Citation
marocain-type a écrit:
lli assahab lgarrab issahbo fi lyalli!!
hehhe!!
bon je voi donc pour toi aiche les mec des blade sont des vendeur d eu!! la puavriass koi!! sympa! de ta part
Citation
aicha a écrit:Citation
marocain-type a écrit:
lli assahab lgarrab issahbo fi lyalli!!
hehhe!!
bon je voi donc pour toi aiche les mec des blade sont des vendeur d eu!! la puavriass koi!! sympa! de ta part
pas du tout très cher marocain-type tu ne me feras pas dire n’importe quoi je voulais simplement dire que lgarrab, c'est le seul qui est rester tel quel, et le seul qui n’as pas oublié ses origines, malgré le progrès.
on réfléchissant bien c’est le seul qui représente le Marocain.
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marocain-type a écrit:
lli assahab lgarrab issahbo fi lyalli!!
hehhe!!
bon je voi donc pour toi aiche les mec des blade sont des vendeur d eu!! la puavriass koi!! sympa! de ta part
pas du tout très cher marocain-type tu ne me feras pas dire n’importe quoi je voulais simplement dire que lgarrab, c'est le seul qui est rester tel quel, et le seul qui n’as pas oublié ses origines, malgré le progrès.
on réfléchissant bien c’est le seul qui représente le Marocain.
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romh a écrit:
voila j'ai trouver cet article
Qu’on se le dise, le blédard n’est pas beur !
Blédard... C’est dans le RER, il y a dix ans, que j’ai entendu prononcer ce mot pour la première fois. Des lycéens - beurs en majorité - chahutaient. Casquettes, vêtements et baskets de marque. Hurlements, bousculades, crachats au sol et insultes faciles : le smir façon banlieue parisienne.
jeudi 7 avril 2005.
Triste mais habituel spectacle sur la partie nord de la ligne D abonnée aux retards et aux « incidents voyageurs » pour reprendre l’expression pudique de la SNCF. Je lisais La Nation et le bruit m’indisposait. Peut-être ai-je laissé s’échapper un soupir bruyant ou risqué un regard désapprobateur. De quoi, en tous les cas, provoquer la réaction immédiate de l’un des yôs - terme adopté par votre serviteur pour désigner les énergumènes nourris aux clips de rappeurs mythomanes, machistes et indécents. « J’en vois un qu’est pas content ! », a crié l’un d’eux. « Laisse-le tranquille. T’as vu son journal ? C’est un blédard », lui a conseillé un autre à mon grand soulagement. Soulagement ? Ceux qui, installés dans une rame quasiment déserte, ont fait un jour l’expérience de voir soudain débouler une horde de yôs me comprendront...
Je venais donc d’être classé - et à raison - dans cette catégorie que les médias français ont toujours du mal à appréhender quand il s’agit d’évoquer les sempiternelles questions liées à « l’intégration », à « l’immigration », au « malaise des banlieues » ou encore à « l’islam des cités », etc. Le blédard, c’est le nouveau débarqué. Nouveau en comparaison de ceux qui furent transportés en France au siècle dernier et dont l’ancienneté a en quelque sorte été transmise à leurs enfants. Des enfants de nationalité française mais dont on parle encore comme des « fils d’immigrés » voire des « immigrés de la nouvelle génération » ou mieux encore comme des « immigrés français ».
Blédard... Longtemps, ce terme a désigné, non sans un certain mépris, les cousins du bled. Ceux qui vivaient de « l’autre côté » et qui parfois, l’espace d’un visa ou d’une allocation de devises (qui se souvient de « ss’hâb trente-deux mille » ?), arrivaient en France pour quelques jours ou semaines. Mais aujourd’hui, le blédard, c’est avant tout celui qui vit depuis peu en France. Il n’y est pas né et s’il y a fait ses études, c’est souvent après le baccalauréat. Surtout, il parle l’arabe, du moins la darja, sans difficulté et ne dit pas « ouala » ou « sur le Coran » quand il doit jurer. En un mot, c’est l’Arabe de France, ou mieux, le Maghrébin de France qui n’est pas beur.
Le plus souvent, le blédard refuse absolument d’être confondu avec un beur. Dans ses rapports avec les « Français de souche » ou les « Gaulois » voire les « BBR » (bleu-blanc-rouge), il s’arrange rapidement pour mettre les choses au point. En un mot, son message c’est : « Je viens de ‘là-bas’. La cité, SOS Racisme et le reste, je ne connais pas ou peu. Et si c’est possible, je préfère ne pas connaître ».
