Citation
*IGNISAID* a écrit:
As-salamu alaykum
al Khidr :
NON ! Le Prophète ne peut légiférer en quoi que ce soit si dans le Coran il n'y a aucune trace. Exemple : La lapidation des adultères mariés libres. Il y en a eues après la naissance de l'Islam, mais dans le Coran il n'y a strictement aucune trace, ce qui veut dire que ceux qui l'ont appliquée n'avaient aucune légitimité juridique.
Ce n'est pas la peine de me sortir l'abrogation de la récitation qui malgré cela maintient la règle car c'est faut. Seul Allah peut abroger un verset ou des versets ou les faire oublier, mais ils les remplace par des versets semblables ou meilleurs. La Sunna ne peut pas légiférer ou abroger des versets.
Citation
al Khidr a écrit:
Wa aleykoum as salam
Si
répugner ce qui fait parti de ce qu'Allah a légiféré est du koufr majeur
Quant au hadith que tu cite il est faible pour ce que j'en sais.
Citation
al Khidr a écrit:
Wa aleykoum as salam
Si
répugner ce qui fait parti de ce qu'Allah a légiféré est du koufr majeur
Quant au hadith que tu cite il est faible pour ce que j'en sais.
Citation
in15 a écrit:
Dans le coran, il me semble qu'il y a de la mixité chez les musulmans qui possèdent des valets femme.
4.25. Et quiconque parmi vous n'a pas les moyens pour épouser des femmes libres (non esclaves) croyantes, eh bien (il peut épouser) une femme parmi celles de vos esclaves croyantes. Allah connaît mieux votre foi, car vous êtes les uns des autres (de la même religion). Et épousez-les avec l'autorisation de leurs maîtres (Waliy) et donnez-leur un mahr convenable; (épousez-les) étant vertueuses et non pas livrées à la débauche ni ayant des amants clandestins. Si, une fois engagées dans le mariage, elles commettent l'adultère, elles reçoivent la moitié du châtiment qui revient aux femmes libres (non esclaves) mariées. Ceci est autorisé à celui d'entre vous qui craint la débauche; mais ce serait mieux pour vous d'être endurant. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux .
Citation
Abdoulaye06 a écrit:
Notre Prophète (pbsl) a une fois refusé de manger de la viande de lézard, pourtant parfaitement licite selon le Coran, parce qu'il éprouvait de la répugnance à la vue de cette viande.
kufr majeur dans ce cas ?
Citation
*IGNISAID* a écrit:
As-salamu 'alaykum
in15:
Si, une fois engagées dans le mariage, elles commettent l'adultère, elles reçoivent la moitié du châtiment qui revient aux femmes libres (non esclaves) mariées. Ceci est autorisé à celui d'entre vous qui craint la débauche; mais ce serait mieux pour vous d'être endurant. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
Question : Peut-on savoir quelle était le châtiment des femmes libres mariées en cas d'adultère ?
Citation
al Khidr a écrit:
On parle de législation
Tu parles de goûts alimentaires.
Citation
al Khidr a écrit:
Wa aleyka as salam
Tu va pas repartir avec tes histoires (ambiguités) d'abrogation
Tu n'as pas suffisamment discuté de cela avec suffisamment de gens ici ?
En tout cas compte pas sur moi pour me lancer là-dedans avec toi.
D'autant que c'est clairement hors sujet mais bon
Quant au fait que le Prophète n'a pas "le statut" pour légiféré, qui a dit cela ?
Citation
Abdoulaye06 a écrit:
Et bien dans ce cas, disons que le choix polygamie/monogamie relève de "goûts matrimoniaux".
Et qu'une femme (ou un homme) à qui la polygamie répugne ne commet ni kufr majeur, ni encore moins apostasie comme le prétend Mr Macaron.
Citation
in15 a écrit:
Wa salam,
Question : Peut-on savoir quelle était le châtiment des femmes libres mariées en cas d'adultère ?
50 coups de fouets au lieu de 100 ?![]()
Sinon, je ne sais pas. C'est quoi la réponse ?
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*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk
al Khidr :
Le problème chez toi mon frère c'est que quand quelque chose te gêne tu fuis car tu n'est pas en mesure de répondre. Alors on reçoit de ta part toujours la même parole "amalgame", "ambiguïté". On te connaît dans ce forum.
Citation
al Khidr a écrit:
Si tu veux y croire c'est toi que cela regarde.
Mais ta comparaison avec la viande n'est pas sérieuse une seconde, et je peine à croire que même pour te convaincre tu arrive à penser qu'elle le serait (sérieuse) (la comparaison)
Celui qui répugne ce qu'Allah a légiféré est mécréant.
Non seulement cela est exposé dans le Coran, mais en plus c'est logique.
