innovation qui est étrangère, ont doit rejeter tout ce qu'il dit » AL-FAQÎH SHEIKH MUHAMMAD IBN SÂLIH AL-'UTHAYMÎNE (RAHIMAHULLÂH) lundi 22 septembre 2003, par Ibn Abd Al-Hâdî
BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm
Um al-Mu'minîn, Um 'Abdallâh, 'Aisha (Radhiallâhu 'anha) a rapporté que le Messager d'Allâh (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit :
« Celui qui apporte dans notre religion-ci une innovation qui est étrangère, on doit rejeter tout ce qu'il dit. » [1]
Dans une autre version de Muslim :
« Celui qui fait une chose en désaccord avec notre religion, on doit rejeter tout ce qu'il fait. »
1]
Les savants ont dit au sujet de ce hadîth, qu'il était la balance des œuvres apparentes, et que le hadîth de 'Umar Ibn Khattâb : « Les actes ne valent que par leurs intentions » était la balance des actes intérieurs. Car pour l'acte il y a une intention et il y a une manière : la manière est l'apparence de l'œuvre, et l'intention est l'œuvre [an-Niyah] cachée. Dans ce hadîth, il y a des leçons importantes, de sorte que quiconque apporte en Islâm ce qui n'en fait pas partie, et bien son œuvre lui sera rejetée ; quand même il avait une bonne intention. On retient donc de ceci que l'ensemble des innovations apportées par quiconque est à rejeté, quand bien même il était sincère dans son intention.
2]
Quiconque accomplit un acte vertueux, sur une base légiférée, mais qu'il l'a accomplit d'une manière différente de celle qui lui a été ordonnée, alors cet acte est rejeté en se basant sur la deuxième version de Muslim. Sur cette base, quiconque contracte une vente illicite, sa vente est nulle [bâtil]. Et quiconque accomplit une prière surérogatoire qui n'a pas de base légiférée [dans la sounnah] et sans qu'elle soit prescrite, sa prière devient nulle [bâtil]. Quiconque jeûne le jour de « al-'Id », alors son jeûne est nul [bâtil]…Car tout cela ne fait pas partie de ce qu'Allâh et Son Messager ont prescrit. Donc, tout ceci est nul et à rejeter. [2]
Ibnou Sirin a dit: "Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion." voir sahih Mouslim Le messager a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit. Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
Les particularités des gens des sectes **************************************************************************
Il apparaît clairement des gens des sectes des signes qu’il est possible de découvrir afin (justement de voir qu’ils sont des gens des sectes, des sectaires, etc.)
1 : Le fait de diviser dans la religion, l’appelle à cela (la division dans la religion), sous le drapeau de la multiplication des groupes musulmans. (Ils voient en cela un bien ce qui est une erreur)
(Pour eux, cette multitude de groupes) Se complètent l’une l’autre. Rappel toi ce qui provient de Abou Al-Moudaffir a-Sama’ni : « Et ce qui montre que les gens du Hadith sont sur la vérité, lorsque tu lis tous les livres (des gens du Hadith) du premier au dernier, ancien et nouveau, et malgré les origines diverses et les époques différentes, et les grands espaces qui séparent tous ces personnes (auteurs des livres), et bien tu constates qu’ils sont sur une même croyance, un seul chemin.
Mais quand tu regardes les gens de la passion, de l’innovation, tu constates qu’ils divergent l’un l’autre, qu’ils se divisent en sectes opposées. Tu ne trouves pas 2 groupes qui sont d’accord dans la croyance, ils se rendent hérétique l’un l’autre. (C’est-à-dire ce groupe dit de l’autre qu’ils sont des innovateurs, et l’autre groupe en fait de même). D’autres vont plus loin en encore en disant de l’autre groupe que ce sont des mécréants, tu vois le fils apostasié son père, l’homme son frère, son voisin, etc.
Tu les vois constamment en conflit, sous l’emprise de la haine, les divergences, et lorsqu’ils achèvent leurs vies, ils ne sont toujours pas d’accord.
Allah dit : « ….Tu les croirait unis, alors que leurs cœurs sont divisés. C’est qu’ils sont des gens qui ne raisonnent pas. » S59V14
C’est exactement la situation des gens des sectes, tu les verras jamais d’accord, lui est Tablighiste (Tablighi), lui Ikhwaniste (Ikhwani), lui Qoutbiste (Qoutbi), Takfiri, etc.
Ce verset englobe cela : « Ceux qui émiettent leur religion et se divisent en sectes, de ceux-là tu n’es pas responsable en rien.. » S6V159
2 : Rejeter la vérité et suivre la passion
3 : Sanctifier (Faire le culte) des personnes, l’exagération vis-à-vis d’eux, et le sectarisme suite à leurs avis.