L’auteur de cette chronique n’échappe pas à la règle. Il y a quelques années, je faisais remarquer à une consoeur parisienne que je trouvais symptomatique le fait qu’aucun journaliste de notre rédaction n’était beur ou encore moins d’origine antillaise ou d’Afrique noire. C’était en 2002, quelques semaines après l’arrivée de Le Pen au second tour et l’on parlait alors beaucoup de l’intégration et de l’absence de progrès en la matière. J’ajoutais même que notre journal n’était absolument pas une exception puisque la situation était identique dans toutes les chaînes de télévision et même dans d’autres quotidiens à commencer par celui « du soir de référence » toujours prompt à moraliser le monde via ses éditoriaux mais incapable de regarder sa propre réalité discriminatoire.
« Mais... et toi ? », m’a alors demandé ma consoeur. J’ai répondu sans réfléchir mais avec beaucoup d’irritation que ce n’était pas la même chose. Que j’étais tout sauf « le beur de service ». J’étais un migrant, un étranger empli d’une autre réalité - celle de son pays d’origine - qui avait cherché du travail ailleurs que chez lui ; un Algérien qui aurait très bien pu atterrir à Doha ou à Montréal. A l’inverse, les stagiaires beurs que l’on voyait parfois passer dans la rédaction sans être jamais retenus - ils venaient pourtant des meilleures écoles de journalisme - étaient bel et bien de nationalité française. « Tu exagères ! », a insisté ma collègue en digne représentante de la bien « penseance » socialiste. « Il y a quand même des gens comme Rachid Arhab. Les choses avancent », a-t-elle ajouté. « Arhab est l’arbre qui ne cache aucune forêt », ai-je répondu pour clore cette discussion qui ne menait nulle part et qui reste encore d’actualité malgré les beaux discours et les promesses d’une télévision un peu plus bleu-blanc-beur.
Le premier observateur un tant soit peu attentif remarquera que le blédard et le beur ont des attitudes souvent différentes au quotidien. La relation que le premier entretient avec la France diffère en effet de celle qui, disons-le, oppose le second à ce même pays. Bien sûr, il y a le visa, les tracasseries à la préfecture et les obstacles - énormes, il ne faut pas se leurrer - pour l’emploi et le domicile. Mais le blédard est un optimiste. Inconscient peut-être mais optimiste ce qui le fait monter à l’assaut de citadelles dont il ignore tout de leurs défenses. Inconscience et absence de complexe qui, paradoxalement, lui ouvrent souvent des portes qui demeurent désespérément closes pour le beur. Le fait est que le blédard ne ressent pas sur son dos toute cette chape de rancoeur et même de révolte que nombre de beurs peuvent éprouver à l’égard de leur propre pays. Un pays qu’ils ne cessent d’accuser de les avoir privés du minimum de chances pour réussir.
Le blédard est déjà dans un rapport post-colonial avec la France tandis que le beur demeure - à tort ou à raison - englué dans ce « continuum colonial » que dénoncent les associations qui veulent faire de la journée du 8 mai, l’occasion de manifester au nom des « indigènes de la République ». Dans le regard, dans le discours du beur, il y a souvent un désir de revanche, une volonté exacerbée de se voir enfin reconnaître sa place dans la société française. Cela influe sur son attitude, sa manière d’appréhender les événements les plus insignifiants de la vie courante. La « beur attitude », c’est un mélange de fierté, de colère et de susceptibilité. C’est une souffrance que l’on devine mais qui ne rend pas pour autant sympathique celui qu’elle torture.
Par Akram Belkaïd, quotidien-oran.com
Citation
ateï a écrit:
C'est un algérien du bled qui l'a écrit donc ce n'est pas à prendre pour une généralité, il ne donne que son avis et décrit son experience à lui !!
Citation
romh a écrit:Citation
ateï a écrit:
C'est un algérien du bled qui l'a écrit donc ce n'est pas à prendre pour une généralité, il ne donne que son avis et décrit son experience à lui !!
Citation
romh a écrit:
voila j'ai trouver cet article
Qu’on se le dise, le blédard n’est pas beur !
Blédard... C’est dans le RER, il y a dix ans, que j’ai entendu prononcer ce mot pour la première fois. Des lycéens - beurs en majorité - chahutaient. Casquettes, vêtements et baskets de marque. Hurlements, bousculades, crachats au sol et insultes faciles : le smir façon banlieue parisienne.
jeudi 7 avril 2005.
