Citation
latif jarir a écrit:
rebonjour,
Maroc/Etats-Unis Hillary Clinton quitterait les Affaires étrangères
Hillary Clinton quitterait le Secrétariat d’Etat aux Affaires étrangères, son successeur pourrait être John Kerry, l’ex-candidat démocrate à la présidentielle de 2004 et depuis janvier 2009, président de la commission des Affaires étrangères au Sénat.
A l’écoute du Maroc sur le dossier du Sahara, dans une administration démocrate, habituellement proche des thèses du Polisario, le départ de Hillary Clinton des affaires étrangères, s’il s’avère exact, est tout sauf une bonne nouvelle, pour le Royaume.
Une nouvelle figure politique est pressentie pour prendre les commandes de la diplomatie américaine. Hillary Clinton quitterait son poste, son successeur pourrait être John Kerry, l’ex-candidat démocrate à la présidentielle de 2004, et depuis janvier 2009, président de la commission des affaires étrangères au Sénat.
L’ancienne première dame ne chômera pas pour autant. Elle est pressentie pour succéder au ministre de la Défense, Robert Gates ou encore mieux prendre la vice-présidence en prévision des élections présidentielles de 2012.
Bien avant l’annonce officielle de ce léger remaniement, John Kerry a d’ores et déjà endossé l’habit de chef de la diplomatie, promettant au régime de Omar El Béchir de le retirer de la liste des pays soutenant le terrorisme. Laquelle est justement établie par le Département d’Etat. Mardi 4 janvier, au cours d’une visite au Soudan, la quatrième depuis qu’il préside la commission des Affaires étrangères, il a, selon une dépêche de l’AFP, déclaré que « le Soudan est à un moment charnière (…) au-delà du référendum, quelle qu’en soit l’issue, au moment où nous travaillons à améliorer la situation humanitaire dans la région ».
L’information du probable départ de Hilary Clinton, circule avec force aux Etats-Unis, la presse américaine et des médias arabes, proches des milieux pétrodollars, l’ont fortement relayé avec de larges commentaires. Si au Moyen-Orient, ce probable remaniement dans l’administration de Barack Obama a été traité selon une approche bien spécifique, son incidence sur le dossier israélo-palestinien et les relations américano-syriennes, au Maroc, pourtant concerné par cette redistribution des rôles au pays de l’Oncle Sam, l’information n’a pas encore fait un grand bruit. A l’écoute du Maroc sur le dossier du Sahara, dans une administration démocrate, habituellement proche des thèses du Polisario, le départ de Hillary Clinton des Affaires étrangères, s’il s’avère exact, est tout, sauf une bonne nouvelle pour le royaume.
L’ancienne première dame s’était rendue au Maroc, les 2 et 3 novembre 2009 à l’occasion de la sixième édition du Forum pour l’Avenir qui s’est tenu à Marrakech. En revanche, elle n’a effectué aucune visite en Algérie en 2010. Ce qui n’est guère un bon point pour le président Abdelaziz Bouteflika, qui avait promis aux Algériens de réhabiliter son pays sur la scène internationale.
Durant son séjour marocain, Hillary Clinton avait accordé un entretien à la très officielle MAP, dans lequel, elle avait essayé de dissiper les inquiétudes des responsables américains sur un éventuel changement de l’administration Obama sur la question du Sahara, soulignant que le plan d’autonomie proposé par le Maroc « a été amorcé sous l’Administration Clinton. Il a été réaffirmé sous l’Administration Bush et il demeure la politique des Etats-Unis, sous l’Administration Obama. Actuellement, nous soutenons le processus des Nations Unies, car nous estimons qu’un règlement pacifique des difficultés, qui existent avec vos voisins de l’est, du sud, de l’ouest, servira les intérêts de tout le monde. Je ne veux pas qu’il y ait de doute, dans la région ou ailleurs, au sujet de notre politique qui demeure inchangée ». C’était en novembre 2009. Partira ou partira pas. De l’autre côté de l’Atlantique, les spéculations vont bon train. Hillary aussi ne se prive pas de participer à ce jeu. Le 27 décembre, dans un entretien accordé à Time Magazine, elle y annonçait, «qu’occuper la tête de la diplomatie américaine, est sa dernière fonction publique».
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ALI1955 a écrit:Citation
latif jarir a écrit:
rebonjour,
Maroc/Etats-Unis Hillary Clinton quitterait les Affaires étrangères
Hillary Clinton quitterait le Secrétariat d’Etat aux Affaires étrangères, son successeur pourrait être John Kerry, l’ex-candidat démocrate à la présidentielle de 2004 et depuis janvier 2009, président de la commission des Affaires étrangères au Sénat.