4 : Suivre l’équivoque et laisser l’évident, et c’est cela un signe des gens de la passion et de l’innovation. Il a été rapportée de A’îscha qu’Allah l’agréé que le Prophète paix sur lui a lut le verset suivant :
Ensuite le Prophète paix sur lui a dit : « Si tu vois les gens qui suivent l’équivoque, c’est d’eux qu’Allah (parle), mettez les en garde » Al-Bukhari et Mouslim
5 : S’appuyer sur l’abrogé (l’aboli) et laisser l’abrogeant (l’abolissant) concernant la parole d’Allah, ou du Prophète paix sur lui, ou encore de ce qui provient des savants de la Sunnah.
Voici un exemple : Ils s’appuient sur une éloge de Cheikh Ibn Baz qu’Allah lui fasse miséricorde concernant Salman al-Awda, (cela avant qu’il fût éclaircie le cas de Salman al-Awda au Cheikh qu’Allah lui fasse miséricorde). Et ils laissent (mettent de cotés) la dernière parole du Cheikh concernant Salman qui est une mise en garde.
6 : S’opposer à la Sunnah en s’appuyant sur l’équivoque du Coran, Omar Ibn Khattab qu’Allah l’agréé a dit : « Certes des gens vous polémiques avec l’équivoque du Coran, prenez les avec la Sunnah car les gens de la Sunnah comprennent mieux le Coran »
7 : Détester les gens des traces (gens de la Sunnah), les Salafis, même s’ils ne s’autorisent pas cela.
8 : Rejeter les livres des Salafs, et appeler les gens et les jeunes à des livres des gens des groupes qui ne contiennent pas de science et qui comportent innovations et égarements.
9 : Ils n’oeuvrent pas avec le Coran et la Sunnah selon la compréhension des Salafs, sauf dans ce qui va dans le sens de leurs passions. Ils essayent plutôt de fabriquer une nouvelle compréhension, qui est en harmonie avec l’époque, tout en prétendant que c’est pour le juste milieux, conformément à la simplicité et les réalités.
Ils oublient ou se font oubliés mutuellement la parole de l’Imam Malik qu’Allah lui fasse miséricorde : « (Il) Ne réforme pas à la fin de cela sauf avec ce qui a réformé dès son début »
10 : Jeter, lancer des termes sur les gens de la Sunnah, comme Djahmi, serviteur, etc. Et leurs prédécesseurs (à ces gens des sectes par le passé) de même utilisaient d’autres termes pour les lancés sur les gens de la Sunnah comme anthropomorphiste, etc.
11 : L’empressement dans le Takfir (apostasie), Abou al-A’liya qu’Allah lui fasse miséricorde a dit : « Allah m’a comblé de deux bienfait, je ne sais lequel est mieux : la guidé à l’Islam, et il ne m’a pas fait ‘ Harrouri ‘ chaud (comme ceux qui font le takfir facile). »
12 : Spéculer sur les savants de la Sunnah, mentir sur eux, leur faire une mauvaise réputation, les qualifiés de trop durs, d’êtres trop pressés, trop flattés, et de ne rien comprendre aux réalités, et ……
13 : Retourner (changer) les vérités (du sens voulu)
14 : L’amitié / Et c’est une règle d’or, qu’utilisaient les Salafs afin de découvrir les gens de l’innovation, et les gens de la Sunnah (l’utilisent toujours) et cela à toutes les époques afin de découvrir les sectaires qui cachent (extérieurement) leurs sectarisme (appartenance à une secte). Si tu doutes de la voie d’une personne, ses aspirations, et qu’extérieurement rien de lui ne montre cela, alors tu n’as plus qu’à voir avec qui il s’assoit afin de connaître la vérité le concernant. Si (justement) ses assises sont des assises de gens appartenant à la Sunnah, des Salafis, alors il est d’eux, dans le cas contraire, il n’est pas d’eux.
Moua’dh Ibn Moua’dh qu’Allah lui fasse miséricorde a dit : « L’homme même s’il cache son avis, ne peut peux pas cacher cela à travers son fils, son ami, son assise. »
15 : L’excitation, la stimulation, vis-à-vis des gouverneurs, tout en passant leurs temps (à cela), (ils passent leurs temps) dans le trouble, etc. Sois disant au nom de la Da’wa (ordonner le bien et interdire le mal) comme le font les Khawaridj.
16 : Ceux qui appellent aux livres des innovateurs, leurs cassettes, et qui les propage. Cheikh Ibn Baz fût questionné dans cette cassette intitulée : l’explication du bienfait de l’Islam : « Celui qui fait les louanges des innovateurs, prend-il leur jugement ? » Le Cheikh a répondu : « Oui, point de doute sur cela, celui qui fait les louanges (des innovateurs) alors il est un de leurs prêcheurs (il appelle à eux)… »
17 : Le regroupement, qui vise à regrouper le plus possible de personnes autour d’eux. Toujours en donnant peut d’importance à l correction de leurs croyances. (Pour eux la réforme des croyances et la plus basse priorité)
Et cette façon de faire provient (de la secte des) frères musulmans ainsi que (la secte) des Tablighs. Ils regroupent avec cette règle (comme base) : Nous nous entraidons ensemble sur ce que nous sommes d’accord, et excusons sur ce quoi nous ne sommes pas d’accord (on ferme les yeux dessus).
