Il se trouve que j'ai fait la connaissance d'un homme résidant à Londres d'origine de Dubai lors de mon séjour au Maroc. C'est quelqu'un de très bien éduqué, qui ne m'a nullement dragué, la rencontre s'est faite naturellement dans un restaurant. Moi j'habite Paris, mais il a paru très attaché au bout d'une semaine. Il me semble qu'il voudrait une relation sérieuse aboutissant à un mariage car il demande à connaître ma famille, et veut me rendre visite a Paris tous les week end. Il se trouve que je le trouve très bien élevé, très gentil, physiquement ca peut aller, mais il y a un problème. Déjà au niveau de la langue, on communique en anglais car son arabe je ne le comprends pas et il parle pas francais, et surtout, le mode de vie diffère. Il est très riche et habitué à la facilité. J'ai peur que tous les gens de labas ait tellement d'argent qu'ua bout de quelques année de mariage ils jettent leur femme pour une autre car bcp de filles courent apres les hommes plutot aisés comme lui.
c'est FORTEMENT DECONSEILLE de se marier avec ces gars-là c des conseils de frère que jte donne
ils font tous comme ça au début ils parlent de sérieux et de mariage alors qu'en réalité ils sont déjà mariés mais comme ils sont infidèles et insatisfaits alors ils draguent à Paris et Londres les maghrebines en leur promettant les merveilles
une fois que t'arrive là-bas tu travailleras comme une esclave de 5h00 à 23h et le gars il va t'oublier vite pour ensuite appeler les flics pour qu'ils t'accusent de débauche ensuite t'arrive au commissariat et c'est parti pour les gifles et les abus sexuels
c pourtant connu ce phénomène avec les gars du Golfe
demandes à des tas de filles qui sont parties là-bas elles te diront le calvaire qu'elles ont vécu
soit sûre d'une chose: ils haient les maghrébins !!!
j'espère que les autres yabiladiens interviendront pour te donner leur avis mais je connais les réponses à l'avance
alors à bon entendeur, salut
PS: y a pas que l'argent qui compte, quitte à manger des pierres et garder son honneur
Les mariages de jouissance, un commerce estival fleurissant au Yémen Par Al Quds Al Arabi (Londres)
Dans son édition du samedi 21 août, le quotidien « Al-Quds al-Arabi » a consacré un article aux « mariages de jouissance que de riches Saoudiens contractent avec des Yéménites, l’espace d’un été ». Khaled al-Hamadi écrit depuis Aden que « les organisateurs de voyages utilisent ce tourisme florissant pour pallier la désaffection des touristes européens, qui boudent le Yémen depuis plusieurs années (situation sécuritaire et instabilité régionale obligent) ». Il souligne que les hôtels offrent plus leurs services aux Saoudiens et aux autres ressortissants du Golfe qu’aux Yéménites. Le quotidien précise que « les cybercafés sont pris d’assaut par de jeunes Yéménites, à la recherche de rencontres avec les touristes saoudiens ». Les jeunes filles reconnaissent avoir « réussi à transformer les discussions virtuelles en contacts téléphoniques, suivis de rencontres ». Plusieurs d’entre elles affirment chercher, grâce à ces rencontres estivales, un exutoire à leur quotidien, à la pauvreté et à l’absence de perspectives de mariage avec des Yéménites, souvent démunis ».
Touria Tiouli, franco marocaine , violée et accusée à Dubaï En vantant les charmes de Dubaï, centre commercial et touristique des Emirats arabes unis, un hebdomadaire français écrivait : «Au risque de traumatiser les incrédules, à Dubaï on peut vivre comme partout ailleurs sans tchador. Dans ce pays musulman, on peut boire de l'alcool dans tous les hôtels et s'éclater en boîte de nuit. Et s'il y a un endroit où les femmes peuvent se promener seules en toute sécurité, c'est bien ici. Il faut simplement se comporter en touriste responsable, en respectant les habitants et leurs traditions.»
Touria Tiouli, 39 ans, de nationalité française, née au Maroc, élevée et scolarisée en France, originaire de Limoges, divorcée, mère d'un garçon de 14 ans, est retenue à Dubaï par la justice émiratie depuis le 14 octobre. Elle n'a pas respecté les traditions qui commandent de ne jamais avoir maille à partir avec un Emirati de souche.
