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Napolitano Gaviria a écrit:
Tu dois certainement avoir la nostalgie du bled, ne connaissant de lui que de périodiques retrouvailles en famille, couscous, ptits gâteaux et thé..ou faire partie des sangsues du palais ou gravitant autour pour parler ainsi sans vergogne et sans aucun respect vis-à-vis des marocains libres..
Le principal ennemi des marocains est l'anarchie qui le gouverne arbitrairement.
Là, ce n'est qu'une goutte de trop mais s'accumule au tsunami de la Révolution qui finira tôt ou tard par engloutir toute cette injustice.
Et qu'on le veuille ou non, l'Histoire nous apprend que c'est inévitable. Le despotisme et l'archaïsme moyen-âgeux spoliateur n'ont que trop perduré et ruiné le peuple marocain à tous niveaux
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casablancaise02 a écrit:
Tu peux speculer sur ma personne, ca me fait une belle jambe
Et a choisir, autant etre une sangsue qu'une charogne qui attend les corps en decomposition en guise de festin.
Le respect et la liberte des Marocains ne te preocupent guere et ils ne t'ont pas attendu pour, la seule chose qui t'interesse c'est de distiller ton venin alors arrete un peu de parler de l'Histoire, les gens de ton acabit n'en ferons jamais parti.
Toi tu es plutot du genre a allumer la meche et aller te cacher en attendant de voir comment ca se passe.
"Il ne faut pas perdre son temps a avancer des arguments de bonne foi face a des gens de mauvaise foi" dixit Feu Sa Majeste le Roi Hassan II
Comprendra qui veut...
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Napolitano Gaviria a écrit:
Tiens, tu me fais penser à ça. Bonne lecture
Parabole de Malcolm sur la relation CASTE/MASSE...
“Il y avait deux types d’esclaves : ceux des champs et ceux de la maison. Le noir d’intérieur vivait dans le foyer, près de son maître, ou bien dans la cave, ou bien au grenier. Il était vêtu et le maître lui laissait les restes de sa table et il révérait son maître. Je crois qu’il aimait son maître plus que le maître s’aimait lui-même : quand le maître disait “– Nous avons une jolie maison”, il disait “– oh patron nous avons une jolie maison !” Si la maison du maître brûlait, le noir d’intérieur se précipitait pour éteindre le feu ! Quand le maître était malade, il disait “– qu’est-ce qui se passe ?
Nous sommes malades !”
“Nous” vous voyez, c’était la façon de penser du noir d’intérieur. Quand un autre esclave venait pour lui dire : “– fuyons, il faut se séparer de
ce maître qui nous maltraite”, “– Et pourquoi ? Que pourrions-
nous trouver de mieux qu’ici ? Fuir ? Je ne veux pas m’enfuir moi !” Ça c’est le nègre d’intérieur.
En ce temps là on disait nègre d’intérieur et on le dit encore aujourd’hui car c’est une espèce qui n’est pas près de disparaître.”
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Napolitano Gaviria a écrit:
@ Khalid et LeMask,
en dehors de ce qu'il en est vraiment du cas de feu ce Monsieur, le peuple réclame un système politique digne du 21ème siècle qui le respecte et qui le représente vraiment !