Il est des larmes arides, brûlantes, étouffantes, Des larmes qui se taisent et se terrent dans le silence des mots, Sourdes, invisibles, déchirantes… Il est des larmes que le vent soulève Comme des grains de sables, Les emporte loin, vers les vastes plaines désertiques… Un jour peut-être, viendra la pluie, Un jour peut-être, il y aura des rivières…
Chère Louve, c’est toujours beau ce que tu écris, j’espère que tu n’es pas concernée par le thème de ton poème, car je n’aimerai te voir pleure par un chagrin, tu es un ange, et les les anges ne pleurent pas. Mes respects la gentille poète