La seule chose où il pourrait y avoir peut-être une nuance (il faudrait voir les propos des savants), c'est au sujet de la répulsion naturelle.
Celle que pourrait éprouver une femme par jalousie naturelle en l'occurrence.
Mais concernant l'homme, lui je ne vois pas quelle excuse on peut lui trouver sur cette question de la polygamie.
Pour lui est doit bien n'être question que de répulsion subjective.
Citation
al Khidr a écrit:
Wa aleykoum as salam
Si
répugner ce qui fait parti de ce qu'Allah a légiféré est du koufr majeur
Quant au hadith que tu cite il est faible pour ce que j'en sais.
Citation
a écrit:
Pourtant c'est bien le Coran qui fait la comparaison entre mariage et nourritures sur une question de licéité (sourate 5, verset 5) ?
Citation
a écrit:
La polygamie est licite, mais la monogamie l'est aussi. Choisir l'un au détriment de l'autre, par préférence ou répugnance/répulsion, est la liberté du croyant,
Citation
*IGNISAID* a écrit:
As-salamu 'alaykum
al Khidr :
Quant au hadith que tu cite il est faible pour ce que j'en sais.
Bien entendu celui-ci a été considéré comme faible par Al-Albânî. Rapporté par Abû Dâwoud, Ibn Mâdja et authentifié par al-Hâkim -
Sheikh Sâlih al-Fawzân dit qu’il y a divergence sur l’authenticité, la liaison et le rapport de ce hadîth, mais il indique clairement que le divorce est blâmable auprès d’Allâh - Subhânahu wa Ta’âla - même si cela est permis. Il y a des choses permises mais qui sont réprouvées par Allâh car celles-ci causent du tort. Mais ce qui ne cause aucun tort parmi les choses permises est aimé par Allâh - Subhânahu. Ce hadîth indique que le divorce est accepté et permis, mais Allâh le réprouve quand il n’y a pas de raison le justifiant. Allâh aime le fait que le couple soit ensemble. Ainsi, ce hadîth constitue une preuve que le divorce est blâmable sans raison le justifiant [2].
SHeikh Ibn ’Uthaymîn (rahimahullâh) dans le même sens, dit que ce hadîth indique que le licite comporte des choses qu’Allâh déteste. Et parmi ces choses, il y a le divorce, car le divorce est incompatible avec le commandement lié au mariage. Car l’ordre du mariage participe à l’union du couple, alors que le divorce les éloigne entre eux, et cela est incompatible avec le but légiféré dans le souhait du mariage [3].
SHeikh ’Abdel-’Azîz ar-Râdjihî dit que ce hadîth est une preuve que le divorce est une chose permise, mais qu’elle est la plus détestée par Allâh [4].
Notes :
[2] Tasshîl al-Ilmâm bi-fiqhi al-Ahâdîth min Bouloûgh il-Marâm du SHeikh Sâlih al-Fawzân, 5/7-8
[3] Charh Bouloûgh ar-Marâm min Adilat il-Ahkâm de Ibn ’Uthaymîn, 4/408-409
[4] Al-Ifhâm fî Charh Bouloûgh il-Marâm de SHeikh ’Abdel-’Azîz ar-Râdjihî, 2/206
Citation
in15 a écrit:
Wa salam,
Question : Peut-on savoir quelle était le châtiment des femmes libres mariées en cas d'adultère ?
50 coups de fouets au lieu de 100 ?![]()
Sinon, je ne sais pas. C'est quoi la réponse ?
En effet, mais la question n'est pas là.Citation
al Khidr a écrit:
Si je suis répugné à l'idée de manger une pomme, pour autant cela ne veut pas dire que je ne répugne le fait de pouvoir manger des pommes en sont caractère légiféré
Citation
Abdoulaye06 a écrit:
En effet, mais la question n'est pas là.
Si manger des pommes me répugne, ou la chair de lézard, ou bien la polygamie ou l'esclavage, j'ai tout à fait le droit de dire ma répugnance des pommes ou mon refus de la polygamie sans me faire traiter d'apostat.
Du moment que j'écarte une option halal, pour rester sur d'autres options tout aussi halal, personne n'a le droit de juger mes croyances pour ça.
Citation
al Khidr a écrit:
Tu t'obstine à vouloir comparer ce qui n'est pas comparable.
Je pense que cela ne sert à rien de discuter.
Tu préfère visiblement t'en tenir à ce que tu préfère croire.
Je t'invite tout de même à méditer le sujet, parce que si les savants ont raisons et que ta position fait de toi un mécréant concrètement parlant, juridiquement parlant, alors cela n'est évidemment pas rien.
Je pense que rien que le risque vaut le coup de bien réfléchir.
Mettre son égo et ses envies de côté pour cela.
Parce qu'au Jour du Jugement il sera trop tard pour dire "je pensais que ceci, je pensais que cela".