«Gens de confiance». Le soir de son anniversaire, cette chargée de mission en marketing décide d'aller boire un verre du Coca-Cola, disent ses amis dans une discothèque huppée et cosmopolite du centre. Elle connaît bien l'endroit. C'est sa troi sième mission à Dubaï, elle parle couramment l'anglais et l'arabe. Elle connaît aussi le directeur de l'établissement, discute avec trois de ses amis qui lui offrent une consommation en début de soirée. Vers minuit, lorsqu'elle commande un taxi pour rentrer à son hôtel, les trois amis du directeur lui proposent de la raccompagner. «Elle ne s'est pas méfiée, ces hommes n'avaient pas cherché à la draguer, c'étaient des connaissances du patron de la boîte, donc des gens de confiance», explique une amie du comité de soutien à Limoges (1). Ils l'embarquent dans un quartier excentré, la violent à tour de rôle avant de la raccompagner à son hôtel au petit jour. Touria Tiouli hésite, puis finit par porter plainte, se croyant protégée par son statut de Française et ses liens professionnels avec la mission économique du consulat de France à Dubaï. «Je pleurais, et j'ai vite compris que mon récit n'émouvait pas du tout les policiers», raconte-t-elle à Libération, par téléphone.
Le lendemain, les policiers la convoquent pour un complément d'information, lui passent les menottes et la conduisent à la prison des femmes de Dubaï. Deux de ses agresseurs ont été interpellés, mais, sur la foi de leurs déclarations, c'est elle qu'on accuse : de s'être prostituée, d'avoir con sommé de l'alcool et d'être montée avec des inconnus en voiture. Elle est finalement inculpée de «relation sexuelle adultérine», un des interpellés ayant reconnu une relation sexuelle «consentie». D'après une source proche du consulat, le troisième homme, celui qui n'a pas été interpellé, appartiendrait à une «très bonne» famille de Dubaï. Selon la charia, en vigueur aux Emirats arabes unis, toute relation sexuelle hors mariage est adultérine.
«Je ne dors plus.» Touria a passé cinq jours en détention. Le consulat français l'a fait libérer sous caution, mais elle n'a pas le droit de quitter le pays, son passeport est retenu par les autorités de Dubaï, en l'attente du procès. Elle risque six mois de prison, et ne prend pas cette menace à la légère : «J'ai peur, je ne dors plus.» L'Union des Français à l'étranger (UFE) lui a trouvé un hôtel-résidence, lui apporte une aide financière pour sa nourriture et ses frais médicaux. «Cette femme a subi un concours de circonstances malheureux. On est dans un pays musulman, même si elle est française, pour eux, elle est musulmane et marocaine», explique une des représentantes de l'UFE de Dubaï. Les origines marocaines de la jeune femme atténuent de fait la portée de la protection du consulat de France. «Et il faut savoir qu'aux Emirats, les autres Arabes, mais surtout les Maghrébins, sont considérés comme des sous-citoyens. Parmi cette sous-caste, les Marocaines ont la réputation d'être des prostituées, car beaucoup d'Emiratis se rendent au Maroc pour consommer des jeunes filles ou des jeunes garçons», explique un spécialiste du Golfe.
Les autorités françaises estiment avoir apporté à Touria Tiouli la protection à laquelle tous leurs ressortissants ont droit. Elles lui ont trouvé un avocat qui veut bien assurer sa défense, tous ceux de la ville contactés par ses proches ayant refusé. «Ses droits à la défense sont assurés», assure Paris, alors que, sur place, des compatriotes estiment que cette défense est toute formelle, les avocats locaux étant peu enclins à défendre une étrangère qui accuse un Emirati. A Paris, on pense qu'il faut éviter de faire de cette histoire «une affaire d'honneur national : il convient de ne pas heurter les sentiments religieux des Emirats».
Relations tendues. En 1995, l'intervention de personnalités françaises Marie- Claire Mendès France et Gisèle Halimi dans l'affaire Sarah Balabagan, la petite bonne philippine condamnée à mort pour avoir tué son employeur qui voulait la violer, avait tendu les relations entre les deux pays. L'ambassade des Emirats en France avait publié un communiqué dans la presse française où il était rappelé que «dans cette affaire, on se réfère à la loi divine et à la charia. La justice aux Emirats arabes unis ne fait pas de discrimination de sexe, de race ou de religion». En 1996, un chrétien libanais y a été condamné à un an de prison ferme et 39 coups de fouet pour avoir épousé une musulmane émiratie.
