Citation
Wicha49 a écrit:
Ça avance.
Citation
Petit Beurre a écrit:
Je dirais même plus: ça avance jusqu’à faire pshhit et macron va venir embrasser sa majesté à rabat ?
Disouli missiou le polisariou, disoli ton temp il li coumpti avant qui ti soit incrit dons la liste diel tiroriste internazional?
Tic toc tic toc ?
Citation
Wicha49 a écrit:
Pourquoi tu écris comme un débile ?
Citation
Petit Beurre a écrit:
Parcique ti comprend qui di cette manière ?
Tou yen a compris maintenont missiou li polisariyou??
Citation
Wicha49 a écrit:
Petit bourré
Citation
Sigus a écrit:
Pieds nickelés
Service amateur
Citation
Petit Beurre a écrit:
Ouiii??
Citation
marcopolobladi219 a écrit:
"Les premiers éléments issus des analyses techniques conduites ces derniers jours dans le cadre de l’enquête judiciaire confortent les informations avancées par le consortium de dix-sept médias, dont Le Monde, ayant mené l’enquête et par les constatations techniques d’Amnesty International."
Les données présentes sur le téléphone analysé ont permis de déterminer que l’appareil avait fait l’objet d’au moins une phase de repérage préalable à une attaque. On y retrouve en effet les mêmes adresses de courrier électronique que celles rattachées aux comptes Apple qu’utilise l’infrastructure d’attaque du client marocain de NSO Group.
Ces identifiants, propres à un seul client du logiciel espion, ont aussi été retrouvés chez les autres cibles marocaines de Pegasus, tels Omar Radi, un journaliste marocain actuellement incarcéré, Claude Mangin, l’épouse d’un militant du Sahara occidental lui aussi emprisonné au Maroc, mais aussi François de Rugy, un des ministres potentiellement ciblés par Pegasus."
Ces analyses font partie de la quinzaine qui ont déjà été réalisées par une task force installée dans les locaux de l’Anssi. C’est ici que se déroule le gros de l’enquête judiciaire, confiée par la section J3 (spécialisée dans la cybercriminalité) du parquet de Paris aux policiers de l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication ainsi qu’à la direction générale de la sécurité intérieure.
Les vérifications sont réalisées à la fois sur des personnes qui ont été nommées dans les médias, mais aussi des personnes désireuses de lever le doute sur une éventuelle compromission. Ces victimes potentielles y sont auditionnées, parfois longuement, pendant que leur téléphone est analysé suivant la méthode publiée par le Security Lab d’Amnesty International.
Ce dernier a dessillé les yeux de l’Etat français. En effet, les agents chargés de la sécurité informatique des hauts responsables, au sein de l’Anssi notamment, ne disposaient avant les publications du « Projet Pegasus » d’aucun élément technique leur permettant de détecter la présence ou non du logiciel espion sur un smartphone. La spécificité de Pegasus, relativement peu répandu, très discret et fonctionnant sur des terminaux personnels difficiles à analyser, compliquait jusqu’à présent toute investigation.
Le journal LE MONDE du 29 juillet 2021
Les services israéliens eux, reconnaissent le cyberespionnage massif de leur client...et ont dépêché en urgence leurs ministre de La Défense à Paris pour s'expliquer et s'engager à y mettre fin