A l’écoute du Maroc sur le dossier du Sahara, dans une administration démocrate, habituellement proche des thèses du Polisario, le départ de Hillary Clinton des affaires étrangères, s’il s’avère exact, est tout sauf une bonne nouvelle, pour le Royaume.
Une nouvelle figure politique est pressentie pour prendre les commandes de la diplomatie américaine. Hillary Clinton quitterait son poste, son successeur pourrait être John Kerry, l’ex-candidat démocrate à la présidentielle de 2004, et depuis janvier 2009, président de la commission des affaires étrangères au Sénat.
L’ancienne première dame ne chômera pas pour autant. Elle est pressentie pour succéder au ministre de la Défense, Robert Gates ou encore mieux prendre la vice-présidence en prévision des élections présidentielles de 2012.
Bien avant l’annonce officielle de ce léger remaniement, John Kerry a d’ores et déjà endossé l’habit de chef de la diplomatie, promettant au régime de Omar El Béchir de le retirer de la liste des pays soutenant le terrorisme. Laquelle est justement établie par le Département d’Etat. Mardi 4 janvier, au cours d’une visite au Soudan, la quatrième depuis qu’il préside la commission des Affaires étrangères, il a, selon une dépêche de l’AFP, déclaré que « le Soudan est à un moment charnière (…) au-delà du référendum, quelle qu’en soit l’issue, au moment où nous travaillons à améliorer la situation humanitaire dans la région ».
L’information du probable départ de Hilary Clinton, circule avec force aux Etats-Unis, la presse américaine et des médias arabes, proches des milieux pétrodollars, l’ont fortement relayé avec de larges commentaires. Si au Moyen-Orient, ce probable remaniement dans l’administration de Barack Obama a été traité selon une approche bien spécifique, son incidence sur le dossier israélo-palestinien et les relations américano-syriennes, au Maroc, pourtant concerné par cette redistribution des rôles au pays de l’Oncle Sam, l’information n’a pas encore fait un grand bruit. A l’écoute du Maroc sur le dossier du Sahara, dans une administration démocrate, habituellement proche des thèses du Polisario, le départ de Hillary Clinton des Affaires étrangères, s’il s’avère exact, est tout, sauf une bonne nouvelle pour le royaume.
L’ancienne première dame s’était rendue au Maroc, les 2 et 3 novembre 2009 à l’occasion de la sixième édition du Forum pour l’Avenir qui s’est tenu à Marrakech. En revanche, elle n’a effectué aucune visite en Algérie en 2010. Ce qui n’est guère un bon point pour le président Abdelaziz Bouteflika, qui avait promis aux Algériens de réhabiliter son pays sur la scène internationale.
Durant son séjour marocain, Hillary Clinton avait accordé un entretien à la très officielle MAP, dans lequel, elle avait essayé de dissiper les inquiétudes des responsables américains sur un éventuel changement de l’administration Obama sur la question du Sahara, soulignant que le plan d’autonomie proposé par le Maroc « a été amorcé sous l’Administration Clinton. Il a été réaffirmé sous l’Administration Bush et il demeure la politique des Etats-Unis, sous l’Administration Obama. Actuellement, nous soutenons le processus des Nations Unies, car nous estimons qu’un règlement pacifique des difficultés, qui existent avec vos voisins de l’est, du sud, de l’ouest, servira les intérêts de tout le monde. Je ne veux pas qu’il y ait de doute, dans la région ou ailleurs, au sujet de notre politique qui demeure inchangée ». C’était en novembre 2009. Partira ou partira pas. De l’autre côté de l’Atlantique, les spéculations vont bon train. Hillary aussi ne se prive pas de participer à ce jeu. Le 27 décembre, dans un entretien accordé à Time Magazine, elle y annonçait, «qu’occuper la tête de la diplomatie américaine, est sa dernière fonction publique».Citation
ALI1955] a écrit:
Encore des ragots!
L'administration américaine ne se rangera jamais du côté des terroristes du PoliZble, ni avec ces mafieux qui dirigent l'Algérie,. et quoi qu'il arrive, le Sahara est juridiquement, historiquement marocain, et tous ces imposteurs n'auront jamais gain de cause contre la position marocaine, des marocains et des sahrouis marocains..
rebonjour,(Citation
sara** a écrit:
Salam
Le sahara est marocain les changements en USA ne nous feront pas peur comme à 2011,2012..........