Triste mais habituel spectacle sur la partie nord de la ligne D abonnée aux retards et aux « incidents voyageurs » pour reprendre l’expression pudique de la SNCF. Je lisais La Nation et le bruit m’indisposait. Peut-être ai-je laissé s’échapper un soupir bruyant ou risqué un regard désapprobateur. De quoi, en tous les cas, provoquer la réaction immédiate de l’un des yôs - terme adopté par votre serviteur pour désigner les énergumènes nourris aux clips de rappeurs mythomanes, machistes et indécents. « J’en vois un qu’est pas content ! », a crié l’un d’eux. « Laisse-le tranquille. T’as vu son journal ? C’est un blédard », lui a conseillé un autre à mon grand soulagement. Soulagement ? Ceux qui, installés dans une rame quasiment déserte, ont fait un jour l’expérience de voir soudain débouler une horde de yôs me comprendront...
Je venais donc d’être classé - et à raison - dans cette catégorie que les médias français ont toujours du mal à appréhender quand il s’agit d’évoquer les sempiternelles questions liées à « l’intégration », à « l’immigration », au « malaise des banlieues » ou encore à « l’islam des cités », etc. Le blédard, c’est le nouveau débarqué. Nouveau en comparaison de ceux qui furent transportés en France au siècle dernier et dont l’ancienneté a en quelque sorte été transmise à leurs enfants. Des enfants de nationalité française mais dont on parle encore comme des « fils d’immigrés » voire des « immigrés de la nouvelle génération » ou mieux encore comme des « immigrés français ».
Blédard... Longtemps, ce terme a désigné, non sans un certain mépris, les cousins du bled. Ceux qui vivaient de « l’autre côté » et qui parfois, l’espace d’un visa ou d’une allocation de devises (qui se souvient de « ss’hâb trente-deux mille » ?), arrivaient en France pour quelques jours ou semaines. Mais aujourd’hui, le blédard, c’est avant tout celui qui vit depuis peu en France. Il n’y est pas né et s’il y a fait ses études, c’est souvent après le baccalauréat. Surtout, il parle l’arabe, du moins la darja, sans difficulté et ne dit pas « ouala » ou « sur le Coran » quand il doit jurer. En un mot, c’est l’Arabe de France, ou mieux, le Maghrébin de France qui n’est pas beur.
Le plus souvent, le blédard refuse absolument d’être confondu avec un beur. Dans ses rapports avec les « Français de souche » ou les « Gaulois » voire les « BBR » (bleu-blanc-rouge), il s’arrange rapidement pour mettre les choses au point. En un mot, son message c’est : « Je viens de ‘là-bas’. La cité, SOS Racisme et le reste, je ne connais pas ou peu. Et si c’est possible, je préfère ne pas connaître ».
L’auteur de cette chronique n’échappe pas à la règle. Il y a quelques années, je faisais remarquer à une consoeur parisienne que je trouvais symptomatique le fait qu’aucun journaliste de notre rédaction n’était beur ou encore moins d’origine antillaise ou d’Afrique noire. C’était en 2002, quelques semaines après l’arrivée de Le Pen au second tour et l’on parlait alors beaucoup de l’intégration et de l’absence de progrès en la matière. J’ajoutais même que notre journal n’était absolument pas une exception puisque la situation était identique dans toutes les chaînes de télévision et même dans d’autres quotidiens à commencer par celui « du soir de référence » toujours prompt à moraliser le monde via ses éditoriaux mais incapable de regarder sa propre réalité discriminatoire.
« Mais... et toi ? », m’a alors demandé ma consoeur. J’ai répondu sans réfléchir mais avec beaucoup d’irritation que ce n’était pas la même chose. Que j’étais tout sauf « le beur de service ». J’étais un migrant, un étranger empli d’une autre réalité - celle de son pays d’origine - qui avait cherché du travail ailleurs que chez lui ; un Algérien qui aurait très bien pu atterrir à Doha ou à Montréal. A l’inverse, les stagiaires beurs que l’on voyait parfois passer dans la rédaction sans être jamais retenus - ils venaient pourtant des meilleures écoles de journalisme - étaient bel et bien de nationalité française. « Tu exagères ! », a insisté ma collègue en digne représentante de la bien « penseance » socialiste. « Il y a quand même des gens comme Rachid Arhab. Les choses avancent », a-t-elle ajouté. « Arhab est l’arbre qui ne cache aucune forêt », ai-je répondu pour clore cette discussion qui ne menait nulle part et qui reste encore d’actualité malgré les beaux discours et les promesses d’une télévision un peu plus bleu-blanc-beur.
