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Boujemaa73 a écrit:
Encore des cinéastes déglingués qui prennent plaisir à salir l'image de notre pays.
Surement un élève de Nabil Ayouch.
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Sakina2020 a écrit:
il est possible qu'il s'était fait avoir...ou bien il voulait faire le buzz pour attirer plus d'attention et de vues donc plus de fric. En tout cas, Alger est prête à le primer et à même rembourser le CCM en double.
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Berkshire a écrit:
Le Maroc sombre de plus en plus dans l'intégrisme intellectuel et politique. Interdire une oeuvre cinématographique nationale pour ça alors que des centaines d'oeuvres étrangères totalement contraires aux valeurs nationales, nationalistes et religieuses du pays sont autorisées.
Ceci dit, cette interdiction est comme toutes les autres: complètement contre-productive. Non seulement ça va booster les performances de l'oeuvre cinématographique, mais la chanson en question inconnue jusqu'ici au Maroc, deviendra célèbre et fera le buzz ... C'est toujours pareil, et on ne retient pas la leçon. Interdire en 2022 un contenu, revient à le booster gratuitement vers des sommets que ses auteurs n'auraient jamais espérés !!!
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Berkshire a écrit:
Le Maroc sombre de plus en plus dans l'intégrisme intellectuel et politique. Interdire une oeuvre cinématographique nationale pour ça alors que des centaines d'oeuvres étrangères totalement contraires aux valeurs nationales, nationalistes et religieuses du pays sont autorisées.
Ceci dit, cette interdiction est comme toutes les autres: complètement contre-productive. Non seulement ça va booster les performances de l'oeuvre cinématographique, mais la chanson en question inconnue jusqu'ici au Maroc, deviendra célèbre et fera le buzz ... C'est toujours pareil, et on ne retient pas la leçon. Interdire en 2022 un contenu, revient à le booster gratuitement vers des sommets que ses auteurs n'auraient jamais espérés !!!
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Boujemaa73 a écrit:
Ces types là n'ont pas cette conscience ou attachement aux valeurs de la société marocaine.
Ce sont des bobos déconnectés qui se croient au dessus des autres du fait de leur art.
C'est pas tant la chanson dont parle l'article qui me gêne, mais plutôt le scenario qui joue avec les thèmes de la dépravation ou de la débauche.
Ces "cinéastes" sont les sous traitant des orientalistes qui aiment pervertir la vision de la femme arabe.
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Berkshire a écrit:
Le Maroc sombre de plus en plus dans l'intégrisme intellectuel et politique. Interdire une oeuvre cinématographique nationale pour ça alors que des centaines d'oeuvres étrangères totalement contraires aux valeurs nationales, nationalistes et religieuses du pays sont autorisées.
Ceci dit, cette interdiction est comme toutes les autres: complètement contre-productive. Non seulement ça va booster les performances de l'oeuvre cinématographique, mais la chanson en question inconnue jusqu'ici au Maroc, deviendra célèbre et fera le buzz ... C'est toujours pareil, et on ne retient pas la leçon. Interdire en 2022 un contenu, revient à le booster gratuitement vers des sommets que ses auteurs n'auraient jamais espérés !!!
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Boujemaa73 a écrit:
Je ne suis pas d'accord, une fois de plus.
A ce moment là, à t'écouter, il ne doit pas y avoir d'autorité de l'audiovisuel ou des œuvres cinématographique.
La liberté ne s'apprécie que lorsqu'elle s'exerce dans un cadre régulé par des règles et des valeurs communes. autrement ça s'appelle l'anarchie.
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Sakina2020 a écrit:
C'est à double tranchant. Si tu ouvres grand la porte, tu risques de perdre le contrôle, n'oublions pas qu'il y a une partie de la société qui n'hésitera pas à utiliser la violence et à même lyncher ou tuer ces gens si l'état n'agît pas.
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AL MASSIRA a écrit:
Je ne suis d'accord avec toi cette fois, ça m'arrive de l'être. Il faut des lignes rouges. Nous suivons une évolution démocratique, certes lente et longue, mais elle est positive. Pour moi ces lignes rouges doivent exister. D'aucuns diront, oui mais il suffit de ne pas aller voir le film. Non une œuvre projetée ou vendue publiquement doit respecter un minimum les valeurs de la société et du pays. C'est pareil que si on voulait autoriser les caricatures sur notre prophète. C'est une autre ligne rouge d'une autre nature.
Avec les génération dans des années ou des dizaines d'années, les lignes vont bouger et ce qui est interdit aujourd'hui ne le sera plus. Très souvent on se réfère (attention je ne parle pas de toi) aux Européens comme modèle. On oublie qu'ils ont une société différente, une Histoire différente et plusieurs siècles d'évolution sociale.
Nos lignes rouges sont dans notre devise: Dieu, Patrie, Roi. C'est constitutionnel.
PS: ce film aurait pu être présenté chez Benbatouche puisqu'il a son propre festival de cinéma. Ils auraient été reçu comme des princes et passé en titre principal sur la TV algérienne.
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Berkshire a écrit:
Oui mais quand c'est encadré par la loi, et non pas par l'appréciation émotionnelle d'une commission selon le contexte et la sensibilité du moment !!! C'est ça l'anarchie plutôt, c'est une commission qui interdit comme bon lui semble selon des critères non actés.
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Berkshire a écrit:
Ces lignes rouges se resserrent malheureusement et le cadre "autorisé" se rétrécit avec les années. Ce film aurait été autorisé en 2005 ou 2010 sans problème.
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Berkshire a écrit:
Oui mais quand c'est encadré par la loi, et non pas par l'appréciation émotionnelle d'une commission selon le contexte et la sensibilité du moment !!! C'est ça l'anarchie plutôt, c'est une commission qui interdit comme bon lui semble selon des critères non actés.
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AL MASSIRA a écrit:
Je ne crois pas, sur d'autres thèmes peut-être, pas sur le Polisario. L'Algérie est monté de plusieurs crans au niveau de son hostilité. Elle cherche toutes les failles pour s'y engouffrer. Il ne faut pas lui faciliter la tâche. Malheureusement ça nous retarde dans notre évolution mais nous avons un ennemi qui n'a pas son équivalent dans le Monde.
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