Cela fera bientôt trois mois que Touria Tiouli n'a pas vu son fils. Elle ne sait pas quand elle sera jugée. Personne ne parle plus du viol qu'elle a subi.
Mariages de saison. À la mode au Machrek, ce type d'union permet aux riches hommes d'affaires de s'offrir des concubines lors de leurs voyages à l'étranger. Prohibé par la loi civile, mais religieusement correct.
Seuls les férus de fiqh - le droit musulman - savent ce qu'est le zawaj el-misyar. Il s'agit pourtant d'une forme de mariage à la mode au Machrek, l'Orient arabe. Ses adeptes sont le plus souvent originaires des pays du Golfe : hommes d'affaires et voyageurs - d'où le mot misyar, tiré du verbe sara qui signifie voyager. Loin du domicile conjugal, ces coureurs de jupons impénitents, ennemis jurés de la monogamie, contractent des mariages provisoires, secrets et non légalisés, dans les pays où ils se rendent, souvent l'Égypte, le Liban, la Syrie et le Maroc, avec des jeunes filles issues de milieux modestes, sans en avertir leur épouse légitime lorsqu'ils en ont une.
La démarche est la suivante : le riche négociant se présente chez les parents de son élue, demande sa main, devant témoins s'il le faut. On lit la première sourate du Coran, et le tour est joué. La « belle-famille de décor » s'engage à fournir à son « gendre d'emprunt » toutes les commodités lors de ses passages : couvert, chambre à coucher et usage exclusif de leur fille, moyennant finances bien sûr. Car de telles pratiques, qui n'assurent aux femmes que des maris saisonniers et illégaux devant la loi civile, satisfont des familles dans le besoin et, par conséquent, peu regardantes sur la manière.
Le monde musulman connaissait déjà une forme d'union provisoire et extraconjugale, le zawaj el-mut'a, ou mariage de plaisir, contracté verbalement devant des témoins qui devaient tenir l'union secrète. Encore en usage en Iran, elle concernait à l'origine les voyageurs et les soldats à qui il était permis d'épouser des femmes durant une période très courte, quelques jours le plus souvent, dans le seul but d'avoir des rapports sexuels dans un cadre semi-légal. Si pour les uns elle est un moyen religieusement correct d'avoir des relations sexuelles avec une femme, d'autres n'y voient qu'une forme de prostitution légalisée.
réagissez les yabiladiens ne la laissez pas faire ça j'ai mal pour elle d'avance
exploitation sexuelle sous couvert de travail.....
Chaque année, des centaines de jeunes marocaines partent vers les pays du Golfe pour travailler. Quel profit? Il y a tout le monde et toutes les catégories. Mais par le fait des besoins économiques, une dominante semble se dégager.
Il s'agirait de jeunes femmes de familles pauvres ou moyennes, peu ou pas instruites, attirées par des promesses d'une vie meilleure, répondant à des offres de travail bien rémunéré en tant que vendeuses, coiffeuses, serveuses, femmes de ménage, mannequins ou autres... . L'aventure ne s'avère pas toujours conforme aux attentes des immigrées, certaines se trouvent, malheureusement, vite prises au piège de l'industrie du sexe qui fait des ravages dans cette région.
Il s'agirait, en fait, de réseaux bien organisés qui acheminent les jeunes filles vers ces pays où elles se trouvent rapidement sous la coupe d'une pègre internationale sans scrupules. Souvent privées de leurs passeports dès leur arrivée, elles sont contraintes d'accepter des activités pas très saines!
Un phénomène qui prend de plus en plus de l'ampleur. Des centaines de jeunes filles se trouvent prises au piège, nombreuses sont celles qui en sont arrivées là par malchance, ignorance ou naïveté, mais pas toutes... Pour certaines, elles partent vers ces pays en sachant parfaitement bien le genre d'activités auxquelles elles seront confrontées.
Le besoin, la pauvreté voire la misère restent les motifs majeurs qui nourrissent ce commerce et poussent ces jeunes filles vers de telles «mésaventures».