Cette règle est : L’unité du rang, et non celle de l’avis.
Chez eux la leçon n’est pas dans le qualitatif mais plutôt dans le quantitatif.
18 : Etre sur le qui-vive concernant l’accès aux postes et ce qui mène à cela.
19 : Tromper les gens au nom de la religion et de la Sunnah. Et à la moindre ‘exposition’ de leurs activités sur le coran et la sounnah tu trouves des ‘désastres’, ‘catastrophes’ et des désaccords. Comme si ces appartenances n’étaient que pour faire passer leurs idées et leurs plans de sectaires, et cela au nom de la religion, de la Salafiya (D’où la tromperie). Comme le dit un des théoriciens du mouvement sectaire des frères musulmans : « Le chemin de la croyance, et légiféré, chez les frères musulmans est Salafi, sur lequel il n’y a pas de doute » (C’est une tromperie en réalité)
20 : Le mensonge, ils autorisent cela pour le bien du prêche, par Allah, beaucoup ont été pris en flagrant délit. Nous demandons à Allah d’être dans une bonne situation.
21 : Une structure militaire, à travers les sorties en période d’été (vacance), ou les voyages en groupe, et les tantes, qui comportent des exercices militaires. Celui qui a inventé cela est Hassan al Banna, regarde Madjmou’ rassa-il Hassan al Banna.
22 : Etendre les moyens de prêche de manière non légiféré (Islamique) comme les chants, le ballon, les pièces de théâtre, les voyages,etc. Le savant al-Uthaymin fût questionné : « Les chants Islamiques sont-ils autorisés aux hommes ? » sa réponse fût : « Le chant Islamique est un chant innové, innové par les Soufis, pour cela il faut s’éloigner de cela et revenir aux prêches, sermons du Coran et de la Sunnah »
Sources : Kitab al-Qawlou lmoufid fi houkmi lanachid
23 : Les histoires, tu remarqueras que leurs conférences, leurs discours sont dominés par les histoires. Ces histoires qui n’apaisent pas la faim, et dont l’homme ne tire pas de profit, ni pour sa croyance, ni pour son adoration. Les pieux prédécesseurs ont mis en garde contre les raconteurs d’histoires, ainsi que contre leurs assises. L’Imam Malik a dit : « Quand à moi, je déteste les histoires dans la Mosquée. » Et il dit aussi : « Je ne vois pas qu’il faille s’asseoir avec eux, et les histoires sont une innovation. » Salim a rapporté que Ibn Omar était à l’extérieur de la mosquée, et il dit : « Rien ne m’a fait sortir si ce n’est la voix du raconteur d’histoires. »
24 : Le secret, se cacher, Omar Ibn AbdelAziz a dit : « Si tu vois un peuple qui se fait des confidences dans la religion (entre eux) sans les autres, saches alors qu’il sont basés sur l’égarement »
Voilà une partie des caractéristiques des gens de l’innovation, qu’Allah nous protège et qu’il nous accroche à la Sunnah et la pratique de cette Sunnah selon la manière des pieux prédécesseurs.
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
........Pour ce qui est du domaine des "'âdât", il n'y a aucun mal à ce qu'on adopte des nouveautés par rapport ..........
le profete saws dit toute innovation est un égarement et toi tu dis ya deux sortes d'innovations!!!!!!!!!!!!! tu connais mieu que lui!!!!!!!
et il a dit aussi saws: « Celui qui apporte dans notre religion-ci une innovation qui est étrangère, ont doit rejeter tout ce qu'il dit »
les gens qui disent n'ont aucune loqique.
reflichiiiiii mon frere.et arete de suivre aveuglement tes cheikhs
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
jté donner deux hadith et tu veux pas comprendre alors.........
vazy ecoute le dr al qardawui machallah.
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".
ça doit tourner autour ,je te connais frere. al bouty,al qardawui,amru khaled,atantawi,ali jomo3a,al faquihi, mohamed hcine yakoub,mohamed hassane...====le groupe des freres musulman quoi.
Ibnou Sirin a dit:
"Cette science est une religion, sachez donc de qui vous prenez votre religion."
voir sahih Mouslim
Le messager"sallah allah alayhi wa sallam" a dit:" Il y aura toujours un groupe de ma communauté qui mettra en pratique ce qu'ALLAH a prescrit.
Ils ne seront pas atteint par le mal de ceux qui les abandonneront ou les contrediront jusqu'à ce que vienne la promesse d'ALLAH et les trouve distingués des gens ".