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Paris : Du selham du Roi au burnous des Spahis
11 novembre 2018 20:55
C'est la classe made in Morocco.
Ce n'est pas donné à tout le monde.
[b]ou on est patriote, ou on est traître. Il n'y a pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison. [/b]
11 novembre 2018 21:04
D'autant qu'il va à merveille avec l'habit moderne, le slham est l’étoffe faite pour se pavaner, je ne dirais pas non a un retour massive vers l'adoption de ce vetement noble!
11 novembre 2018 21:28
Je dois avouer que le prince moulay El Hassan était particulièrement chic. Je suis sûr qu'il en a mis plein les yeux à Trump thumbs up. Que Dieu protège le roi et son fils et que Dieu protège le Maroc, mon pays d'origine et la France, mon pays de cœur.
12 novembre 2018 10:16
la classe n'est pas donné à tout le monde
le petit prince est d'une prestance pour son age , c'est rare
il est en pleine "formation"
I
12 novembre 2018 11:54
C est vrai.chez moi tout est MarocainIn love

Le design made in Morocco est populaire et apprécié par tous les professionnels de la mode.

un véritable trésors d innovations et d idéesthumbs up



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/11/18 11:55 par Itwasntme.
f
12 novembre 2018 14:35
Ils sont tous les deux trop beaux et trop chics, j'adore aussi le chapeau de M6, ça lui va à merveille.
i
12 novembre 2018 18:07
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J'ai porté le burnous de mon pere pendant les hivers dans l'internat El Batha à Fès
C'est un habit très commode pour marcher dans la rue, mieux que la jellaba. On peut adapté cet habit soi meme selon les degrés du froid.
Pendant le froid la liaison se met derrière le dos la capuche sur la tête et envoyer la moitié sur le dos. Le Selham épouse parfaitement la taille du corps, le froid devient intraitable. le soir assis il peut épouser la position assise, tout en gardant les mains libres à l'intérieur. C'est une ingénierie que l'on veuille ou pas.


.
O
12 novembre 2018 19:32
Pierre Loti a très probablement évoqué le tissu en laine fine non cousu dont le sultan se drape le corps entre la djellaba et le burnous. Le roi le porte encore aujourd'hui sur son cheval le jour des sorties pour les prières des aïds. Cette pièce du costume s'appelle"asemgwer" et était portée notamment par les hommes du Haut-Atlas oriental, Ayt Yafelman, jusqu'au milieu du XXe siècle.
 
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