Le premier observateur un tant soit peu attentif remarquera que le blédard et le beur ont des attitudes souvent différentes au quotidien. La relation que le premier entretient avec la France diffère en effet de celle qui, disons-le, oppose le second à ce même pays. Bien sûr, il y a le visa, les tracasseries à la préfecture et les obstacles - énormes, il ne faut pas se leurrer - pour l’emploi et le domicile. Mais le blédard est un optimiste. Inconscient peut-être mais optimiste ce qui le fait monter à l’assaut de citadelles dont il ignore tout de leurs défenses. Inconscience et absence de complexe qui, paradoxalement, lui ouvrent souvent des portes qui demeurent désespérément closes pour le beur. Le fait est que le blédard ne ressent pas sur son dos toute cette chape de rancoeur et même de révolte que nombre de beurs peuvent éprouver à l’égard de leur propre pays. Un pays qu’ils ne cessent d’accuser de les avoir privés du minimum de chances pour réussir.
Le blédard est déjà dans un rapport post-colonial avec la France tandis que le beur demeure - à tort ou à raison - englué dans ce « continuum colonial » que dénoncent les associations qui veulent faire de la journée du 8 mai, l’occasion de manifester au nom des « indigènes de la République ». Dans le regard, dans le discours du beur, il y a souvent un désir de revanche, une volonté exacerbée de se voir enfin reconnaître sa place dans la société française. Cela influe sur son attitude, sa manière d’appréhender les événements les plus insignifiants de la vie courante. La « beur attitude », c’est un mélange de fierté, de colère et de susceptibilité. C’est une souffrance que l’on devine mais qui ne rend pas pour autant sympathique celui qu’elle torture.
Par Akram Belkaïd, quotidien-oran.com
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lemaroc a écrit:
YA BCP DE VRAI DS CET ARTICLE
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romh a écrit:
moi je voie chaque jour tes marocains de zabad cracher et foute la m e r d e par tous là ou ils passent .
pouquoi se voiler la face ?
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bent lablade a écrit:
Salam
Galikoume le mec de blade rakhfou 3eliya galtelikoum meca de blade talekou meni ha le3are.
Citation
ateï a écrit:
et tu les vois ce qui travaillent , ceux qui sont sur ce forum , ceux qui ont une vie saine ???
non !!.?
T'as mis des lunettes spéciales qui ne te eprmettent de voir que ce qui crachent et foutent la merd e ??
pourquoi se voiler les yeux ???
Citation
romh a écrit:Citation
ateï a écrit:
et tu les vois ce qui travaillent , ceux qui sont sur ce forum , ceux qui ont une vie saine ???
non !!.?
T'as mis des lunettes spéciales qui ne te eprmettent de voir que ce qui crachent et foutent la merd e ??
pourquoi se voiler les yeux ???
tu cache shamss bi algharbale toi
tes marcains de zabda st la race pure il ne font que taravailler maskane !!!!!!!!
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donyaya a écrit:Citation
bent lablade a écrit:
Salam
Galikoume le mec de blade rakhfou 3eliya galtelikoum meca de blade talekou meni ha le3are.
wallah a zine ila safi la3ya9a hadi awe tgoli 7na jayine mane el marikhe wallah khtake chafate chi 7alate jaya mane dike lablad tgoli 3amarhoume ma chafo na3ma wala elkhire tgoli 3amarhoume ma kano fi madrasa wala chafo 7adara et kay9ahrouni mali kaygolo rahome jayine mane tama
hamdoulilah il y a tjr oulad nass ou bnate nasse fine ma mchina juste baraka mane generalisation rahe machi ga3e nasse zound zound
Citation
donyaya a écrit:Citation
bent lablade a écrit:
Salam
Galikoume le mec de blade rakhfou 3eliya galtelikoum meca de blade talekou meni ha le3are.
wallah a zine ila safi la3ya9a hadi awe tgoli 7na jayine mane el marikhe wallah khtake chafate chi 7alate jaya mane dike lablad tgoli 3amarhoume ma chafo na3ma wala elkhire tgoli 3amarhoume ma kano fi madrasa wala chafo 7adara et kay9ahrouni mali kaygolo rahome jayine mane tama
hamdoulilah il y a tjr oulad nass ou bnate nasse fine ma mchina juste baraka mane generalisation rahe machi ga3e nasse zound zound