Des amies, voisines ou connaissances chargées du recrutement local (souvent engagées elles-mêmes dans ces réseaux), des personnes se présentant comme des agents recruteurs promettant des emplois bien payés, des annonces dans les journaux attirent parfois ces jeunes femmes dans le piège.
B. 26 ans est coiffeuse, elle travaille actuellement dans un salon de coiffure à Casablanca. Elle a passé 2 mois aux Emirats Arabes Unis, il y a moins d'un an. Partie pour travailler dans un salon de coiffure, elle s'est vite trouvée introduite dans l'industrie de la prostitution. Elle raconte son séjour avec beaucoup d'amertume, beaucoup de dégoût surtout.
Avec ses «camarades» marocaines, B. travaillait toute la journée en tant que coiffeuse dans le salon. Le soir, l'entremetteuse (qui n'est autre que sa patronne dans le salon) l'obligeait à monter dans le cabaret juste en dessus du salon, afin de danser pour les clients, les amuser, leur faire plaisir, les accompagner dans leurs soirées ou parfois même (s'ils en ont envie), dans leurs chambres d'hôtel.
Pour ce service nocturne, B. et ses copines gagnent 700 dh la nuit. Le travail de coiffeuse, elles l'exercent à volonté, elles ne sont pas payées pour, du moins pas par la patronne : «Ce n'est pas vraiment ce qui intéresse la patronne, qui est pourtant la propriétaire du salon, explique B., si on veut travailler la journée dans le salon, on se fait payer par les clientes, tout ce qu'on gagne est pour nous, on ne partage rien avec elle... ce qui l'intéresse, elle, c'est le travail du soir, le travail au salon, c'est juste une image...»
De ce fait, d'après B., peu de filles se donnaient la peine de bosser pendant la journée, elles préfèrent se reposer, histoire de récupérer des forces pour se préparer et être en forme pour la soirée.
B. nous a également parlé d'une technique «très encourageante» pensée par la patronne, qui pourrait faire gagner plus d'argent aux filles, et bien évidemment attirer plus de clients au cabaret.
La technique est la suivante : l'une des filles, appelée «moulat el ward» a pour fonction de se balader entre les tables des clients avec, autour du cou, plusieurs colliers de fleurs. Pendant ce temps, les autres filles continuent à danser devant les clients de la manière la plus agréable et plaisante possible... Si l'une de ces filles plaît à un client, ce dernier lui envoie un collier de fleurs qu'elle se met autour du cou, si elle plaît à plusieurs clients dans la même soirée, elle se fait offrir plusieurs colliers. De même qu'elle peut se faire offrir plusieurs colliers par un même client. Ces colliers, elle doit les garder tous autour du cou jusqu'à la fin de la soirée : la patronne lui paye une somme quotidienne supplémentaire, en fonction du nombre des colliers qu'elle a pu «ramasser». Chacun des colliers coûte 25 dh. Ainsi, si par exemple elle plaît à quatre clients dans la même soirée, elle gagne 100 dh de plus, ce qui fait monter son «salaire» de la soirée à 800 dh.
C'est là une astuce qui vise à encourager ces filles à doubler leurs efforts pour plaire aux clients et se montrer plus «gentilles» avec eux. C'est tout à leur profit, puisque elles se voient payer de l'argent supplémentaire. Mais c'est également bien plus profitable aux patrons qui attirent de plus en plus de clients satisfaits de «la qualité de service» et de la beauté et la générosité des danseuses.
Les jeunes filles, relativement bien payées (leurs salaires mensuels peuvent facilement atteindre les 25.000 ou 30.000 dh), sont très dépendantes de leur patronne. Selon B., elles vivent toutes ensemble dans des chambres communes, suivant les consignes de la patronne, ne jouissant d'aucune autonomie sur aucun plan... «c'est de l'esclavage pur et simple, pas seulement sur le plan sexuel, mais sur tous les plans» finit par avouer B.
Pour échapper à sa patronne et à cette vie qu'elle n'a pas pu supporter, B. a dû lui mentir, en lui faisant comprendre qu'elle devait rentrer au Maroc pour quelques jours pour une urgence, qu'elle allait revenir dès que possible. Elle a pu ainsi obtenir un «congé..non rémunéré».
