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erradinet a écrit:
Pourquoi les femmes ne disent jamais ce qu'elles pensent??
Nous les hommes sommes trés directs alors que les femmes sont plus indirects et parlent en enigme. Est-ce par peur ou quoi?? je comprends pas!
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erradinet a écrit:
Pourquoi les femmes ne disent jamais ce qu'elles pensent??
Nous les hommes sommes trés directs alors que les femmes sont plus indirects et parlent en enigme. Est-ce par peur ou quoi?? je comprends pas!
salamCitation
erradinet a écrit:
Pourquoi les femmes ne disent jamais ce qu'elles pensent??
Nous les hommes sommes trés directs alors que les femmes sont plus indirects et parlent en enigme. Est-ce par peur ou quoi?? je comprends pas!
, vs prenez la fuite 
, déjà qu'on à du mal à vs attraper 
... D'où le fait qu'ils ne soient pas très enclin à avouer leur sentiments, perçus par certains comme une faiblesse (car besoin de l'autre), une dépendance. C'est comme s'ils attendaient qu'une femme viennent les aider à changer la roue de leur décapotable... Et là, l'égo en prend un sacré coup, avec que l'attitude machiste reviennent au galop (après ce moment de faiblesse) faisant parfois sourire leur "sauveuse" ! Citation
Moh Tsu a écrit:
Salam
Ayant répondu à cette question à plusieurs reprises sous différentes formes, je décide de faire un copier/coller d'une réponse que j'espère répondra à ton interrogation. Et à l'avenir, pour bien comprendre les relations hommes/femmes, je te conseille de les percevoir sous la forme d'une partie d'échecs en vue de la réussite (bonheur). Et dans ce genre de jeu, les femmes ont plus à perdre et donc aiment prendre le temps pour savoir si ça vaut le coup, d'autres si c'est un bon coup ou donner "un coup" de pied... pour éviter le contre coup. Car contrairement aux hommes, c'est pas comme dans la pub Orangina "le même joueur joue encore", même après avoir été "secoué" par une mauvaise "party", expérience, pour elles qui galèrent en perdantes même en ayant gagner dans le divorce pour rejouer dans la cours qui prétendantes au bonheur.
Salamalikoum
Ta question est intéressante et je suppose que bien des gens sur ce forum et ailleurs se là sont posée au moins une fois dans leur vie.
La cause de cette démarche timorée à ses fondements psychosociologiques et trouve donc ses réponses en analysant l'histoire de vie (appelée aussi trajectoire) d'un chacun.
Ainsi, l'environnement culturel, religieux, etc., qu'on appelle des sphères socialisatrices sont déterminants dans la constitution de notre ego, notre personnalité.
Pour faire simple, je prends un exemple en me basant sur ma propre histoire. Je suis très timide (moins d'avant bien sûr) dans la mesure où mon éducation dispensée au Maroc fait qu'il y a une grande pudeur entre hommes et femmes, et même entre frères et sœurs. Il y a "une distance" qui est alors intériorisée. Et qui dit distance dit méconnaissance, donc préjugés. Et les préjugés sont une forme de peur de "l'autre qu'on ne connaît pas" et dont on a raison de se méfier dans la mesure où on n'a aucun point commun avec lui en apparence. Ainsi, il n'est pas rare d'entendre dire que les filles ou les garçons sont compliqués selon le point de vue sous lequel on se place. De ce fait, avouer ses sentiments, c'est faire un pas (le premier ?) vers l'inconnu, symbole de danger et perdition (un pas vers le gouffre ?). D'où la méfiance de beaucoup de jeunes gens qui préfèrent "faire connaissance" durant même plusieurs années. Car comme le dit si bien un proverbe berbère "on ne connaît une personne que lorsqu'on vit avec elle"... Et là, on se découvre ou redécouvre, parce que les relations extérieurs (publics = sorties, etc.) se font avec un sorte de jeu (des amoureux ?) et les deux "joueurs" ne maîtrisent pas forcement les règles du "je" de l'autre. Donc méfiance des deux côtés, avant de voir la bague au doigt. Encore, que certaines disent vouloir qu'on les pince pour qu'elles y croient... Comme quoi, les sentiments avoués ne sont que les reflets d'un soi qui disparaît avec eux et les attend de nouveaux pour respirer le bonheur, la vie en soi...
Et le fait d'avouer ses sentiments vers l'autre sans réponse provoque un malaise (souffle coupé), dans la mesure où le "je t'aime" équivaut à "j'aime toi" c'est à dire que je m'aime au travers de toi... Ainsi, si l'autre ne m'aime pas donc je ne m'aime pas. Ce qui a des répercussions sur "l'estime de soi", qui est très fragile chez les filles qui essaient souvent de s'ajuster à la situation, puisque rien n'est acquis d'entrée pour elle, même le plus simple des compliments qu'il faut gagner dans la séduction et le respect.
Pour les garçons, comme je le disais récemment dans le post mariage = prison, avouer ses sentiments c'est se placer volontairement sous la tutelle de la fille, et ils savent le pouvoir de l'amour déjà au travers de la relation œdipienne avec la mère et le redoutent. C'est souvent vécu pour eux comme un étouffement, un manque de liberté, dépendant du bien être procuré par l'autre... Et à leur liberté, les "gars", ils y tiennent
- Chéri, tu m'aimes ?
- Oui, je te l'ai dit cents mille fois
- Disouli, j'avais pas entendu
Amicalement
Môh Tsu
Sourc[www.yabiladi.com]
Ps : D'autres réponses de ma part pouvant répondre à tes interrogations se trouve ici même si je me répète un peu voire beaucoup :
[www.yabiladi.com]
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erradinet a écrit:
Pourquoi les femmes ne disent jamais ce qu'elles pensent??
Nous les hommes sommes trés directs alors que les femmes sont plus indirects et parlent en enigme. Est-ce par peur ou quoi?? je comprends pas!
trop mignon. 
.Citation
erradinet a écrit:
Pourquoi les femmes ne disent jamais ce qu'elles pensent??
Nous les hommes sommes trés directs alors que les femmes sont plus indirects et parlent en enigme. Est-ce par peur ou quoi?? je comprends pas!
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