Je fane comme une fleur Je coule comme un cadavre Je me noie dans mes pensées sombre ou l’on ne peut jamais respirer. Je suis face à un miroir où je vois mon reflet qui désire prendre sa liberté et se casser mais ses chaînes qui me nouent la gorge et les mains m’empêche d’avancer. Choisir entre sa liberté ou sa famille n’est guère un choix mais un couteau planté dans le cœur Ps: je vais très bien je l’avais juste écrit par plaisir même si il reflète qqlch de triste