B. est revenue et n'est jamais repartie, maintenant, rien que le nom de ce pays suffit à la dégoûter.
Mais si B. a refusé de mener cette vie, la plupart de ses anciennes camarades, l'ont acceptée et continuent de la subir : « il est vrai que, comme moi, il y a des filles qui n'avaient pas le moindre soupçon en quittant le Maroc qu'elles seraient embauchées dans l'industrie du sexe, explique B., mais quelques-unes seulement, la majorité savait très bien ce qui les attendait... j'en ai connu qui sont prêtes à tout pour de l'argent. Et de l'argent «facile», il y en a énormément là-bas... d'ailleurs, je mets en garde les filles contre ces «contrats de travail» mirifiques dans les pays du Golfe... quel que soit le type de contrat ou le type de travail, ça fini souvent par déboucher sur la prostitution et ça, certaines filles le savent très bien...».
Le témoignage de B. est éloquent. On aurait aimé aborder ce sujet avec d'autres filles ayant vécu de telles expériences, mais ce n'était pas évident. Des filles travaillant ou ayant déjà travaillé dans ces pays, on en a rencontré, mais toutes refusaient de partager leurs expériences, elles refusaient carrément de parler même de leur vie là-bas, sinon répondaient que tout allait bien, qu'elles travaillaient comme tout le monde et qu'elles menaient une vie des plus normales.
D'autres filles ayant immigré vers ces pays font du commerce. Elles ramènent au Maroc de la lingerie féminine, des vêtements, des tissus ou des accessoires... Des articles qu'elles vendent ici à des prix très attirants pour la clientèle locale.
Mais, à en croire B., ce commerce serait «une simple couverture», une manière de camoufler la vraie provenance de l'argent qu'elles gagnent : «les filles doivent justifier, devant leurs parents et familles, la provenance de tout l'argent qu'elles gagnent... elles leur font donc croire qu'en plus de leur travail initial, elles font le commerce des vêtements et autres articles, ce qui leur fait évidemment gagner beaucoup d'argent...».
par contre j'aime pas ces histoires ces réputations ces préjugés
les gens disent ce qu'ils veulent
a dubai y a aussi des tunisiennes, des algeriennes, des libanaises, des russes, des roumaines, etc alors arretons de se défouler sur les meme a chaque fois
ce n'est pas l'argent qui m'attire, loin d elà. El hamdoullah, je susi bien, et j'ai déjà un bon poste a 21 ans, c'est la perspective d'être avec un bon musulman, c'est ce qu'il m'a paru etre. Là je lisais les articles de notre ami mymo, c'est flippant quand meme, surtout qu'apparemment les marocaines labas sont mal vues, je ne vois pas pourquoi moi je le serai, et je usis surtout pas une fille de .... hachak!
Alalalala, c'est clair que les marocains je les ai dans mon coeur, le bon ne s'est pas encore présenté a moi tout simpelment!
C'es le reste du monde arabe qui les ont . C'est triste mais c'est comme ça.
Si une marocaine épouse : un algérien, un tunisien, un égyptien, un saoudien... il faut s'attendre à ce qu'elle soit considérée comme une prostituée une sorcière par la famille de son époux voir même par son époux au bout de quelques années de mariage
malheureusement ce que dit mymo est vrai la preuve c que l'ambassade de EAU refuse mnt de donner des visas au marocaine celibataire
qlq fait sur dubai
83% de la population est etrangere le status de la femme legalement est pire qu'au maroc si t'as un pbm avec qlq de dubai "un national comme ils disent t perdante d'avacnce devant la justice"
si tu veux rencontre sa famille parle avec eux et a toi de voir car il y a tout le tps des exceptions
voila
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Tout le monde ment. Bien mentir, voilà ce qu'il faut.
bonsoir , je crois qu'ils sont tous raison . dis on que ma copine a eu une petite expérience , super gentil comme tu dis , de bonne famille .......et très riche . la vérité cette relation n'a pas durée 3 mois . heureusement que ses parents n'ont pas voulu un mariage immédiate .
il vaut mieux faire très attention avec les gens de golf .
ta vie ne sera pas vraiment bonne chez lui . crois moi .
la vie m'apprend beaucoup de choses .et j'espère réussir à satisfaire mes enfants et mon mari .